Je viens de lire ta longue diatribe sur les cadres politiques de la FNCL à qui, Samba NDIAYE, a imposé la violence brutale, barbare et absurde que tu dénonces dans ton article. Un article qui me surprend et me désole dans cet espace de « domination des esprits » que nous partagions et dans lequel, résidait notre réciprocité… « d’affection et de respect ».
J’ai donc lu avec beaucoup d’attention (et d’énervement) chacune de tes phrases dont tous les mots et la déclinaison d’ensemble sont choisis pour donner du « sens élevé » et de la « haute facture »; à « l’expression de ta libre opinion ». Et je n’ai pas pu comprendre que tu puisses ainsi, mais alors tout simplement, insulter des cadres du PDS, des cadres de haut niveau et pour la plus grande majorité respectables, des cadres qui n’ont eu que le tord d’être présents à une conférence de presse et d’être victimes d’une agression. Parce que tu dois savoir que ces cadres ont été effectivement envahis par un groupe de nervis gesticulant et bousculant tout le monde avec une violence verbale outrancière. Des nervis à la solde de Samba NDIAYE, responsable politique à la base, Directeur Général d’une Société nationale et Maire d’une commune, qui pense pouvoir convaincre par la force et la violence qu’il est le plus à même que tous les autres cadres comme lui, d’assumer dans le bureau exécutif national de la FNCL, les fonctions de Secrétaire à la communication, Porte parole.
Voilà les faits tels qu’ils existent dans toute la « vérité » de sa « cancrêlure » à laquelle, s’ajuste parfaitement ta superbe arrogance d’intellectuel en mal de visibilité. Parce que jeune homme, je suis furieux d’être parmi ceux que tu appelles « cancres» et de le lire dans une longueur d’article que sa violence rédactionnelle exclue du champ de la contribution fraternelle pour s’installer avec son auteur, dans le racolage d’un nervi de la plume qui cherche emploi. Parce qu’aussi tu n’as aucune capacité de percevoir du « haut de ton nanisme » politique le jeu de Samba NDIAYE et qui conséquemment à son extravagance, ne pouvait plus être représentatif de l’ensemble des cadres de la FNCL.
.
Mais oui ! Mon cher neveu, Pourquoi cette généralisation et ces insultes à l’endroit de cadres qui t’ont accueilli et réservé une place dans leur espace de solidarité organique et fraternelle? Parce que je ne vois pas de mobile à tes insultes qui accentuent « le vide de la pensée » que tu évoques et qui ajoutent à la « vilainie » de l’image de ton parti et de son leader. La réponse à cette question se trouverait-elle dans tes « samba-mbayaneries » en faveur du Président Abdoulaye WADE et dans tes « intérêts » de le voir te considérer comme LE CADRE parmi les CANCRES POLITIQUES ?
Et tu crois doubler ta mise en donnant des leçons dans une dimension que tu n’as jamais réellement investie de ta « fécondité » politique et encore moins, de ta « force intellectuelle et argumentative qui comblerait ton déficit de popularité» (?). Mais tu vas finir avec ta frénétique absurde de « plume » par acquérir ce fameux « paradoxe des valeurs » et d’être dans tous les cercles de « cancres » le grand intellectuel aligneur de citations et inventeur d’une nouvelle stratégie de vedettariat et de positionnement politiques.
Non ! Pape Sadio ! tu ne peux et ne doit pas insulter les cadres de la FNCL qui après bien des concertations, des ruptures et renoncements, ont aujourd’hui le mérite d’avoir réussi, non la fusion « des atomes qui stimule au moins la concurrence » selon ton expression, mais la synthèse dynamique de toutes les intelligences politiques ainsi regroupées dans un seul cadre organique pour porter, assister et performer la nécessaire synergie des vues et des actions de l’ensemble des forces du PDS et du SOPI.
Forcément cela peut ne pas être accepté par une certaine caste de politiciens stationnistes qui a depuis déjà plusieurs années obtenu la marginalisation des cadres à leur seul profit et contre les intérêts de notre mouvance politique. C’est donc une évolution dans cette dimension longtemps absente des composantes organisationnelles et fonctionnelles du PDS qu’il faut accompagner et non combattre comme tu le fais..
Et je voudrais dire s’il en est encore besoin avec ton article qui est un coup qui nous vient de l’intérieur de notre formation politique, que la FNCL n’acceptera plus de personne d’être attaquée, marginalisée ou minorée au nom de la seule « liberté d’opinion » ou pour le seul mobile de la visibilité et de la popularité. A bon entendeur
Papa Masséne SECK
Secrétaire national chargé de la médiation et de la gestion des conflits
J’ai donc lu avec beaucoup d’attention (et d’énervement) chacune de tes phrases dont tous les mots et la déclinaison d’ensemble sont choisis pour donner du « sens élevé » et de la « haute facture »; à « l’expression de ta libre opinion ». Et je n’ai pas pu comprendre que tu puisses ainsi, mais alors tout simplement, insulter des cadres du PDS, des cadres de haut niveau et pour la plus grande majorité respectables, des cadres qui n’ont eu que le tord d’être présents à une conférence de presse et d’être victimes d’une agression. Parce que tu dois savoir que ces cadres ont été effectivement envahis par un groupe de nervis gesticulant et bousculant tout le monde avec une violence verbale outrancière. Des nervis à la solde de Samba NDIAYE, responsable politique à la base, Directeur Général d’une Société nationale et Maire d’une commune, qui pense pouvoir convaincre par la force et la violence qu’il est le plus à même que tous les autres cadres comme lui, d’assumer dans le bureau exécutif national de la FNCL, les fonctions de Secrétaire à la communication, Porte parole.
Voilà les faits tels qu’ils existent dans toute la « vérité » de sa « cancrêlure » à laquelle, s’ajuste parfaitement ta superbe arrogance d’intellectuel en mal de visibilité. Parce que jeune homme, je suis furieux d’être parmi ceux que tu appelles « cancres» et de le lire dans une longueur d’article que sa violence rédactionnelle exclue du champ de la contribution fraternelle pour s’installer avec son auteur, dans le racolage d’un nervi de la plume qui cherche emploi. Parce qu’aussi tu n’as aucune capacité de percevoir du « haut de ton nanisme » politique le jeu de Samba NDIAYE et qui conséquemment à son extravagance, ne pouvait plus être représentatif de l’ensemble des cadres de la FNCL.
.
Mais oui ! Mon cher neveu, Pourquoi cette généralisation et ces insultes à l’endroit de cadres qui t’ont accueilli et réservé une place dans leur espace de solidarité organique et fraternelle? Parce que je ne vois pas de mobile à tes insultes qui accentuent « le vide de la pensée » que tu évoques et qui ajoutent à la « vilainie » de l’image de ton parti et de son leader. La réponse à cette question se trouverait-elle dans tes « samba-mbayaneries » en faveur du Président Abdoulaye WADE et dans tes « intérêts » de le voir te considérer comme LE CADRE parmi les CANCRES POLITIQUES ?
Et tu crois doubler ta mise en donnant des leçons dans une dimension que tu n’as jamais réellement investie de ta « fécondité » politique et encore moins, de ta « force intellectuelle et argumentative qui comblerait ton déficit de popularité» (?). Mais tu vas finir avec ta frénétique absurde de « plume » par acquérir ce fameux « paradoxe des valeurs » et d’être dans tous les cercles de « cancres » le grand intellectuel aligneur de citations et inventeur d’une nouvelle stratégie de vedettariat et de positionnement politiques.
Non ! Pape Sadio ! tu ne peux et ne doit pas insulter les cadres de la FNCL qui après bien des concertations, des ruptures et renoncements, ont aujourd’hui le mérite d’avoir réussi, non la fusion « des atomes qui stimule au moins la concurrence » selon ton expression, mais la synthèse dynamique de toutes les intelligences politiques ainsi regroupées dans un seul cadre organique pour porter, assister et performer la nécessaire synergie des vues et des actions de l’ensemble des forces du PDS et du SOPI.
Forcément cela peut ne pas être accepté par une certaine caste de politiciens stationnistes qui a depuis déjà plusieurs années obtenu la marginalisation des cadres à leur seul profit et contre les intérêts de notre mouvance politique. C’est donc une évolution dans cette dimension longtemps absente des composantes organisationnelles et fonctionnelles du PDS qu’il faut accompagner et non combattre comme tu le fais..
Et je voudrais dire s’il en est encore besoin avec ton article qui est un coup qui nous vient de l’intérieur de notre formation politique, que la FNCL n’acceptera plus de personne d’être attaquée, marginalisée ou minorée au nom de la seule « liberté d’opinion » ou pour le seul mobile de la visibilité et de la popularité. A bon entendeur
Papa Masséne SECK
Secrétaire national chargé de la médiation et de la gestion des conflits
Autres articles