La motion de censure du mercredi 26 décembre, vient de consacrer la bêtise d’une accession accidentelle du groupe libéral à l’Assemblée nationale. Si la motivation de ces députés était une tentative masquée et sans succès d’éclipser le débat national sur les détournements de deniers publics, le groupe libéral a réussi à exalter dans la foulée et peut-être sans s’en rendre compte un antipatriotisme inopportun. La médiatisation sans fondement juridique valable de blanchiment d’argent d’une affaire qui remonte à 20 ans, est qu’on le veuille ou non une atteinte aux intérêts stratégiques de notre pays. Cette motion participe de la dissuasion d’attirer des capitaux alors que nous en avons tant besoin pour relancer l’économie nationale. Que le Sénégal soit en passe de devenir la Suisse de l’Afrique, Why Not?
Nous n’avons ni pétrole, ni Diamant, mais nous avons un peuple de génie, une stabilité politique qui fait école, autant d’atouts sur lesquels nous devons capitaliser. La cerise sur le gâteau, c’est la bonne gouvernance qui est en passe de devenir une réalité et un bon environnement des affaires de plus en plus assaini. Qu’on le veuille ou non, aujourd’hui le Sénégal est un état de droit garantissant la sécurité des personnes et des biens. Voilà des privilèges singuliers pour faire du Sénégal un hub des services et des entreprises étrangères qui veulent investir en Afrique. C’est pourquoi, le groupe libéral nous a fait un mauvais cadeau de noël avec sa motion de censure. Les leaders de ce groupe de l’opposition ignorent pathétiquement les enjeux économiques de leur acte.
Les libéraux oublient que leur régime a ramené la dette publique du Sénégal à plus de 3,000 milliards avant qu’on ne les force à quitter le pouvoir.
Ces mêmes gens qui étaient au cœur du gangstérisme de l’ère Wade, ont eu le toupet en cette fin d’année de Magal nous livrer une dramaturgie malsaine dans le but de nous détourner de l’essentiel : le redressement d’un pays que Wade et ses affidés ont mis moralement et financièrement à genou.
L’assainissement de la vie publique est un préalable de survie pour le Sénégal après le Wadisme vampire, une demande sociale et une promesse électorale. C’est un préalable pour recouvrer d’abord les biens mal acquis, mais également pour relancer l’économie parce que, désormais, des investisseurs nationaux comme étrangers peuvent faire confiance à notre système judiciaire. La relance de l’économie nationale et subséquemment, la création d’emplois et de richesses solidaires passent par des investissements colossaux dont la confiance en notre état de punir les crimes économiques entre autres est une condition essentielle pour concurrencer des pays émergents comme le Ghana ou le Botswana.
Si ce groupe libéral veut fantasmer sur l’idée de regagner une once de sympathie du peuple, il devrait parcourir le monde pour faire venir des idées et des capitaux afin que des investissements dans leurs localités respectives aident à résorber le chômage des jeunes et produire de la richesse. Une telle démarche citoyenne doit se traduire à l’Assemblée nationale par des propositions de lois—pas des motions de censure—qui fondent des mesures incitatives pour attirer des capitaux et faire de notre téranga un concept économiquement attractif.
In fine, si des étrangers nous font confiance pour investir chez nous, c’est le Sénégal qui y gagne en crédibilité.
Le groupe libéral à l’Assemblée nationale, est pour ainsi dire mal placé pour déposer une motion de censure aussi inopportune qu’antipatriotique. Ces députés animés qu’ils doivent être par l’intérêt national, ne devraient pas oublier qu’ils sont passés in extremis entre les mailles de la censure du peuple il y a juste 5 mois. Ces rescapés de la sanction populaire devraient savoir raison garder, car en plus d’avoir été au cœur d’un système de pillage de notre pays, exhumer une transaction bancaire d’il y a 20 ans, c’est faire preuve de légèreté, mais aussi et surtout faire ingratement mauvaise presse à notre pays, ce qui en soit nuit gravement aux intérêts stratégiques nationaux.
En cette année qui s’achève, regardons devant –comme disent nos amis ivoiriens—en promouvant une renaissance de notre beau pays, un Sénégal où il fait bon vivre ; ou tous ceux qui veulent la paix et la prospérité économique, viennent poser leur baluchon et leur argent.
Dr. Moussa Sow
CCR-USA
www.concar-usa.org
Nous n’avons ni pétrole, ni Diamant, mais nous avons un peuple de génie, une stabilité politique qui fait école, autant d’atouts sur lesquels nous devons capitaliser. La cerise sur le gâteau, c’est la bonne gouvernance qui est en passe de devenir une réalité et un bon environnement des affaires de plus en plus assaini. Qu’on le veuille ou non, aujourd’hui le Sénégal est un état de droit garantissant la sécurité des personnes et des biens. Voilà des privilèges singuliers pour faire du Sénégal un hub des services et des entreprises étrangères qui veulent investir en Afrique. C’est pourquoi, le groupe libéral nous a fait un mauvais cadeau de noël avec sa motion de censure. Les leaders de ce groupe de l’opposition ignorent pathétiquement les enjeux économiques de leur acte.
Les libéraux oublient que leur régime a ramené la dette publique du Sénégal à plus de 3,000 milliards avant qu’on ne les force à quitter le pouvoir.
Ces mêmes gens qui étaient au cœur du gangstérisme de l’ère Wade, ont eu le toupet en cette fin d’année de Magal nous livrer une dramaturgie malsaine dans le but de nous détourner de l’essentiel : le redressement d’un pays que Wade et ses affidés ont mis moralement et financièrement à genou.
L’assainissement de la vie publique est un préalable de survie pour le Sénégal après le Wadisme vampire, une demande sociale et une promesse électorale. C’est un préalable pour recouvrer d’abord les biens mal acquis, mais également pour relancer l’économie parce que, désormais, des investisseurs nationaux comme étrangers peuvent faire confiance à notre système judiciaire. La relance de l’économie nationale et subséquemment, la création d’emplois et de richesses solidaires passent par des investissements colossaux dont la confiance en notre état de punir les crimes économiques entre autres est une condition essentielle pour concurrencer des pays émergents comme le Ghana ou le Botswana.
Si ce groupe libéral veut fantasmer sur l’idée de regagner une once de sympathie du peuple, il devrait parcourir le monde pour faire venir des idées et des capitaux afin que des investissements dans leurs localités respectives aident à résorber le chômage des jeunes et produire de la richesse. Une telle démarche citoyenne doit se traduire à l’Assemblée nationale par des propositions de lois—pas des motions de censure—qui fondent des mesures incitatives pour attirer des capitaux et faire de notre téranga un concept économiquement attractif.
In fine, si des étrangers nous font confiance pour investir chez nous, c’est le Sénégal qui y gagne en crédibilité.
Le groupe libéral à l’Assemblée nationale, est pour ainsi dire mal placé pour déposer une motion de censure aussi inopportune qu’antipatriotique. Ces députés animés qu’ils doivent être par l’intérêt national, ne devraient pas oublier qu’ils sont passés in extremis entre les mailles de la censure du peuple il y a juste 5 mois. Ces rescapés de la sanction populaire devraient savoir raison garder, car en plus d’avoir été au cœur d’un système de pillage de notre pays, exhumer une transaction bancaire d’il y a 20 ans, c’est faire preuve de légèreté, mais aussi et surtout faire ingratement mauvaise presse à notre pays, ce qui en soit nuit gravement aux intérêts stratégiques nationaux.
En cette année qui s’achève, regardons devant –comme disent nos amis ivoiriens—en promouvant une renaissance de notre beau pays, un Sénégal où il fait bon vivre ; ou tous ceux qui veulent la paix et la prospérité économique, viennent poser leur baluchon et leur argent.
Dr. Moussa Sow
CCR-USA
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