Dans sa volonté de « rassembler pour gagner, rassembler pour gouverner, rassembler pour servir le Sénégal », le Président Idrissa Seck compte impliquer tous les fils du pays y compris Mody Niang qui n’a pas confiance en lui. C’est pourquoi son opinion est toujours la bienvenue même si ça représentait 1/12 millions.
J’ai pris la plume non pas pour brocarder M. Niang comme il le souhaitait mais plutôt pour me féliciter de ce plus qu’a mon leader d’avoir à portée de main, un nihiliste qui n’a d’autres cibles que lui. C’est vrai que l’amour comme la haine sont des sentiments et qu’on serait tenté de dire que ce prostitué intellectuel garde une dent contre Idy après l’avoir admiré.
Seulement il faut rappeler à Niang que la haine est le seul vice qu’un intellectuel qui se respecte doit bannir aux fins de ne pas parasiter le caractère scientifique de son discours à travers l’acharnement. Dommage que de « dignes »fils du pays se convertissent en mercenaires au service des politiques lorsque l’écriture ne nourrit plus son homme.
Le comportement de ce mec ne m’ébranle guère puisqu’il veut se faire un nom en s’attaquant à un homme respectable et respecté dans l’échiquier politique. Qu’il sache d’amblée que dans un combat de titans, les nains n’ont pas leur place.
Au nom de quoi ce monsieur veut se substituer au peuple pour sanctionner sans peine préalable?
Pendant que M. Niang rumine sa haine à travers ses parlottes et son verbiage infantile et vide de sens dans la presse, le président Idrissa lui continue à identifier les personnes avec lesquelles il aura le privilège de planter le splendide arbre sous l’ombre duquel la postérité s’assiéra pour juger les poltrons de notre histoire.
D’ailleurs, c’est prendre les sénégalais pour des moins que rien que de penser que vous connaissez Idrissa mieux qu’eux. Dire ton opinion fut-ce-t-elle incongrue est une chose, une autre est de laisser tes compatriotes apprécier d’eux même l’homme.
J’invite notre « écrivain » à voir ailleurs cette panoplie de damnés non condamnés au lieu de pointer sa petite plume sur le dos d’honorables citoyens.
Notre oiseau de mauvais augure termine son réquisitoire par dire que la haine n’a pas de place dans son cœur. Pour des raisons objectives fondées sur des faits et propos qu’il lui connait, Idrissa ne lui inspire pas confiance. « Jusqu’à preuve du contraire ». S’empresse-t-il d’ajouter.
A quand alors la preuve du contraire? Certainement en 2012 lorsque celui qui vous finance, après une cuisante humiliation vous coupe le robinet.
Moi je clos le débat et vous rappelle chers lecteurs que la dernière phrase de Niang le maudit me conforte dans l’idée qu’il a de l’admiration pour le président de REWMI. Toutefois le paradoxe réside dans le fait que celui qui ne s’est pas soumis aux décisions de sa justice (critique du non lieu total d’Idy), comment de simples explications pourraient le faire revenir à de meilleurs sentiments ?
Seulement je comprends notre cher Maudit, stupéfait, coi et impuissant devant le fait accompli : il essaie d’arrêter la mer avec ses bras, pendant ce temps, le peuple dans l’élan gagnant de Mara, a renouvelé à Idy son idylle.
Oumar FALL, membre du FOCAL
Responsable des jeunes rewmistes
De la communauté rurale de Méouane
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