Avec un gouvernement largement remanié, le nouveau Premier ministre devra s’atteler immédiatement à la tâche. Avec des attentes démesurées, de même que les enjeux et défis, le nouveau gouvernement du Sénégal n’aura pas la tâche aisée. C’est ce qu’a compris la remplaçante de l’ancien ministre Amadou Hott, au département de l’économie, du plan et de la coopération.
Oulimata Sarr, même si elle n’est pas très présente dans l’espace médiatique, a confié à Dakaractu en exclusivité, ses premiers mots après sa nomination à la tête de ce ministère qui reste pour elle, un département où il y a énormément de personnes qualifiées : « J’ai répondu à l’appel du Sénégal. C’est la patrie qui m’a appelée et je démissionne des Nations Unies pour répondre… », déclare la diplômée de l'École des Hautes études Commerciales de Montréal qui considère, qu’en dépit de ce que représente ONU femmes, la situation socio-économique au Sénégal mérite bien qu’elle renonce à cette tâche pour la patrie.
Pour sa nouvelle nomination, Oulimata Sarr au bout du fil de Dakaractu, estime que c’est une grande fierté et aussi un honneur pour tout sénégalais. « Nous sommes plus de 17 millions et quand on vous choisit parmi tant d’autres personnes, c’est parce que nous pouvons apporter notre humble contribution. C’est dans le cadre d’un gouvernement d’ouverture que le président a pensé que les sénégalais quel que soit leur background, peuvent contribuer à l’émergence du pays. Lorsque j’ai été appelée, je n’ai pas hésité. Et je donnerai tout ce que j’ai comme connaissance, comme compétence… », a martelé la désormais ancienne directrice de ONU femmes.
Pour rappel, Oulimata Sarr était jusque-là, la Directrice Régionale du bureau d'ONU Femmes à Dakar qui couvre l’Afrique de l'Ouest et l’Afrique Centrale, avec 24 pays sous sa responsabilité. Elle avait comme mission d'aider les gouvernements à élaborer des programmes visant à promouvoir l’autonomisation économique des femmes mais également, d’amener les politiques publiques et le secteur privé à créer des opportunités pour les femmes à tous les niveaux de l’activité économique.
Elle a commencé sa carrière chez Ernst & Young en audit, au Sénégal, puis passera dix ans à la Société financière internationale, une institution membre du Groupe de la Banque mondiale, avant de rejoindre les Nations Unies. De 1993 à 2005, elle travaille comme Directrice Administrative et Financière de la compagnie aérienne Interair South Africa basée à Johannesburg en Afrique du Sud.
Elle a également participé à plusieurs initiatives qui autonomisent les femmes à travers le monde comme Africa 2.0, African Leadership Network, Vital Voices, Cartier Women’s Initiative, UnitLife.
Oulimata Sarr, même si elle n’est pas très présente dans l’espace médiatique, a confié à Dakaractu en exclusivité, ses premiers mots après sa nomination à la tête de ce ministère qui reste pour elle, un département où il y a énormément de personnes qualifiées : « J’ai répondu à l’appel du Sénégal. C’est la patrie qui m’a appelée et je démissionne des Nations Unies pour répondre… », déclare la diplômée de l'École des Hautes études Commerciales de Montréal qui considère, qu’en dépit de ce que représente ONU femmes, la situation socio-économique au Sénégal mérite bien qu’elle renonce à cette tâche pour la patrie.
Pour sa nouvelle nomination, Oulimata Sarr au bout du fil de Dakaractu, estime que c’est une grande fierté et aussi un honneur pour tout sénégalais. « Nous sommes plus de 17 millions et quand on vous choisit parmi tant d’autres personnes, c’est parce que nous pouvons apporter notre humble contribution. C’est dans le cadre d’un gouvernement d’ouverture que le président a pensé que les sénégalais quel que soit leur background, peuvent contribuer à l’émergence du pays. Lorsque j’ai été appelée, je n’ai pas hésité. Et je donnerai tout ce que j’ai comme connaissance, comme compétence… », a martelé la désormais ancienne directrice de ONU femmes.
Pour rappel, Oulimata Sarr était jusque-là, la Directrice Régionale du bureau d'ONU Femmes à Dakar qui couvre l’Afrique de l'Ouest et l’Afrique Centrale, avec 24 pays sous sa responsabilité. Elle avait comme mission d'aider les gouvernements à élaborer des programmes visant à promouvoir l’autonomisation économique des femmes mais également, d’amener les politiques publiques et le secteur privé à créer des opportunités pour les femmes à tous les niveaux de l’activité économique.
Elle a commencé sa carrière chez Ernst & Young en audit, au Sénégal, puis passera dix ans à la Société financière internationale, une institution membre du Groupe de la Banque mondiale, avant de rejoindre les Nations Unies. De 1993 à 2005, elle travaille comme Directrice Administrative et Financière de la compagnie aérienne Interair South Africa basée à Johannesburg en Afrique du Sud.
Elle a également participé à plusieurs initiatives qui autonomisent les femmes à travers le monde comme Africa 2.0, African Leadership Network, Vital Voices, Cartier Women’s Initiative, UnitLife.
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