Mr le président cette fois ci je serais bref et concis j’ai appris à travers la presse que vous voulez sauver Sénégal Airlines !
D’emblée je vous signale que le montage de cette société, par l’ancien régime est douteux et sa gestion nébuleuse :
On nous avait annoncé à sa création que le capital de cette société était de 18 milliards. Cela est loin d’être la vérité car il faut enlever sur ce montant les droits de trafic qui s’élèvent à environ 4 milliards. Les actionnaires devant débloquer chacun le montant annoncé, certains n’ont pas satisfait à cet engagement ; de fait on s’est retrouvé avec les 15 % de l’état ; au total la société a démarré l’exploitation avec 4,5 milliards. Cette société ayant évoluant avec un taux de remplissage de 15 à 20 % ce qui est d’ailleurs normal , s’est retrouvée avec des pertes sèches et aujourd’hui ces pertes s’élèvent à 16 milliards en une année de fonctionnement.
Selon L’OADA une société qui perd 50 % de son capital doit déclarer faillite ; Sénégal Airlines a perdu plus de 85 % de son capital initial. Deux solutions s’imposent :
1. C’est de déclarer faillite et mettre en place le plus rapidement possible une société de transport fiable. Car nous avons un aéroport international qui reçoit du monde.
2. Redimensionner le programme de Sénégal Airlines et injecter de l’argent pour partir sur de nouvelles bases .dans ce cas précis, il faut minimum 25 milliards pour payer les dettes et ensuite un autre montant supérieur à cette somme pour une bonne exploitation.
Aucune des deux hypothèses n’est envisagée à ma connaissance pour le moment. N’est ce vous qui disiez que les mêmes causes vont créer les mêmes effets ? Pour ainsi rejoindre Lavoisier qui disait « rien ne se perd rien ne crée , tout ce transforme ».
Je vous informe que la flotte Africaine est envahie par de grande Compagnies de part leur capital.
-Asky (Togo) capital à sa création 60 milliards
-Air Cote d’ivoire qui vient de naître : capital 50 milliards
-Arik du Nigeria avec 30 avions
-Le groupe Célester ne cesse d’injecter des centaines de milliards dans des compagnies Africaines en difficulté.
IBRA NDIAYE MASTER EN MANAGEMENT AÉROPORTUAIRE
D’emblée je vous signale que le montage de cette société, par l’ancien régime est douteux et sa gestion nébuleuse :
On nous avait annoncé à sa création que le capital de cette société était de 18 milliards. Cela est loin d’être la vérité car il faut enlever sur ce montant les droits de trafic qui s’élèvent à environ 4 milliards. Les actionnaires devant débloquer chacun le montant annoncé, certains n’ont pas satisfait à cet engagement ; de fait on s’est retrouvé avec les 15 % de l’état ; au total la société a démarré l’exploitation avec 4,5 milliards. Cette société ayant évoluant avec un taux de remplissage de 15 à 20 % ce qui est d’ailleurs normal , s’est retrouvée avec des pertes sèches et aujourd’hui ces pertes s’élèvent à 16 milliards en une année de fonctionnement.
Selon L’OADA une société qui perd 50 % de son capital doit déclarer faillite ; Sénégal Airlines a perdu plus de 85 % de son capital initial. Deux solutions s’imposent :
1. C’est de déclarer faillite et mettre en place le plus rapidement possible une société de transport fiable. Car nous avons un aéroport international qui reçoit du monde.
2. Redimensionner le programme de Sénégal Airlines et injecter de l’argent pour partir sur de nouvelles bases .dans ce cas précis, il faut minimum 25 milliards pour payer les dettes et ensuite un autre montant supérieur à cette somme pour une bonne exploitation.
Aucune des deux hypothèses n’est envisagée à ma connaissance pour le moment. N’est ce vous qui disiez que les mêmes causes vont créer les mêmes effets ? Pour ainsi rejoindre Lavoisier qui disait « rien ne se perd rien ne crée , tout ce transforme ».
Je vous informe que la flotte Africaine est envahie par de grande Compagnies de part leur capital.
-Asky (Togo) capital à sa création 60 milliards
-Air Cote d’ivoire qui vient de naître : capital 50 milliards
-Arik du Nigeria avec 30 avions
-Le groupe Célester ne cesse d’injecter des centaines de milliards dans des compagnies Africaines en difficulté.
IBRA NDIAYE MASTER EN MANAGEMENT AÉROPORTUAIRE
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