Tout le monde est en mesure de constater que l'Etat de droit commence à perdre son âme, ici au Sénégal à cause de ces histoires de dossiers judiciaires, pilotés dans un roulement de grand tambour médiatique, sans que ceux-ci connaissent enfin, un jugement raisonnable.
Les caractéristiques topiques dit-on, d'un "procès politique" sont : un État persécuteur, des magistrats serviles ou partisans, des culpabilités incertaines et des condamnations pour l’exemple. En tout cas, ce méli-mélo juridique sur fond de communiqué et de conférence de presse, opposant le parquet aux magistrats, replongeant la justice au cœur du tapage médiatique, n'inspire pas la confiance des Sénégalais.
À ce titre, Macky Sall, est le premier responsable devant le peuple sénégalais, de la faillite des redditions de compte.
C'est par une instrumentalisation abusive de la justice, sur fond de démarches de compromission et de deal politique, qui sont passés par là.
C'est-à-dire des manœuvres compromissoires et des actes de compromission, entre le pouvoir politique et une cinquième colonne du (PDS) qui soit beaucoup plus enclin à l'évitement, que de se battre. Incarnée par certains dignitaires très pusillanimes et chaperonnée par des démarcheurs de l'ombre, tapis dans la haute hiérarchie religieuse.
Cette mafia juridico-polico-religieuse, représente l'énième avatar d'une manifestation désolante de la mauvaise digestion de culture religieuse et de valeur morale chez nous.
Mais aussi, révèle l'absence manifeste des ressorts d'intégrité, de probité et de la dignité dans l’esprit des Sénégalais.
MANDAT DU PRESIDENT
Une autorité religieuse, en tant que gardien de valeurs morales, ne saurait inciter à mentir! Eh bien ! "wax waxéet" ce n’est rien d’autre qu’un mensonge. Donc, ces marabouts caudataires, qui charognent et font leurs numéros par des déclarations incongrues, doivent savoir raison garder.
Macky Sall, est élu président par une majorité, qui a voté pour un candidat engagé à changer la vie des Sénégalais, à commencer par la réduction de son mandat. Mais, non pour qu'il change d'avis. Parce que, la même population est plus que déterminée à en tenir rigueur à un président qui se décide de changer d'avis contre son engagement.
Le président Sall a pris à témoin tous les khalifes généraux. Maintenant, il n'est loisible à aucun khalife, de cautionner une entorse à la vertu de la parole. Notre société est très malade de l'absence de pédagogie de l'éthique du comportement, cette "dégradation caractérisée" de notre société s'est manifestée dans le caillassage du cortège du président de la République. Un réflexe pathétique et dégradant mal inspiré par une pédagogie politicienne d'un président, qui refuse de se hisser au dessus de la mêlée politicienne. Les agents financiers qui distribuent des liasses, ne font que donner de mauvaises idées aux étudiants. Pour que la culture civique rayonne, il faudrait nécessairement, un dirigeant civilisé, respectueux, respecté et respectable.
Serigne Fallou Dieng
Les caractéristiques topiques dit-on, d'un "procès politique" sont : un État persécuteur, des magistrats serviles ou partisans, des culpabilités incertaines et des condamnations pour l’exemple. En tout cas, ce méli-mélo juridique sur fond de communiqué et de conférence de presse, opposant le parquet aux magistrats, replongeant la justice au cœur du tapage médiatique, n'inspire pas la confiance des Sénégalais.
À ce titre, Macky Sall, est le premier responsable devant le peuple sénégalais, de la faillite des redditions de compte.
C'est par une instrumentalisation abusive de la justice, sur fond de démarches de compromission et de deal politique, qui sont passés par là.
C'est-à-dire des manœuvres compromissoires et des actes de compromission, entre le pouvoir politique et une cinquième colonne du (PDS) qui soit beaucoup plus enclin à l'évitement, que de se battre. Incarnée par certains dignitaires très pusillanimes et chaperonnée par des démarcheurs de l'ombre, tapis dans la haute hiérarchie religieuse.
Cette mafia juridico-polico-religieuse, représente l'énième avatar d'une manifestation désolante de la mauvaise digestion de culture religieuse et de valeur morale chez nous.
Mais aussi, révèle l'absence manifeste des ressorts d'intégrité, de probité et de la dignité dans l’esprit des Sénégalais.
MANDAT DU PRESIDENT
Une autorité religieuse, en tant que gardien de valeurs morales, ne saurait inciter à mentir! Eh bien ! "wax waxéet" ce n’est rien d’autre qu’un mensonge. Donc, ces marabouts caudataires, qui charognent et font leurs numéros par des déclarations incongrues, doivent savoir raison garder.
Macky Sall, est élu président par une majorité, qui a voté pour un candidat engagé à changer la vie des Sénégalais, à commencer par la réduction de son mandat. Mais, non pour qu'il change d'avis. Parce que, la même population est plus que déterminée à en tenir rigueur à un président qui se décide de changer d'avis contre son engagement.
Le président Sall a pris à témoin tous les khalifes généraux. Maintenant, il n'est loisible à aucun khalife, de cautionner une entorse à la vertu de la parole. Notre société est très malade de l'absence de pédagogie de l'éthique du comportement, cette "dégradation caractérisée" de notre société s'est manifestée dans le caillassage du cortège du président de la République. Un réflexe pathétique et dégradant mal inspiré par une pédagogie politicienne d'un président, qui refuse de se hisser au dessus de la mêlée politicienne. Les agents financiers qui distribuent des liasses, ne font que donner de mauvaises idées aux étudiants. Pour que la culture civique rayonne, il faudrait nécessairement, un dirigeant civilisé, respectueux, respecté et respectable.
Serigne Fallou Dieng
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