La coalition Taxawu Sénégal dans un communiqué, dit détenir des informations selon lesquelles, le procès en cassation de l’ancien maire de Dakar sur la caisse d’avance va se tenir au plus tard en début décembre. Selon elle, jamais dans l’histoire judiciaire de notre pays, la Cour suprême n’aura examiné un pourvoi en cassation moins d’un mois après le dépôt des mémoires et autres répliques des parties. Au surplus, rien ne justifie que ce dossier ne soit singulièrement extirpé pour être vidé avant les centaines de dossiers en attente, souvent depuis des années, devant la cour. La coalition de noter que le message est clair. « Khalifa Ababacar Sall doit renoncer à sa candidature sinon le procès devant la Cour suprême va être programmé en vue de le faire condamner définitivement avant le dépôt des candidatures à l’élection présidentielle. »
Considérant que la justice est et doit rester la gardienne des droits et libertés, elle interpelle l’Union des Magistrats du Sénégal, et à travers elle tous les magistrats, et les appelons à refuser que les juges de la Cour suprême exercent leur office dans le but manifeste d’aider Macky Sall à éliminer un adversaire politique. « La Cour suprême n’est pas un bureau de vote et que ses juges ne doivent pas éliminer un candidat à l’élection présidentielle » martèle TS.
« Nous interpellons également les autorités religieuses, les organisations de la société civile et les représentations diplomatiques sur cet empressement de la justice que rien ne justifie sinon la confirmation que la procédure contre Khalifa Ababacar SALL une affaire purement politique montée par le pouvoir en place et exécutée par une justice aux ordres »conclut TS qui dit qu’elle n’acceptera jamais que l’agenda judiciaire soit calqué sur le calendrier électoral et que le procès devant la Cour suprême soit transformé en tour éliminatoire de l’élection présidentielle du 24 février 2019.
Considérant que la justice est et doit rester la gardienne des droits et libertés, elle interpelle l’Union des Magistrats du Sénégal, et à travers elle tous les magistrats, et les appelons à refuser que les juges de la Cour suprême exercent leur office dans le but manifeste d’aider Macky Sall à éliminer un adversaire politique. « La Cour suprême n’est pas un bureau de vote et que ses juges ne doivent pas éliminer un candidat à l’élection présidentielle » martèle TS.
« Nous interpellons également les autorités religieuses, les organisations de la société civile et les représentations diplomatiques sur cet empressement de la justice que rien ne justifie sinon la confirmation que la procédure contre Khalifa Ababacar SALL une affaire purement politique montée par le pouvoir en place et exécutée par une justice aux ordres »conclut TS qui dit qu’elle n’acceptera jamais que l’agenda judiciaire soit calqué sur le calendrier électoral et que le procès devant la Cour suprême soit transformé en tour éliminatoire de l’élection présidentielle du 24 février 2019.
Autres articles
-
TOUBA - Mafary Ndiaye accepte « la main tendue » de Déthié Fall et rejoint la coalition Pastef
-
L'armée tchadienne accusée d'avoir tué par erreur des "dizaines" de pêcheurs au Nigeria, selon des sources locales
-
TOUBA- Abdoulaye Niane ( Dekkal - Téranga): « Écueils à éviter : Des députés qui se comportent comme des enfants et un pouvoir exécutif qui contrôle le législatif »
-
Élections 2024 : L’Intelligence Émotionnelle, l’Arme Secrète des Candidats
-
KOLDA : Tidiane Tamba (ex PDS) rejoint le Pastef et soutient sa liste pour les législatives...