Présent à la rencontre de la revue sectorielle conjointe avec les acteurs sociaux de l'éducation, Cheikh Mbow, le coordinateur de la Cosydep, passe en revue les difficultés qui gangrènent l'école Sénégalaise. Même s'il reconnaît que des efforts sont consentis sous certains aspects, M. Mbow constate pour le regretter, que le défi à résorber est énorme.
"Le système éducatif fait face à des gaps. C'est vrai qu'il y a des efforts qui ont été faits quelque part. Mais il y a beaucoup de gaps qu'il faut redresser de façon définitive. Nous manquons de salles de classe, nous avons un déficit en support manuel, un déficit de personnel que nous avions évalué à quatre mille. Donc, il faudra évidemment régler ces gaps là si nous voulons respecter les normes standards de qualité. Il y a aussi un gap en terme de respect des engagements", a dénoncé Cheikh Mbow.
Pour le coordinateur du Cosydep, "il n'est pas acceptable qu'en 2021, il y ait encore des enfants qui, à des heures de travail, sont dans la rue, qui ne savent ni lire ni écrire et qui ne sont dans aucune offre éducative; pas dans une école classique, pas dans un daara, cela n'est pas acceptable".
À cet effet, estime toujours Cheikh Mbow, "le gouvernement doit travailler à faire en sorte que l'éducation pour tous puisse être une réalité. Nous pensons que ça doit être une préoccupation forte pour notre gouvernement et pour nous tous, parce que ça peut même être un danger pour la société que d'avoir des enfants qui ne savent pas lire et écrire..."
"Le système éducatif fait face à des gaps. C'est vrai qu'il y a des efforts qui ont été faits quelque part. Mais il y a beaucoup de gaps qu'il faut redresser de façon définitive. Nous manquons de salles de classe, nous avons un déficit en support manuel, un déficit de personnel que nous avions évalué à quatre mille. Donc, il faudra évidemment régler ces gaps là si nous voulons respecter les normes standards de qualité. Il y a aussi un gap en terme de respect des engagements", a dénoncé Cheikh Mbow.
Pour le coordinateur du Cosydep, "il n'est pas acceptable qu'en 2021, il y ait encore des enfants qui, à des heures de travail, sont dans la rue, qui ne savent ni lire ni écrire et qui ne sont dans aucune offre éducative; pas dans une école classique, pas dans un daara, cela n'est pas acceptable".
À cet effet, estime toujours Cheikh Mbow, "le gouvernement doit travailler à faire en sorte que l'éducation pour tous puisse être une réalité. Nous pensons que ça doit être une préoccupation forte pour notre gouvernement et pour nous tous, parce que ça peut même être un danger pour la société que d'avoir des enfants qui ne savent pas lire et écrire..."
Autres articles
-
Législatives2024 : «Notre objectif, c'est de nous mobiliser grandement sur le quotidien des kaolackois», (Dg COUD Ndene Mbodji)
-
Thiaré / Rokhy Ndiaye : « La violence, c’est l’arme des faibles et le Pastef n'est pas un parti faible… »
-
Barthélémy Dias à la Medina: « Ce dimanche 17 novembre 2024, il faut sanctionner le régime »
-
Sonko à la jeunesse : « Nangu lein Liggey, té boulein Xeep Dara… »
-
Sonko sur la dernière ligne droite : « Je suis sûr de notre majorité à l’Assemblée, mais l’objectif et d’éclipser définitivement cette opposition »