Notre plus grand mal, c’est d’avoir des chefs d’Etat qui ne sont pas à la hauteur de leur mission et de leur peuple, ou pire qui se prennent pour des démiurges.
Michel Kafando, Président du Burkina Faso que la CEDEAO s’apprête à remettre en selle est un grand lâche. Pendant que la population Burkinabé fait courageusement face à la situation, Kafando est parti se cacher sous les jupes de maman. A la première occasion, il est parti chercher refuge à l’ambassade de France, pour dit-il « sauver sa vie ».
Chérif Sy (président de l’assemblée intérimaire) et les activistes du balai citoyen (qui sont menacés et agressés) sont au rendez-vous de l’histoire, les Burkinabés à leurs côtés. Kafando a lui préféré abandonner ses administrés. N’est pas Thomas Sankara qui veut.
Dans la listes des « demi-dieux » indispensables viennent s’ajouter Paul Kagamé du Rwanda et Dennis Sassou Nguessou du Congo Brazaville.
Le premier a indéniablement transformé son pays et l’a mis sur les rampes de l’émergence. Kigali est une référence absolue en terme d’organisation, de discipline et de propreté. Mais ce que Kagamé a réalisé, un autre peut y arriver. Le philosophe allemand Nietzsche disait qu’un peuple est le détour que prend la nature pour produire 6 ou 7 grands hommes. Si cela est vrai, le quota du Rwanda est à peine entamé.
Dennis Sassou Nguesso n’a même pas un bilan reluisant à présenter aux Congolais. Une génération entière de son pays ne connaît que lui à la tête de l’Etat. A 72 ans révolus, il est frappé par la limite d’âge et la constitution votée en 2002 qui restreint le nombre de mandat à 2. Malgré tout, il veut défier la loi et le peuple congolais et cherche à organiser un référendum bidon pour mourir au pouvoir.
Nombre de nos chefs d’Etat sont les cancers de nos pays. Ils bloquent les énergies, la jeunesse et le développement de leur nation. Ceux qui les soutiennent viendront nous dire qu’il faut négocier une sortie heureuse pour eux ou les exfiltreront quand cela chauffera. Parce qu’ils défendent leurs intérêts, ils utiliseront le joker jusqu’au bout, quitte à plonger ces pays dans le chaos.
Michel Kafando, Président du Burkina Faso que la CEDEAO s’apprête à remettre en selle est un grand lâche. Pendant que la population Burkinabé fait courageusement face à la situation, Kafando est parti se cacher sous les jupes de maman. A la première occasion, il est parti chercher refuge à l’ambassade de France, pour dit-il « sauver sa vie ».
Chérif Sy (président de l’assemblée intérimaire) et les activistes du balai citoyen (qui sont menacés et agressés) sont au rendez-vous de l’histoire, les Burkinabés à leurs côtés. Kafando a lui préféré abandonner ses administrés. N’est pas Thomas Sankara qui veut.
Dans la listes des « demi-dieux » indispensables viennent s’ajouter Paul Kagamé du Rwanda et Dennis Sassou Nguessou du Congo Brazaville.
Le premier a indéniablement transformé son pays et l’a mis sur les rampes de l’émergence. Kigali est une référence absolue en terme d’organisation, de discipline et de propreté. Mais ce que Kagamé a réalisé, un autre peut y arriver. Le philosophe allemand Nietzsche disait qu’un peuple est le détour que prend la nature pour produire 6 ou 7 grands hommes. Si cela est vrai, le quota du Rwanda est à peine entamé.
Dennis Sassou Nguesso n’a même pas un bilan reluisant à présenter aux Congolais. Une génération entière de son pays ne connaît que lui à la tête de l’Etat. A 72 ans révolus, il est frappé par la limite d’âge et la constitution votée en 2002 qui restreint le nombre de mandat à 2. Malgré tout, il veut défier la loi et le peuple congolais et cherche à organiser un référendum bidon pour mourir au pouvoir.
Nombre de nos chefs d’Etat sont les cancers de nos pays. Ils bloquent les énergies, la jeunesse et le développement de leur nation. Ceux qui les soutiennent viendront nous dire qu’il faut négocier une sortie heureuse pour eux ou les exfiltreront quand cela chauffera. Parce qu’ils défendent leurs intérêts, ils utiliseront le joker jusqu’au bout, quitte à plonger ces pays dans le chaos.
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