« Lui », c’est Abdoulaye Wade. « Moi », c’est Idrissa Seck. « Lui », il a été le 3ème président du Sénégal « Moi » je suis le 4ème. Je dis bien … que je suis le 4ème et pas que…. j’en serai le 4ème.
Si « Lui » il a théorisé le « Sopi », « Moi » j’ai théorisé « le savoir, l’avoir et le pouvoir » par tous les moyens.
J’étais vraiment convaincu de vouloir « Sopi Ndjoublangue » et Djapalé Gorgorlou, mais j’ai découvert un projet beaucoup plus funeste, qui était celui d’un coup d’état consanguin rampant de dévolution monarchique du pouvoir : « Paabi aak Doom dji ». Mais le fils « biologique » n’est plus sur le coup. Le projet de dévolution monarchique du pouvoir est de la pure diversion pour divertir les sénégalais et l’opposition. Il fait appel à une autre version de dévolution du pouvoir basée sur une « alliance stratégique de type opportuniste » ou une « intégration politique conjointe » en amont entre « LUI » et « MOI ».
Le jeu de la diversion entre « Lui » et « Moi » n’a pas débuté comme d’aucuns le pensent au moment de la dualité annoncée au sommet en 2004. Bien au contraire, l’alliance « maléfique » a débuté en amont depuis les lendemains de l’alternance, lors du partage du butin entre « deux grands bandits » qui font semblant de se disputer pour tenir en haleine leurs sujets, en l’occurrence « LUI » Abdoulaye WADE et « Moi » idrissa SECK
Les objectifs poursuivis étant toujours double : « MOI » Idrissa SECK : fragmenter et annihiler toutes les forces de l’opposition (alliance fictive avec l’opposition) et capter un électorat évasif au moyen de la victimisation par l’injustice que « Lui » Abdoulaye WADE me ferait subir par des accusations de vols des chantiers de THIES.
Figurez vous que « Moi » idrissa SECK qui ai déclaré en 2006 que « Lui » Abdoulaye WADE est un « ancien spermatozoïde et un futur cadavre » ; et que « Lui » Abdoulaye WADE ayant déclaré que j’étais un voleur et qu’il m’a donné 10 000 j’ai pris 8000 et je lui ai ramené 2000 ; et que nenni dans tout ça !
Et pourtant j’ai bien déclaré en Casamance que « Moi » Idrissa SECK suis « né pauvre, et me suis enrichi aujourd’hui, avec les moyens que l’Etat avait mis à ma disposition pour être futur Président ». Mais quoique, fusse t-il « un centime du contribuable détourné ne pourrait m’être imputé ; et cela jusqu’à l’extinction du soleil ».
Lorsque « Lui » Abdoulaye WADE, m’a envoyé en prison et actionné tous les leviers institutionnels et internationaux de la république pour achever ma « fictive » mort politique, « Moi » Idrissa SECK j’étais dans une maison incontournable et confortable pour « marcher vers la plus haute station politique du pays ».
D’ailleurs c’est toujours dans cette fictive dualité politique que « lui » voulant ma mort politique m’accusa « MOI » de concussion et de détournement dans l’affaire des chantiers de THIES. Mais « Moi » ma seule arme de survie politique fictive fût la « confiscation » des fonds politiques dont je détiens toujours la comptabilité qui peut être versée dans le domaine public pour audit ».
Pour financer sa campagne de 2007, « lui » a signé avec « moi » le fameux « protocole de Rebeuss. A ma charge de libérer une partie des fonds pour 2007 et une autre partie pour 2012. En contrepartie « Lui » devrait manœuvrer pour que « Moi » je le remplace en 2012. Aussi, grâce à des opérations de tripatouillage du fichier électoral, « Moi » je devrais terminer 2ème à l’élection présidentielle pour d’abord légitimer ma place de « dauphin politique biologique » contrairement au « fils biologique », « dauphin financier naturel » qui doit amasser un héritage financier colossal pour assurer la retraite de « lui » le « Père » ; ensuite pour noyer les partis traditionnels de l’opposition, envoyer à la retraite tous les autres briscards et dinosaures du champ politique et détourner de l’essentiel une grande masse de l’électorat sénégalais.
D’ailleurs sous cet angle je « Lui ai même proposé de faire le marketing du couplage des élections présidentielles et législatives » qui seront finalement découplées à l’issue du boycott de l’opposition que j’avais déjà infiltré. L’opposition ayant boycotté les législatives, alors notre prochaine échéance entre « Lui » et « Moi » était de financer les campagnes locales du fils « biologique ». L’appétit du pouvoir, du « Fils biologique » grandissant avec sa génération qu’il a créée et avec le test grandeur nature de l’ANOCI, le mode opératoire se grippa peu et força « LUI » à se reporter sur les conseils de sa « reine » qui était contente que « son fils » ait bien travaillé. D’ailleurs les sénégalais apprécieront plus tard que « MOI » j’ai failli risquer une seconde incarcération par « LUI ».
Mais lorsque « LUI », conscient que son « fils biologique » était un nain politique et sachant , malgré notre « jeu fictif », que « MOI » son « fils putatif » j’étais toujours une force politique incontournable plus légitime que son « Fils Naturel », il créa le poste de vice président taillé pour « MOI » pour nos futures négociations qui seront grippées encore par sa « reine » et son « fou ».
Ainsi à l’avance, j’avais accepté « MOI », de me sacrifier et de sacrifier tous mes ouailles, pour l’unité politique de ma famille naturelle comme ce fût le cas de Ismaïla au profit de son père « Abraham » en fondant « REWMI » dans mon parti et ma « famille naturelle ».
Après de long mois d’attente où « Lui » l’épicier de « Kébémer » a opéré à de multiples remaniements, « MOI » n’ayant pas pu obtenir le poste le vice président du Sénégal que j’avais boudé par la suite, il fallait maintenant tuer fictivement le « Père » par un coup d’état au sein du PDS et imposer une cohabitation générationnelle. Car si « Lui », en a été l’actionnaire traditionnel, aujourd’hui j’en suis « l’actionnaire majoritaire ». Vraiment à quel saint se vouer entre « LUI » et « MOI ».
Subitement illuminé encore, je découvre que Quand « Lui » défendait les intérêts d’un clan et d’une famille, moi « je défendais les intérêts de « Rewmi ». Si « Lui », il appartient à la « dernière génération des mohicans politiques du Sénégal », « Moi », je suis de la « nouvelle génération de l’Afrique ». Si « Lui » il a terminé un cycle, « Moi », j’en commence un nouveau. « Lui », ne doit pas se présenter, car « Moi » suis son successeur légitime et « actionnaire majoritaire du parti ». Si « Lui » veut une transition consanguine, « Moi », je lui souhaite une transition négociée, souple, mais qui peut être conflictuelle et conspirative.
Soudainement encore, « MOI » découvre que le pays va mal et sombre dans des eaux nauséabondes avec une persistance des délestages et de la cherté de la vie et particulièrement des coûts des appels de télécommunications.
Le cynisme de notre « JEU (JE) » de la diversion a été poussé plus loin lorsque « Moi », je demandais la prorogation du mandat de « LUI » jusqu’en 2014 quelques temps après avoir maintenu son irrecevabilité et son inconstitutionnalité pour 2012. Etes-vous convaincu alors que la question de la recevabilité du Président soit mon problème ? Comment pourrai-je être sûr d’une chose à un moment donné et de son contraire en un autre. Bien que non, les « Primaires » souhaités au sein du PDS par « MOI » du fait d’une possibilité d’irrecevabilité de la candidature de « LUI » ne sont qu’un mirage conflictuel avec « LUI » et un coup d’épée dans l’eau pour maquiller le jeu de la diversion orchestré au sein d’un Comité Directeur. Décidément entre le CD « LUI » et « MOI » les conclusions issues dudit CD convoqué (Comité Directeur) dernièrement, il n’y a rien de nouveau sinon que la diversion et le « JEU » d’échec poussés à extrême. Décidément un CD peut en cacher un autre.
Le modus opérandi restant le même : manifester visiblement un conflit acerbe et vulgaire de façade qui sous entend implicitement une entente profonde et parfaite entre « LUI » et « MOI » sur un plan, un schéma et scénarii programmé de dévolution du pouvoir entre « LUI et « MOI ».
L’objectif stratégique étant toujours : de réduire la volatilité des votes « sanction » des sénégalais qui pourraient se reporter sur l’opposition, ou sur le vertueux Macky Sall pour contenir les frustrés du PDS qui le rallieront, et enfin, de pouvoir être une candidature « électron libre » prête à renforcer « LUI » en cas de second tour de l’élection présidentielle de 2012 et « MOI » peser avec mes 15% obtenus à l’issu de l’élection présidentielle de 2007 et ramasser le pouvoir en cas d’incapacité du président après 2012.
Sacré « Lui et MOI » ; de véritables sacro saints de la diversion politique. Si vous savez-vous à quel saint vous vouez entre Abdoulaye Wade et idrissa Seck dites le nous ? Au quelconque cas contraire préparons-nous à l’assaut final de 2012 pour un vote lucide et conscient que Abdoulaye WADE: c’est Idrissa SECK. Voter pour Idrissa SECK c’est voter pour Abdoulaye WADE, c’est voter pour la continuité de la mégalomanie, de la roublardise, de la tyrannie, de la corruption et de la concussion dans la gestion de l’ETAT.
MOHAMED EL KHOUTOUB BOP
Coordonnateur du mouvement NADAW (Nouvelle Alliance pour Dégager Abdoulaye WADE)
Membre de la CCR
Si « Lui » il a théorisé le « Sopi », « Moi » j’ai théorisé « le savoir, l’avoir et le pouvoir » par tous les moyens.
J’étais vraiment convaincu de vouloir « Sopi Ndjoublangue » et Djapalé Gorgorlou, mais j’ai découvert un projet beaucoup plus funeste, qui était celui d’un coup d’état consanguin rampant de dévolution monarchique du pouvoir : « Paabi aak Doom dji ». Mais le fils « biologique » n’est plus sur le coup. Le projet de dévolution monarchique du pouvoir est de la pure diversion pour divertir les sénégalais et l’opposition. Il fait appel à une autre version de dévolution du pouvoir basée sur une « alliance stratégique de type opportuniste » ou une « intégration politique conjointe » en amont entre « LUI » et « MOI ».
Le jeu de la diversion entre « Lui » et « Moi » n’a pas débuté comme d’aucuns le pensent au moment de la dualité annoncée au sommet en 2004. Bien au contraire, l’alliance « maléfique » a débuté en amont depuis les lendemains de l’alternance, lors du partage du butin entre « deux grands bandits » qui font semblant de se disputer pour tenir en haleine leurs sujets, en l’occurrence « LUI » Abdoulaye WADE et « Moi » idrissa SECK
Les objectifs poursuivis étant toujours double : « MOI » Idrissa SECK : fragmenter et annihiler toutes les forces de l’opposition (alliance fictive avec l’opposition) et capter un électorat évasif au moyen de la victimisation par l’injustice que « Lui » Abdoulaye WADE me ferait subir par des accusations de vols des chantiers de THIES.
Figurez vous que « Moi » idrissa SECK qui ai déclaré en 2006 que « Lui » Abdoulaye WADE est un « ancien spermatozoïde et un futur cadavre » ; et que « Lui » Abdoulaye WADE ayant déclaré que j’étais un voleur et qu’il m’a donné 10 000 j’ai pris 8000 et je lui ai ramené 2000 ; et que nenni dans tout ça !
Et pourtant j’ai bien déclaré en Casamance que « Moi » Idrissa SECK suis « né pauvre, et me suis enrichi aujourd’hui, avec les moyens que l’Etat avait mis à ma disposition pour être futur Président ». Mais quoique, fusse t-il « un centime du contribuable détourné ne pourrait m’être imputé ; et cela jusqu’à l’extinction du soleil ».
Lorsque « Lui » Abdoulaye WADE, m’a envoyé en prison et actionné tous les leviers institutionnels et internationaux de la république pour achever ma « fictive » mort politique, « Moi » Idrissa SECK j’étais dans une maison incontournable et confortable pour « marcher vers la plus haute station politique du pays ».
D’ailleurs c’est toujours dans cette fictive dualité politique que « lui » voulant ma mort politique m’accusa « MOI » de concussion et de détournement dans l’affaire des chantiers de THIES. Mais « Moi » ma seule arme de survie politique fictive fût la « confiscation » des fonds politiques dont je détiens toujours la comptabilité qui peut être versée dans le domaine public pour audit ».
Pour financer sa campagne de 2007, « lui » a signé avec « moi » le fameux « protocole de Rebeuss. A ma charge de libérer une partie des fonds pour 2007 et une autre partie pour 2012. En contrepartie « Lui » devrait manœuvrer pour que « Moi » je le remplace en 2012. Aussi, grâce à des opérations de tripatouillage du fichier électoral, « Moi » je devrais terminer 2ème à l’élection présidentielle pour d’abord légitimer ma place de « dauphin politique biologique » contrairement au « fils biologique », « dauphin financier naturel » qui doit amasser un héritage financier colossal pour assurer la retraite de « lui » le « Père » ; ensuite pour noyer les partis traditionnels de l’opposition, envoyer à la retraite tous les autres briscards et dinosaures du champ politique et détourner de l’essentiel une grande masse de l’électorat sénégalais.
D’ailleurs sous cet angle je « Lui ai même proposé de faire le marketing du couplage des élections présidentielles et législatives » qui seront finalement découplées à l’issue du boycott de l’opposition que j’avais déjà infiltré. L’opposition ayant boycotté les législatives, alors notre prochaine échéance entre « Lui » et « Moi » était de financer les campagnes locales du fils « biologique ». L’appétit du pouvoir, du « Fils biologique » grandissant avec sa génération qu’il a créée et avec le test grandeur nature de l’ANOCI, le mode opératoire se grippa peu et força « LUI » à se reporter sur les conseils de sa « reine » qui était contente que « son fils » ait bien travaillé. D’ailleurs les sénégalais apprécieront plus tard que « MOI » j’ai failli risquer une seconde incarcération par « LUI ».
Mais lorsque « LUI », conscient que son « fils biologique » était un nain politique et sachant , malgré notre « jeu fictif », que « MOI » son « fils putatif » j’étais toujours une force politique incontournable plus légitime que son « Fils Naturel », il créa le poste de vice président taillé pour « MOI » pour nos futures négociations qui seront grippées encore par sa « reine » et son « fou ».
Ainsi à l’avance, j’avais accepté « MOI », de me sacrifier et de sacrifier tous mes ouailles, pour l’unité politique de ma famille naturelle comme ce fût le cas de Ismaïla au profit de son père « Abraham » en fondant « REWMI » dans mon parti et ma « famille naturelle ».
Après de long mois d’attente où « Lui » l’épicier de « Kébémer » a opéré à de multiples remaniements, « MOI » n’ayant pas pu obtenir le poste le vice président du Sénégal que j’avais boudé par la suite, il fallait maintenant tuer fictivement le « Père » par un coup d’état au sein du PDS et imposer une cohabitation générationnelle. Car si « Lui », en a été l’actionnaire traditionnel, aujourd’hui j’en suis « l’actionnaire majoritaire ». Vraiment à quel saint se vouer entre « LUI » et « MOI ».
Subitement illuminé encore, je découvre que Quand « Lui » défendait les intérêts d’un clan et d’une famille, moi « je défendais les intérêts de « Rewmi ». Si « Lui », il appartient à la « dernière génération des mohicans politiques du Sénégal », « Moi », je suis de la « nouvelle génération de l’Afrique ». Si « Lui » il a terminé un cycle, « Moi », j’en commence un nouveau. « Lui », ne doit pas se présenter, car « Moi » suis son successeur légitime et « actionnaire majoritaire du parti ». Si « Lui » veut une transition consanguine, « Moi », je lui souhaite une transition négociée, souple, mais qui peut être conflictuelle et conspirative.
Soudainement encore, « MOI » découvre que le pays va mal et sombre dans des eaux nauséabondes avec une persistance des délestages et de la cherté de la vie et particulièrement des coûts des appels de télécommunications.
Le cynisme de notre « JEU (JE) » de la diversion a été poussé plus loin lorsque « Moi », je demandais la prorogation du mandat de « LUI » jusqu’en 2014 quelques temps après avoir maintenu son irrecevabilité et son inconstitutionnalité pour 2012. Etes-vous convaincu alors que la question de la recevabilité du Président soit mon problème ? Comment pourrai-je être sûr d’une chose à un moment donné et de son contraire en un autre. Bien que non, les « Primaires » souhaités au sein du PDS par « MOI » du fait d’une possibilité d’irrecevabilité de la candidature de « LUI » ne sont qu’un mirage conflictuel avec « LUI » et un coup d’épée dans l’eau pour maquiller le jeu de la diversion orchestré au sein d’un Comité Directeur. Décidément entre le CD « LUI » et « MOI » les conclusions issues dudit CD convoqué (Comité Directeur) dernièrement, il n’y a rien de nouveau sinon que la diversion et le « JEU » d’échec poussés à extrême. Décidément un CD peut en cacher un autre.
Le modus opérandi restant le même : manifester visiblement un conflit acerbe et vulgaire de façade qui sous entend implicitement une entente profonde et parfaite entre « LUI » et « MOI » sur un plan, un schéma et scénarii programmé de dévolution du pouvoir entre « LUI et « MOI ».
L’objectif stratégique étant toujours : de réduire la volatilité des votes « sanction » des sénégalais qui pourraient se reporter sur l’opposition, ou sur le vertueux Macky Sall pour contenir les frustrés du PDS qui le rallieront, et enfin, de pouvoir être une candidature « électron libre » prête à renforcer « LUI » en cas de second tour de l’élection présidentielle de 2012 et « MOI » peser avec mes 15% obtenus à l’issu de l’élection présidentielle de 2007 et ramasser le pouvoir en cas d’incapacité du président après 2012.
Sacré « Lui et MOI » ; de véritables sacro saints de la diversion politique. Si vous savez-vous à quel saint vous vouez entre Abdoulaye Wade et idrissa Seck dites le nous ? Au quelconque cas contraire préparons-nous à l’assaut final de 2012 pour un vote lucide et conscient que Abdoulaye WADE: c’est Idrissa SECK. Voter pour Idrissa SECK c’est voter pour Abdoulaye WADE, c’est voter pour la continuité de la mégalomanie, de la roublardise, de la tyrannie, de la corruption et de la concussion dans la gestion de l’ETAT.
MOHAMED EL KHOUTOUB BOP
Coordonnateur du mouvement NADAW (Nouvelle Alliance pour Dégager Abdoulaye WADE)
Membre de la CCR
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