Pourquoi lui?
L’idée selon laquelle les jeunes ne porteraient aucun intérêt à la politique est malheureusement répandue. La chose politique, pour les jeunes, n’en est devenue à leurs yeux qu’une méthode sans lendemain pour ne couronner que ceux-là qui en ont fait un fond de commerce et/ou une affaire mercantile.
Un général des forces armées Sénégalaises disait et je le cite que : « Un officier n’est pas un « badoola » ni un mercantile, un officier est un aristocrate. » Mettant cette maxime en opposition avec l’idée que les jeunes se sont fait de la politique, j’aimerai ô combien que politique rime enfin avec éthique, probité, intégrité, moralité et j’en passe… Pour ce faire, un politicien ne doit plus être un « badoola » ni un mercantile comme il est d’usage et de coutume dans notre Sénégal. Un politicien doit être en mesure d’agir selon les règles de bonne conduite, de bienséance, de décence et de discrétion pour devenir bon modèle devant inspirer les plus jeunes. »
Depuis assez longtemps à maintenant, plusieurs types de politiciens se sont accaparés du landerneau politique pour se prêter soit en « faux-dévots » ou en titan pour faire leur loi. Les Sénégalais les ont vite démasqués fort heureusement à cause de leur tortuosité. De là est survenu un homme pas comme les autres : je veux bien nommer le Professeur Ibrahima FALL…
Que ceux qui s’attendaient à une neutralité sur le choix d’un candidat ne m’en tiennent rigueur. De l’écriture d’un article impartial, ma plume s’est brutalement refusé à se laisser mener vers ce terrain. D’une volonté de me plier strictement au sujet, mes mains et doigts poussés par la force de la raison et du cœur m’ont imposé une autre voie : celui d’écrire un texte hors du sujet clairement indiqué.
Ceci pour dire que l’ordonnancement de mon raisonnement m’a poussé à ne point m’entêter pour suivre logiquement le choix du cœur, de la raison et des sentiments.
Pour en revenir à Ibrahima FALL –qui décidemment sera mon sujet de prédilection– celui-là né en 1942 à Tivaoune ; juriste de formation et politique par la pratique et la gestion de la chose publique ; ancien doyen de la faculté de Droit de l’UCAD ; ancien ministre de l’éducation supérieure ; ancien ministre des affaires étrangères ; Sous-secrétaire général chargé des Droits de l’homme et Directeur du Centre pour les Droits de l’homme à Genève, ancien Représentant spécial de l’ONU pour la région des Grands Lacs et Sous-secrétaire général aux affaires politiques.
Cet homme-là, Ibrahima FALL a participé à l'élaboration de la Charte africaine des droits de l'homme et des peuples de l'OUA. Il est membre fondateur et Président honoraire de l’Association sénégalaise de l’Unité africaine, également consultant pour des ONG internationales.
Cet homme-là, marié et père de cinq enfants, de cet homme-là dont je me permets de parler, de cet homme-là qui va plaire à plus d’un, de cet homme-là je veux et vais en faire cadeau à la jeunesse de mon pays comme moteur de notre futur développement.
Grâce à Ibrahima FALL, nous jeunes alors éloignés de la Politique en donnant peu intérêt à son égard, grâce à lui les choses vont changer… Autrement dit, les choses vont grandement changer !!!
Avec Ibrahima FALL, cette crise de la foi accordée à nos politiques, ne peut être vue et interprétée de la même manière. L’approche adoptée par Ibrahima FALL dans sa conduite avec les jeunes confirme une tendance toute autre de celle-là générale et entamée depuis plusieurs années.
En vérité, avec Ibrahima FALL, les jeunes ne se désintéressent pas de la politique mais ils s'y intéressent autrement : par l’ENGAGEMENT. La jeunesse d'aujourd'hui vit d’autres expériences opposées à celles des générations précédentes car le socioculturel Sénégalais, les principes idéologiques, les sources doctrinales et les grandes problématiques se sont métamorphosés. De l’HYPOTHETIQUE au SPECULATIF, les Jeunes de mon pays attendent du MATÉRIEL et du PALPABLE. En Ibrahima FALL, la bonne incarnation est là sous nos yeux bien personnalisée et personnifiée.
L’homme parle peu mais communique bien.
L’homme passe inaperçu mais est très bien perçu des Sénégalais dont les plus jeunes.
Par conséquent, le rapport à la politique n'étant plus le même, Ibrahima FALL dans la place –nous jeunes du Sénégal–, nous exprimons désormais autour de perspectives nouvelles, dans la quête de nouveaux contours et par des modes d'action renouvelés, qui ne feront qu’exalter notre attachement profond aux valeurs républicaines et démocratiques.
Que les politiciens professionnels sachent que l’heure n’est plus au dilatoire béat, à la tergiversation sempiternelle et à l’ajournement intempestif. Avec Ibrahima FALL, l’action est prônée 4R qui constituent son leitmotiv :
Rassembler tous les patriotes du Sénégal autour de l’essentiel,
Restaurer les valeurs Cardinales qui faisaient notre fierté et notre identité,
Rebâtir l’Etat de droit afin que toutes les institutions et les lois seront respectées a la lettre et que la justice ne sera plus une justice à deux vitesses,
Relancer le véritable développement économique et social du pays.
Cet approche nous permettra en matière d’intervention publique de faire le tri entre la bonne graine et l’ivraie du personnel politique; pour qu’enfin le culte de l’excellence remplace la culture de la médiocrité et que le moral et le bon sens guident l’action.
Je me refuserai de faire du dilatoire en affirmant que ce régime en place n’a rien fait. Mais, je me permettrai de vous interroger sur la question de savoir à quel prix?
Alors disons non à la malhonnêteté avec son corolaire : forfaiture, malversation, escroquerie, fraude, …pour laisser place à la vertu et aux valeurs de JÖM, de KERSA, de SOUTOURË, de GËM, de FÏT, de FOULË, de FÄYDA et j’en passe.
In fine, pour ne pas laisser que la société politique contemporaine Sénégalaise ne deviennent une machine à désespérer ses Hommes plus particulièrement sa Jeunesse pour paraphraser Albert Camus, nous –jeunesse du Sénégal– optons opiniâtrement pour le candidat Ibrahima FALL.
Un général des forces armées Sénégalaises disait et je le cite que : « Un officier n’est pas un « badoola » ni un mercantile, un officier est un aristocrate. » Mettant cette maxime en opposition avec l’idée que les jeunes se sont fait de la politique, j’aimerai ô combien que politique rime enfin avec éthique, probité, intégrité, moralité et j’en passe… Pour ce faire, un politicien ne doit plus être un « badoola » ni un mercantile comme il est d’usage et de coutume dans notre Sénégal. Un politicien doit être en mesure d’agir selon les règles de bonne conduite, de bienséance, de décence et de discrétion pour devenir bon modèle devant inspirer les plus jeunes. »
Depuis assez longtemps à maintenant, plusieurs types de politiciens se sont accaparés du landerneau politique pour se prêter soit en « faux-dévots » ou en titan pour faire leur loi. Les Sénégalais les ont vite démasqués fort heureusement à cause de leur tortuosité. De là est survenu un homme pas comme les autres : je veux bien nommer le Professeur Ibrahima FALL…
Que ceux qui s’attendaient à une neutralité sur le choix d’un candidat ne m’en tiennent rigueur. De l’écriture d’un article impartial, ma plume s’est brutalement refusé à se laisser mener vers ce terrain. D’une volonté de me plier strictement au sujet, mes mains et doigts poussés par la force de la raison et du cœur m’ont imposé une autre voie : celui d’écrire un texte hors du sujet clairement indiqué.
Ceci pour dire que l’ordonnancement de mon raisonnement m’a poussé à ne point m’entêter pour suivre logiquement le choix du cœur, de la raison et des sentiments.
Pour en revenir à Ibrahima FALL –qui décidemment sera mon sujet de prédilection– celui-là né en 1942 à Tivaoune ; juriste de formation et politique par la pratique et la gestion de la chose publique ; ancien doyen de la faculté de Droit de l’UCAD ; ancien ministre de l’éducation supérieure ; ancien ministre des affaires étrangères ; Sous-secrétaire général chargé des Droits de l’homme et Directeur du Centre pour les Droits de l’homme à Genève, ancien Représentant spécial de l’ONU pour la région des Grands Lacs et Sous-secrétaire général aux affaires politiques.
Cet homme-là, Ibrahima FALL a participé à l'élaboration de la Charte africaine des droits de l'homme et des peuples de l'OUA. Il est membre fondateur et Président honoraire de l’Association sénégalaise de l’Unité africaine, également consultant pour des ONG internationales.
Cet homme-là, marié et père de cinq enfants, de cet homme-là dont je me permets de parler, de cet homme-là qui va plaire à plus d’un, de cet homme-là je veux et vais en faire cadeau à la jeunesse de mon pays comme moteur de notre futur développement.
Grâce à Ibrahima FALL, nous jeunes alors éloignés de la Politique en donnant peu intérêt à son égard, grâce à lui les choses vont changer… Autrement dit, les choses vont grandement changer !!!
Avec Ibrahima FALL, cette crise de la foi accordée à nos politiques, ne peut être vue et interprétée de la même manière. L’approche adoptée par Ibrahima FALL dans sa conduite avec les jeunes confirme une tendance toute autre de celle-là générale et entamée depuis plusieurs années.
En vérité, avec Ibrahima FALL, les jeunes ne se désintéressent pas de la politique mais ils s'y intéressent autrement : par l’ENGAGEMENT. La jeunesse d'aujourd'hui vit d’autres expériences opposées à celles des générations précédentes car le socioculturel Sénégalais, les principes idéologiques, les sources doctrinales et les grandes problématiques se sont métamorphosés. De l’HYPOTHETIQUE au SPECULATIF, les Jeunes de mon pays attendent du MATÉRIEL et du PALPABLE. En Ibrahima FALL, la bonne incarnation est là sous nos yeux bien personnalisée et personnifiée.
L’homme parle peu mais communique bien.
L’homme passe inaperçu mais est très bien perçu des Sénégalais dont les plus jeunes.
Par conséquent, le rapport à la politique n'étant plus le même, Ibrahima FALL dans la place –nous jeunes du Sénégal–, nous exprimons désormais autour de perspectives nouvelles, dans la quête de nouveaux contours et par des modes d'action renouvelés, qui ne feront qu’exalter notre attachement profond aux valeurs républicaines et démocratiques.
Que les politiciens professionnels sachent que l’heure n’est plus au dilatoire béat, à la tergiversation sempiternelle et à l’ajournement intempestif. Avec Ibrahima FALL, l’action est prônée 4R qui constituent son leitmotiv :
Rassembler tous les patriotes du Sénégal autour de l’essentiel,
Restaurer les valeurs Cardinales qui faisaient notre fierté et notre identité,
Rebâtir l’Etat de droit afin que toutes les institutions et les lois seront respectées a la lettre et que la justice ne sera plus une justice à deux vitesses,
Relancer le véritable développement économique et social du pays.
Cet approche nous permettra en matière d’intervention publique de faire le tri entre la bonne graine et l’ivraie du personnel politique; pour qu’enfin le culte de l’excellence remplace la culture de la médiocrité et que le moral et le bon sens guident l’action.
Je me refuserai de faire du dilatoire en affirmant que ce régime en place n’a rien fait. Mais, je me permettrai de vous interroger sur la question de savoir à quel prix?
Alors disons non à la malhonnêteté avec son corolaire : forfaiture, malversation, escroquerie, fraude, …pour laisser place à la vertu et aux valeurs de JÖM, de KERSA, de SOUTOURË, de GËM, de FÏT, de FOULË, de FÄYDA et j’en passe.
In fine, pour ne pas laisser que la société politique contemporaine Sénégalaise ne deviennent une machine à désespérer ses Hommes plus particulièrement sa Jeunesse pour paraphraser Albert Camus, nous –jeunesse du Sénégal– optons opiniâtrement pour le candidat Ibrahima FALL.
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