Les journalistes Sénégalais, et ceux qui sont membres de l’Association des professionnels de la presse en ligne (Appel) continuent de solliciter des autorités étatiques plus de diligence pour que soient posés les derniers jalons de ce Code de la presse. Ibrahima Lissa Faye qui dirige les destinées de cette entité a mis à profit le sit-in de la presse, de ce matin, pour faire le plaidoyer pour la finition des textes restants. C’était au cours de la manifestation initiée pour célébrer la Journée mondiale de la liberté de presse, devant les locaux de la tutelle.
‘’La presse semble avoir les mains liées de nos jours. Parce qu’il suffit qu’on publie certaines informations pour que s'abatte sur soi une série de menaces et de propos malveillants dans les réseaux sociaux. La preuve, il y a quelques semaines Appel avait même porté plainte pour menace et attaque à la liberté de la presse. Une raison pour nous d’inviter l’État à finaliser les textes qui manquent pour que le Code de la presse soit en vigueur. Ce sont le nouvel organe de régulation ; la loi sur l’accès à l’information ; le Code de la publicité et enfin la loi sur le financement public de l’information.
Des textes qui pourraient sortir la presse de sa précarité pour la mettre dans des conditions les meilleures. Et qui permettraient aux membres des entreprises de presse d’agir en toute responsabilité et d’éviter d’être d'être sanctionnés négativement’’, a dit le président de l’Appel.
Celui-ci déplore les violences dont ont fait l’objet des reporters, au cours des soulèvements populaires nés de l’affaire Ousmane Sonko. ‘’Nous avons aussi noté que lors de ces dernières manifestations populaires, beaucoup de journalistes ont été victimes de violences policières ainsi que des locaux d’organes de presse attaqués. Cela ne peut plus continuer. Il faut que cela cesse. C’est d’ailleurs ce qui est une des raisons qui ont poussé les organisations de presse à initier ce sit-in aujourd’hui. Une rencontre pour dénoncer une atteinte à la liberté de presse et le manque de sécurité des journalistes et des agences de presse’’, a-t-il confié au micro de Dakaractu.
Ses confrères et consœurs et lui-même entendent participer ‘’au cadre de régulation des réseaux sociaux. Il nous faut des concertations entre les autorités étatiques et les acteurs de presse pour voir comment corriger ces textes de loi en place sur les réseaux sociaux afin qu’il y ait une régulation et non une censure, ni une restriction’’, dira-t-il.
‘’La presse semble avoir les mains liées de nos jours. Parce qu’il suffit qu’on publie certaines informations pour que s'abatte sur soi une série de menaces et de propos malveillants dans les réseaux sociaux. La preuve, il y a quelques semaines Appel avait même porté plainte pour menace et attaque à la liberté de la presse. Une raison pour nous d’inviter l’État à finaliser les textes qui manquent pour que le Code de la presse soit en vigueur. Ce sont le nouvel organe de régulation ; la loi sur l’accès à l’information ; le Code de la publicité et enfin la loi sur le financement public de l’information.
Des textes qui pourraient sortir la presse de sa précarité pour la mettre dans des conditions les meilleures. Et qui permettraient aux membres des entreprises de presse d’agir en toute responsabilité et d’éviter d’être d'être sanctionnés négativement’’, a dit le président de l’Appel.
Celui-ci déplore les violences dont ont fait l’objet des reporters, au cours des soulèvements populaires nés de l’affaire Ousmane Sonko. ‘’Nous avons aussi noté que lors de ces dernières manifestations populaires, beaucoup de journalistes ont été victimes de violences policières ainsi que des locaux d’organes de presse attaqués. Cela ne peut plus continuer. Il faut que cela cesse. C’est d’ailleurs ce qui est une des raisons qui ont poussé les organisations de presse à initier ce sit-in aujourd’hui. Une rencontre pour dénoncer une atteinte à la liberté de presse et le manque de sécurité des journalistes et des agences de presse’’, a-t-il confié au micro de Dakaractu.
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