Le Conseil National des Jeunes du FSD / BJ, fidèle à sa ligne de conduite tracée depuis des mois pour alerter l’opinion nationale et internationale sur les dérives constatées au sein du parti d’une part, et le manque de sérieux manifeste de nos gouvernants actuels sur des questions d’intérêts publics, vient une fois de plus marquer son indignation.
Le mal est certes interne…
En effet, une gestion funeste et un mode de management macabre sont diligentés au sein du FSD / BJ par M. Cheikh Bamba DIEYE, plus préoccupé par son fauteuil de ministre que de l’avenir du parti. Le conseil national des jeunes, seule instance au moment ou nous parlons, qui ne souffre d’aucune illégitimité s’inscrit en faux contre la décision unilatérale prise par M. Cheikh Bamba DIEYE d’être candidat à sa propre succession à la tête de la municipalité de Saint-Louis. Nous ne saurions par conséquent avaliser une telle déclaration qui relève d’un manque évident de considération aux regards des responsables et militants de notre formation politique alors qu’il subsiste encore des préalables « légaux » non encore satisfaits tel que la tenue d’un congrès de renouvellement des instances !
À ce propos, les jeunes membres du CNJ prennent l’opinion à témoin et porte à la connaissance des sénégalais que le FDS / BJ n’a plus de Secrétaire Général. Les statuts et le règlement intérieur du parti qui conféraient au S.G légalement élu, la prérogative de convoquer un congrès tous les cinq ans ont été tout simplement dissouts par M. DIEYE. Une telle initiative de sa part ne visait qu’à semer le désordre et la confusion dans la tête des militants, dans le seul but de pouvoir continuer à occuper cette prestigieuse fonction dans l’illégalité la plus absolue. Dans ce même ordre d’idées, nous tenons à souligner que le poste de Secrétaire Général du FSD / BJ est vacant depuis 2007 et qu’à chaque fois que l’idée d’organiser un congrès est émise par les militants, le Secrétaire Général devenu « illégitime » joue au dilatoire. Dès lors que des progrès sont faits dans ce sens, il trouve toujours des moyens subtils pour casser la dynamique, soit en dissolvant les comités mis en place dans cette perspective, soit en invalidant tout simplement les textes écrits.
Les jeunes du CNJ font savoir que le règne d’un S.G omnipotent, qui à lui seul dicte la cadence des pas de danse, est révolu. Le processus devant mener vers l’organisation d’un congrès, en toute démocratie et en toute liberté, est dorénavant enclenché, et aucun subterfuge ne pourra l’arrêter et encore moins nous y détourner !
Mais aussi National…..
Le CNJ du FSD / BJ dénonce sans concession le manque de respect et de responsabilité du pouvoir actuel quant à la gestion des affaires publiques mais aussi envers l’opinion nationale. La publication récente de deux communiqués du Conseil des ministres témoigne du laxisme du gouvernement et d’un manque de sérieux perceptible de nos dirigeants actuels à l’attention du peuple qui les a portés à la tête de ce pays.
Les jeunes du FSD / BJ condamnent fermement les propos malsaines et discourtois tenu par certains membres de notre coalition a limage d’Ahmeth Suzanne Camara mais aussi et surtout les attaques répétées et les menaces de mort proférées à l’intention de M. Seydi Gassama, coordonnateur de Amnesty International / Sénégal, seule organisation de la société civile encore en dehors des arcanes du pouvoir. A défaut de pouvoir l’enrouler dans l’attelage gouvernemental pour le faire taire et renier ses convictions à l’image de ses anciens « compagnons de guerre », le gouvernement se verse dans l’intimidation et la menace. Ca suffit !!!
Nous exigeons de la part de la garde des Sceaux qu’elle éclaire la lanterne de l’opinion sur les sommes recouvrées dans le cadre de la traque des biens mal acquis. Qu’elle nous dise d’où viennent ces fonds et comment se sont déroulées les négociations avec les pilleurs de l’Etat?
Que l’Etat cesse d’instrumentaliser la Constitution en sa faveur en faisant toujours recours à l’article 80 pour combattre des adversaires politiques. Les principes les plus élémentaires de la démocratie reconnaissent, notre charte fondamentale en l’occurrence, le droit à la marche et aux manifestations pacifiques. Le CNJ interpelle le gouvernement pour le respect de ces critères de bonne gouvernance tout en récusant formellement la volonté du Président de mettre sur pied une agence nationale de sécurité qui ne ferait que fragiliser davantage notre Police nationale !
Le Conseil National des Jeunes du FSD/BJ
Le mal est certes interne…
En effet, une gestion funeste et un mode de management macabre sont diligentés au sein du FSD / BJ par M. Cheikh Bamba DIEYE, plus préoccupé par son fauteuil de ministre que de l’avenir du parti. Le conseil national des jeunes, seule instance au moment ou nous parlons, qui ne souffre d’aucune illégitimité s’inscrit en faux contre la décision unilatérale prise par M. Cheikh Bamba DIEYE d’être candidat à sa propre succession à la tête de la municipalité de Saint-Louis. Nous ne saurions par conséquent avaliser une telle déclaration qui relève d’un manque évident de considération aux regards des responsables et militants de notre formation politique alors qu’il subsiste encore des préalables « légaux » non encore satisfaits tel que la tenue d’un congrès de renouvellement des instances !
À ce propos, les jeunes membres du CNJ prennent l’opinion à témoin et porte à la connaissance des sénégalais que le FDS / BJ n’a plus de Secrétaire Général. Les statuts et le règlement intérieur du parti qui conféraient au S.G légalement élu, la prérogative de convoquer un congrès tous les cinq ans ont été tout simplement dissouts par M. DIEYE. Une telle initiative de sa part ne visait qu’à semer le désordre et la confusion dans la tête des militants, dans le seul but de pouvoir continuer à occuper cette prestigieuse fonction dans l’illégalité la plus absolue. Dans ce même ordre d’idées, nous tenons à souligner que le poste de Secrétaire Général du FSD / BJ est vacant depuis 2007 et qu’à chaque fois que l’idée d’organiser un congrès est émise par les militants, le Secrétaire Général devenu « illégitime » joue au dilatoire. Dès lors que des progrès sont faits dans ce sens, il trouve toujours des moyens subtils pour casser la dynamique, soit en dissolvant les comités mis en place dans cette perspective, soit en invalidant tout simplement les textes écrits.
Les jeunes du CNJ font savoir que le règne d’un S.G omnipotent, qui à lui seul dicte la cadence des pas de danse, est révolu. Le processus devant mener vers l’organisation d’un congrès, en toute démocratie et en toute liberté, est dorénavant enclenché, et aucun subterfuge ne pourra l’arrêter et encore moins nous y détourner !
Mais aussi National…..
Le CNJ du FSD / BJ dénonce sans concession le manque de respect et de responsabilité du pouvoir actuel quant à la gestion des affaires publiques mais aussi envers l’opinion nationale. La publication récente de deux communiqués du Conseil des ministres témoigne du laxisme du gouvernement et d’un manque de sérieux perceptible de nos dirigeants actuels à l’attention du peuple qui les a portés à la tête de ce pays.
Les jeunes du FSD / BJ condamnent fermement les propos malsaines et discourtois tenu par certains membres de notre coalition a limage d’Ahmeth Suzanne Camara mais aussi et surtout les attaques répétées et les menaces de mort proférées à l’intention de M. Seydi Gassama, coordonnateur de Amnesty International / Sénégal, seule organisation de la société civile encore en dehors des arcanes du pouvoir. A défaut de pouvoir l’enrouler dans l’attelage gouvernemental pour le faire taire et renier ses convictions à l’image de ses anciens « compagnons de guerre », le gouvernement se verse dans l’intimidation et la menace. Ca suffit !!!
Nous exigeons de la part de la garde des Sceaux qu’elle éclaire la lanterne de l’opinion sur les sommes recouvrées dans le cadre de la traque des biens mal acquis. Qu’elle nous dise d’où viennent ces fonds et comment se sont déroulées les négociations avec les pilleurs de l’Etat?
Que l’Etat cesse d’instrumentaliser la Constitution en sa faveur en faisant toujours recours à l’article 80 pour combattre des adversaires politiques. Les principes les plus élémentaires de la démocratie reconnaissent, notre charte fondamentale en l’occurrence, le droit à la marche et aux manifestations pacifiques. Le CNJ interpelle le gouvernement pour le respect de ces critères de bonne gouvernance tout en récusant formellement la volonté du Président de mettre sur pied une agence nationale de sécurité qui ne ferait que fragiliser davantage notre Police nationale !
Le Conseil National des Jeunes du FSD/BJ
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