Le cercle des soufis joint sa voix dans le concert réprobateur contre cette entreprise de détraquage et de chamboulement du système social et de l’harmonie familiale, que constitue la dépénalisation de l’homosexualité, si réellement l’information est avérée qu’un projet de loi a été déposé ou en voie de l’être dans ce sens à l’Assemblée nationale.
Ni l’homoparentalité encore moins la gestation pour autrui (GPA), ce vocabulaire licencieux ne devra pas avoir droit de cité dans l’espace de notre vécu social sénégalais. Et nous devons absolument éviter que les pratiques contre natures et étrangères à notre société et nos religions soient importées d’ailleurs pour nous être fourguées, au risque de contaminer les couches les plus vulnérables, par influence financière ou par mimétisme.
Cet état de fait remet sur la table ce que j’appelle « la dictature des droits et du césarisme des conventions et coutumes internationales »
Parce que nul n’ignore que les aréopages sénégalais pour la défense des droits humains que sont : la RADDHO LIGUE SENEGALAIS POUR LES DROITS HUMAINS ET L’AMNESTIE INTERNATIONALE DU SENEGAL appellent parfois de tous leurs vœux , à la conciliation de la disposition de nos législations régissantes et des cadres réglementaires avec celles des conventions internationales ratifiées par le gouvernement du Sénégal.
Par ailleurs, les soufis déplorent vivement le retard important accusé dans la conclusion des premiers dossiers examinés des audits des biens mal acquis jusque-là. En effet, les Sénégalais commencent légitimement à se demander et même à perdre patience, à savoir si les enquêtes avancent effectivement ou stagnaient ? Parce qu’il est quand même curieux, compte tenu de la gravité des faits, de l’urgence qu’appelle cette importance, ces affaires restent encore suspendues en l’air sans que l’on ne sache pourquoi ? D’autant plus que l’on a créé une juridiction spéciale avec des pouvoirs étendus, qui détient tous les leviers de vérification et d’investigation, pour que les enquêtes ne trainent pas les pieds. Et il s’y ajoute, ce qui n’était pas utile ni nécessaire, un gigantesque renfort médiatique qui dévoile inutilement certains secrets de l’enquête. Le président de la République, oublie-t-il qu’il est devant un enjeu politique de taille dont lui-même, s’était engagé devant le peuple sénégalais, à démêler l’écheveau, parce que c’est une promesse ferme de sa part.
A force d’attendre et de faire attendre le peuple devant lequel lui s’était engagé résolument, les autorités finiront par installer le doute et la lassitude dans l’esprit de certains citoyens, pourtant de bonne foi. Il y a en effet aujourd’hui, plus d’échos sur les convocations des incriminés que d’arrestations parmi eux sur la base de preuves indiscutables. Dès lors, un sentiment de pitié ou d’injustice pourrait naître justement en faveur de ces accusés, selon quoi, ils sont victimes d’acharnement et d’harcèlement du régime actuel.
Maintenant, certains Sénégalais se demandent le pourquoi de tout cela, est-ce par crainte de trouver des os dans les audits qui s’avèrent une affaire à l’emporte-pièce, que l’Etat s’est refugié derrière la loi sur l’enrichissement illicite ou tout bonnement un formalisme juridique qui ressemblerait à une chasse aux sorcières ? Le temps nous le dira demain.
Ni l’homoparentalité encore moins la gestation pour autrui (GPA), ce vocabulaire licencieux ne devra pas avoir droit de cité dans l’espace de notre vécu social sénégalais. Et nous devons absolument éviter que les pratiques contre natures et étrangères à notre société et nos religions soient importées d’ailleurs pour nous être fourguées, au risque de contaminer les couches les plus vulnérables, par influence financière ou par mimétisme.
Cet état de fait remet sur la table ce que j’appelle « la dictature des droits et du césarisme des conventions et coutumes internationales »
Parce que nul n’ignore que les aréopages sénégalais pour la défense des droits humains que sont : la RADDHO LIGUE SENEGALAIS POUR LES DROITS HUMAINS ET L’AMNESTIE INTERNATIONALE DU SENEGAL appellent parfois de tous leurs vœux , à la conciliation de la disposition de nos législations régissantes et des cadres réglementaires avec celles des conventions internationales ratifiées par le gouvernement du Sénégal.
Par ailleurs, les soufis déplorent vivement le retard important accusé dans la conclusion des premiers dossiers examinés des audits des biens mal acquis jusque-là. En effet, les Sénégalais commencent légitimement à se demander et même à perdre patience, à savoir si les enquêtes avancent effectivement ou stagnaient ? Parce qu’il est quand même curieux, compte tenu de la gravité des faits, de l’urgence qu’appelle cette importance, ces affaires restent encore suspendues en l’air sans que l’on ne sache pourquoi ? D’autant plus que l’on a créé une juridiction spéciale avec des pouvoirs étendus, qui détient tous les leviers de vérification et d’investigation, pour que les enquêtes ne trainent pas les pieds. Et il s’y ajoute, ce qui n’était pas utile ni nécessaire, un gigantesque renfort médiatique qui dévoile inutilement certains secrets de l’enquête. Le président de la République, oublie-t-il qu’il est devant un enjeu politique de taille dont lui-même, s’était engagé devant le peuple sénégalais, à démêler l’écheveau, parce que c’est une promesse ferme de sa part.
A force d’attendre et de faire attendre le peuple devant lequel lui s’était engagé résolument, les autorités finiront par installer le doute et la lassitude dans l’esprit de certains citoyens, pourtant de bonne foi. Il y a en effet aujourd’hui, plus d’échos sur les convocations des incriminés que d’arrestations parmi eux sur la base de preuves indiscutables. Dès lors, un sentiment de pitié ou d’injustice pourrait naître justement en faveur de ces accusés, selon quoi, ils sont victimes d’acharnement et d’harcèlement du régime actuel.
Maintenant, certains Sénégalais se demandent le pourquoi de tout cela, est-ce par crainte de trouver des os dans les audits qui s’avèrent une affaire à l’emporte-pièce, que l’Etat s’est refugié derrière la loi sur l’enrichissement illicite ou tout bonnement un formalisme juridique qui ressemblerait à une chasse aux sorcières ? Le temps nous le dira demain.
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