Dans un monde de plus en plus connecté à la responsabilité politique, j'ai pris le pari de militer à l'Apr, de soutenir le président Macky Sall bien avant même qu'il ne soit élu à la tête du Sénégal. Pour plusieurs raisons...
La raison première de ce militantisme est qu'après avoir lancé le mouvement citoyen, Foula Ak Fayda, le 13 novembre 2011 à Rufisque, les
aperistes, ayant eu connaissance dans la presse que nous allions auditer tous les candidats avant d'en choisir un qui porterait le projet de re-construction de la ville, ont été les premiers à solliciter mon soutien dans le cadre de la présidentielle 2012, par le biais d'un de leur responsable politique avec qui je partage des relations très cordiales.
A l'époque, comme il l'est toujours, le combat du mouvement mettait l'accent sur la re-construction de la vieille ville de Rufisque avec un fort intérêt sur la réfection des canaux à ciel ouvert, la lutte contre l'avancée de la mer et la promotion de l'emploi des jeunes. S'y ajoutaient l'accès des femmes au crédit et la réhabilitation des vieux bâtiments comme le marché central et le lycée Abdoulaye Sadji. Un autre point non moins important pour le mouvement était et reste la promotion de valeurs, comme l'éthique et la solidarité citoyenne.
La deuxième raison de ma fidélité au projet du président Macky Sall fait suite à la demande de mon ami et frère Youssou Ndour qui m'a invité à soutenir le candidat Macky Sall et à se battre pour donner la défaite au candidat Wade. Avant cela, dans le cadre des activités politiques de son mouvement en vue de la présidentielle et de laquelle il a été arbitrairement écarté, Youssou Ndour s'était déplacé jusque chez moi, à Rufisque, accueilli par des centaines et centaines de témoins et non moins fidèles à mon projet citoyen et politique.
Puis, partout dans le département de Rufisque, Youssou Ndour et moi avons porté le combat de l'espoir. Aussi, avec Oumar Gueye de Sangalkam à qui j'avais refusé un soutien à Idrissa Seck au premier tour, nous avions, au second tour, battu campagne auprès des hommes politiques, coutumiers et religieux du département de Rufisque. Tout cela, nous le faisions avec beaucoup d'engagement, de détermination et
de sacrifice.
La troisième et dernière raison est la résultante des deux précédentes raisons qui, aujourd'hui, fondent mon appartenance à l'Apr, comme membre élu du bureau de la Ccr départementale de Rufisque. Une appartenance surtout guidée et motivée par la teneur constructive de l'article premier des statuts de l'Apr stipulant, en résumé, que le parti n'a spécifiquement choisi aucune idéologie et que la seule vision du parti est la lutte contre la crise sociale et économique, au nom de l'éthique pour laquelle notre mouvement a été créé.
Évidemment, pour tous ceux qui s'interrogent sur mes choix et orientations dans la vie politique, je me devais bien d'évoquer ce que j'appelle "les trois raisons d'un soutien sans condition aucune" : d'abord donner à Rufisque ce qu'aucun régime à donner à la ville, ensuite prolonger l'appel de Youssou Ndour et enfin se satisfaire de l'article premier des statuts de l'Apr.
Évidemment, je demeure un grand militant du "Senegal Emergent" et d'une vieille ville à réhabiliter : Rufisque !
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Issa Thioro Gueye,
Rufisque.
La raison première de ce militantisme est qu'après avoir lancé le mouvement citoyen, Foula Ak Fayda, le 13 novembre 2011 à Rufisque, les
aperistes, ayant eu connaissance dans la presse que nous allions auditer tous les candidats avant d'en choisir un qui porterait le projet de re-construction de la ville, ont été les premiers à solliciter mon soutien dans le cadre de la présidentielle 2012, par le biais d'un de leur responsable politique avec qui je partage des relations très cordiales.
A l'époque, comme il l'est toujours, le combat du mouvement mettait l'accent sur la re-construction de la vieille ville de Rufisque avec un fort intérêt sur la réfection des canaux à ciel ouvert, la lutte contre l'avancée de la mer et la promotion de l'emploi des jeunes. S'y ajoutaient l'accès des femmes au crédit et la réhabilitation des vieux bâtiments comme le marché central et le lycée Abdoulaye Sadji. Un autre point non moins important pour le mouvement était et reste la promotion de valeurs, comme l'éthique et la solidarité citoyenne.
La deuxième raison de ma fidélité au projet du président Macky Sall fait suite à la demande de mon ami et frère Youssou Ndour qui m'a invité à soutenir le candidat Macky Sall et à se battre pour donner la défaite au candidat Wade. Avant cela, dans le cadre des activités politiques de son mouvement en vue de la présidentielle et de laquelle il a été arbitrairement écarté, Youssou Ndour s'était déplacé jusque chez moi, à Rufisque, accueilli par des centaines et centaines de témoins et non moins fidèles à mon projet citoyen et politique.
Puis, partout dans le département de Rufisque, Youssou Ndour et moi avons porté le combat de l'espoir. Aussi, avec Oumar Gueye de Sangalkam à qui j'avais refusé un soutien à Idrissa Seck au premier tour, nous avions, au second tour, battu campagne auprès des hommes politiques, coutumiers et religieux du département de Rufisque. Tout cela, nous le faisions avec beaucoup d'engagement, de détermination et
de sacrifice.
La troisième et dernière raison est la résultante des deux précédentes raisons qui, aujourd'hui, fondent mon appartenance à l'Apr, comme membre élu du bureau de la Ccr départementale de Rufisque. Une appartenance surtout guidée et motivée par la teneur constructive de l'article premier des statuts de l'Apr stipulant, en résumé, que le parti n'a spécifiquement choisi aucune idéologie et que la seule vision du parti est la lutte contre la crise sociale et économique, au nom de l'éthique pour laquelle notre mouvement a été créé.
Évidemment, pour tous ceux qui s'interrogent sur mes choix et orientations dans la vie politique, je me devais bien d'évoquer ce que j'appelle "les trois raisons d'un soutien sans condition aucune" : d'abord donner à Rufisque ce qu'aucun régime à donner à la ville, ensuite prolonger l'appel de Youssou Ndour et enfin se satisfaire de l'article premier des statuts de l'Apr.
Évidemment, je demeure un grand militant du "Senegal Emergent" et d'une vieille ville à réhabiliter : Rufisque !
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Issa Thioro Gueye,
Rufisque.
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