Le chef de l’Etat Macky Sall a assisté à l’investiture du nouveau président ghanéen Nana Akufo-Addo, samedi, à Accra, en même temps que plusieurs autres de ses homologues, dont la Libérienne Ellen Johnson Shirleaf, présidente en exercice de la CEDEAO, la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest.
Etaient également présents, le président ivoirien Alassane Dramane Ouattara, le Guinéen Alpha Condé, Roch Marc Christian Kaboré (Burkina Faso) et Ibrahim Boubacar Keïta, entre autres, selon des images fournies par le service de presse de la présidence sénégalaise.
Ancien chef de file de l’opposition ghanéenne, Nana Akufo-Addo, 72 ans, est le fils d’Edward Akufo-Addo, l’un des pères de l’indépendance et éphémère président de la République (d’août 1970 à janvier 1972), avant d’être renversé par un coup d’Etat.
L’ancien défenseur des droits de l’homme a prêté serment devant plusieurs milliers de personnes, appelant à rétablir "l’intégrité dans la vie publique", dans des propos rapportés par de nombreux médias notamment locaux.
Aussi a-t-il promis dans son discours d’investiture, de s’attaquer à la corruption et de relancer le secteur privé.
Nana Akufo-Addo, candidat pour la troisième fois à la présidence ghanéenne, s’est imposé dans les urnes dès le premier tour, le 7 décembre dernier, avec 53,8 % des voix contre 44,7 % pour le président sortant, John Dramani Mahama,
Sa victoire et la transition pacifique du pouvoir contribuent à renforcer l’image du Ghana, présenté comme un modèle de stabilité dans une Afrique de l’Ouest.
Etaient également présents, le président ivoirien Alassane Dramane Ouattara, le Guinéen Alpha Condé, Roch Marc Christian Kaboré (Burkina Faso) et Ibrahim Boubacar Keïta, entre autres, selon des images fournies par le service de presse de la présidence sénégalaise.
Ancien chef de file de l’opposition ghanéenne, Nana Akufo-Addo, 72 ans, est le fils d’Edward Akufo-Addo, l’un des pères de l’indépendance et éphémère président de la République (d’août 1970 à janvier 1972), avant d’être renversé par un coup d’Etat.
L’ancien défenseur des droits de l’homme a prêté serment devant plusieurs milliers de personnes, appelant à rétablir "l’intégrité dans la vie publique", dans des propos rapportés par de nombreux médias notamment locaux.
Aussi a-t-il promis dans son discours d’investiture, de s’attaquer à la corruption et de relancer le secteur privé.
Nana Akufo-Addo, candidat pour la troisième fois à la présidence ghanéenne, s’est imposé dans les urnes dès le premier tour, le 7 décembre dernier, avec 53,8 % des voix contre 44,7 % pour le président sortant, John Dramani Mahama,
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