Le 31 Décembre 2010, je rappelais au Président Laurent Gbagbo les paroles d’un cantique parlant du Christ: « attaché à la croix pour moi il a pris mon péché et il m’a délivré... Il RENONCE un moment à SON TRÔNE pour le plan rédempteur de Dieu, déposant pour moi SA COURONNE, un tel prix pour me rendre heureux.... » afin de l’appeler à préférer la Paix en Côte d’Ivoire à la vanité du pouvoir politique. La tragédie née de son refus d’entendre la voix de la Raison m’oblige, aujourd’hui, un an après, à lancer le même appel au Président de la République du Sénégal, pourfendeur hier de l’entêtement de Laurent Gbagbo qui s’était pourtant abrité derrière la décision d’une « Cour Constitutionnelle ».
Le danger est encore plus grand au Sénégal si l'on considère que les enjeux en Cote d'Ivoire se limitaient à un décompte de voix, exercice arithmétique, alors que chez nous il s'agira d'accepter l'interprétation d' une règle de droit dont le flou a fini de diviser, en deux camps, des hommes politiques pro et anti, inquiétant ainsi un peuple qui n'entend pas sacrifier sa seule richesse, la paix, à l'autel de nos querelles politiques.
Monsieur le Président de la République, vous devez à ce peuple qui a choisi les incertitudes du changement en vous confiant les clés de Sa République, la quête permanente de la paix sociale. Quoi que puissent vous dire vos proches et conseillers, quelle que soit la perception que vous avez de votre responsabilité vis-à-vis d’eux, vous devez comprendre que la préoccupation majeure de ce Peuple qui jadis vous a accordé sa confiance est la Paix. Votre rôle et votre devoir sont de travailler à cela. Et les Sénégalais, dans leur écrasante majorité, sont aujourd’hui conscients que votre persistance à être de la compétition présidentielle de 2012, en faisant fi de votre parole et de notre Constitution, est le seul et unique obstacle à la paix sociale.
La surenchère de l’arrogance peut appeler la violence et il n’est pas souhaitable que l’Institution dont vous exercez les charges soit à la tête d’une instabilité dont nul ne saurait prédire les limites et mesurer les conséquences.
Je vous appelle solennellement à ne pas installer un chaos qui vous emporterait et avec vous le petit peuple. Vous êtes encore le garant de cette stabilité sociale, protégez-la et préservez-la et vous en sortirez grandi aux yeux de l’Histoire et de Votre Peuple.
J’en appelle aussi à la lucidité avérée de l’opposition et à la clairvoyance reconnue du peuple sénégalais. Il s’agit de comprendre que la paix sociale de notre pays, si imperceptible, puisque nous ne connaissons que cette situation, n’a pas de prix. De même que la bonne santé est un état dont on ne se rend compte qu’une fois malade, la valeur de la stabilité sociale ne s’apprécie que lorsque la violence et l’insécurité s’installent.
Nous sommes conscients qu’énormément de forces tapies dans l’ombre souhaitent le chaos et travaillent à sa réalisation. Car ce chaos est soit leur porte de sortie afin de ne pas rendre compte de leurs crimes et délits soit un moyen de poursuivre leurs opérations d’accaparement des richesses nationales.
Ne leur offrons ni cette possibilité d’impunité ni un prolongement de bail dans leurs actions de prévarication en tombant dans le piège de la violence qu’ils nous tendent. Œuvrons à organiser l’ensemble des forces politiques et citoyennes éprises de paix et souhaitant le respect de la souveraineté du peuple gage de notre stabilité sociale et de notre exception démocratique et culturelle.
N’oublions pas que les véritables ennemis du Sénégal sont la cherté de la vie, l’accès difficile aux soins de santé et à une éducation de qualité, le chômage, l’insécurité, l’impunité etc.
Et ce combat pour un mieux-être palpable pour chaque Sénégalais que je porte ne pourra être gagné que dans un contexte de Paix et de Stabilité sociale. Toute démarche patriotique et responsable devrait s’inscrire dans ce cadre.
Je suis le Candidat de la PAIX !
Je serai le Président de la PAIX !
Le danger est encore plus grand au Sénégal si l'on considère que les enjeux en Cote d'Ivoire se limitaient à un décompte de voix, exercice arithmétique, alors que chez nous il s'agira d'accepter l'interprétation d' une règle de droit dont le flou a fini de diviser, en deux camps, des hommes politiques pro et anti, inquiétant ainsi un peuple qui n'entend pas sacrifier sa seule richesse, la paix, à l'autel de nos querelles politiques.
Monsieur le Président de la République, vous devez à ce peuple qui a choisi les incertitudes du changement en vous confiant les clés de Sa République, la quête permanente de la paix sociale. Quoi que puissent vous dire vos proches et conseillers, quelle que soit la perception que vous avez de votre responsabilité vis-à-vis d’eux, vous devez comprendre que la préoccupation majeure de ce Peuple qui jadis vous a accordé sa confiance est la Paix. Votre rôle et votre devoir sont de travailler à cela. Et les Sénégalais, dans leur écrasante majorité, sont aujourd’hui conscients que votre persistance à être de la compétition présidentielle de 2012, en faisant fi de votre parole et de notre Constitution, est le seul et unique obstacle à la paix sociale.
La surenchère de l’arrogance peut appeler la violence et il n’est pas souhaitable que l’Institution dont vous exercez les charges soit à la tête d’une instabilité dont nul ne saurait prédire les limites et mesurer les conséquences.
Je vous appelle solennellement à ne pas installer un chaos qui vous emporterait et avec vous le petit peuple. Vous êtes encore le garant de cette stabilité sociale, protégez-la et préservez-la et vous en sortirez grandi aux yeux de l’Histoire et de Votre Peuple.
J’en appelle aussi à la lucidité avérée de l’opposition et à la clairvoyance reconnue du peuple sénégalais. Il s’agit de comprendre que la paix sociale de notre pays, si imperceptible, puisque nous ne connaissons que cette situation, n’a pas de prix. De même que la bonne santé est un état dont on ne se rend compte qu’une fois malade, la valeur de la stabilité sociale ne s’apprécie que lorsque la violence et l’insécurité s’installent.
Nous sommes conscients qu’énormément de forces tapies dans l’ombre souhaitent le chaos et travaillent à sa réalisation. Car ce chaos est soit leur porte de sortie afin de ne pas rendre compte de leurs crimes et délits soit un moyen de poursuivre leurs opérations d’accaparement des richesses nationales.
Ne leur offrons ni cette possibilité d’impunité ni un prolongement de bail dans leurs actions de prévarication en tombant dans le piège de la violence qu’ils nous tendent. Œuvrons à organiser l’ensemble des forces politiques et citoyennes éprises de paix et souhaitant le respect de la souveraineté du peuple gage de notre stabilité sociale et de notre exception démocratique et culturelle.
N’oublions pas que les véritables ennemis du Sénégal sont la cherté de la vie, l’accès difficile aux soins de santé et à une éducation de qualité, le chômage, l’insécurité, l’impunité etc.
Et ce combat pour un mieux-être palpable pour chaque Sénégalais que je porte ne pourra être gagné que dans un contexte de Paix et de Stabilité sociale. Toute démarche patriotique et responsable devrait s’inscrire dans ce cadre.
Je suis le Candidat de la PAIX !
Je serai le Président de la PAIX !
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