Chers patriotes,
Seulement six mois soit cent quatre vingt sept jours nous séparent de la date tant attendue par toute la population Sénégalaise ! Une date qui, sans doute sera à jamais gravée dans la mémoire de tout un peuple, de toute une jeunesse et de tous ceux et celles qui, fortement, avaient cru à l’alternance et aux promesses d’Abdoulaye WADE sans voir le moindre de leurs rêves se matérialiser. A mesure que l’on s’approche de cette date devenue mythique tant par les convoitises des prétendants au fauteuil présidentiel que par les calculs plus que mathématiques des meneurs de jeu politique, la responsabilité de tous les fils et filles de notre cher Sunu gal devient plus que jamais engagée au vu et au su de tous les malheurs, injustices et actes criminels que le régime actuellement au pouvoir a fait subir aux populations.
Ayant naquis en parfait état avec un poids normal et été allaité du pur lait maternel, le bébé a été atteint de plusieurs maladies durant sa période de croissance ! Adolescent, adulte et aujourd’hui la cinquantaine, le bébé est atteint du syndrome Wade dont seuls la sagesse, la loyauté, la grandeur, le patriotisme et les compétences d’un Homme au passé riche et rayonnant de ses qualités peuvent apporter remède.
Toutefois, il incombe naturellement au peuple Sénégalais et à personne d’autre de faire de manière judicieuse le choix de cet Homme qui, sans nul doute, serait la clé du réel changement, la meilleure solution pour le Sénégal et l’incarnation d’un vrai Homme d’État. Nos rêves sont en phase de se réaliser, nos soucis en phase de se régler et notre haine viscérale envers le régime de Wade en phase de se faire oublier si, au soir du 26 février 2012, le peuple aura voté massivement pour la meilleure des candidatures. Cette candidature devra nécessairement être distinguée et choisie dans la liste pléthorique des candidats à l’élection présidentielle de 2012.
Que tout électeur qui prendra les différents bulletins de vote des différents candidats et qui s’isolera pour accomplir son acte citoyen prenne quelques secondes pour méditer sur le sort du peuple Sénégalais : la cherté de la vie, les coupures intempestives de courant, les inondations, la misère sociale, les difficultés d’accès des paysans aux semences, les injustices, l’impunité, la corruption, les gaspillages de fonds publics, les crimes politiques et institutionnels, la dévolution monarchique pour ne citer que ces aspects bien que la liste est interminable. En faisant le meilleur choix en 2012 c'est-à-dire en optant pour la meilleure des candidatures, chaque patriote aura apporté sa pierre à l’édification d’un État fort, prêt à faire face à tout obstacle à la croissance, à l’émergence et au développement du Sénégal. Cet État là dont le peuple réclame à cor et à cri et dont nous espérons tant voir un jour aura la lourde tâche de faire oublier aux populations toutes les mésaventures et horreurs du régime d’Abdoulaye WADE. Il s’agira d’un État qui ferait de la lutte contre la pauvreté et le déchirement social son cheval de bataille afin de répondre aux attentes et préoccupations des populations.
Djibril NIANG.
Seulement six mois soit cent quatre vingt sept jours nous séparent de la date tant attendue par toute la population Sénégalaise ! Une date qui, sans doute sera à jamais gravée dans la mémoire de tout un peuple, de toute une jeunesse et de tous ceux et celles qui, fortement, avaient cru à l’alternance et aux promesses d’Abdoulaye WADE sans voir le moindre de leurs rêves se matérialiser. A mesure que l’on s’approche de cette date devenue mythique tant par les convoitises des prétendants au fauteuil présidentiel que par les calculs plus que mathématiques des meneurs de jeu politique, la responsabilité de tous les fils et filles de notre cher Sunu gal devient plus que jamais engagée au vu et au su de tous les malheurs, injustices et actes criminels que le régime actuellement au pouvoir a fait subir aux populations.
Ayant naquis en parfait état avec un poids normal et été allaité du pur lait maternel, le bébé a été atteint de plusieurs maladies durant sa période de croissance ! Adolescent, adulte et aujourd’hui la cinquantaine, le bébé est atteint du syndrome Wade dont seuls la sagesse, la loyauté, la grandeur, le patriotisme et les compétences d’un Homme au passé riche et rayonnant de ses qualités peuvent apporter remède.
Toutefois, il incombe naturellement au peuple Sénégalais et à personne d’autre de faire de manière judicieuse le choix de cet Homme qui, sans nul doute, serait la clé du réel changement, la meilleure solution pour le Sénégal et l’incarnation d’un vrai Homme d’État. Nos rêves sont en phase de se réaliser, nos soucis en phase de se régler et notre haine viscérale envers le régime de Wade en phase de se faire oublier si, au soir du 26 février 2012, le peuple aura voté massivement pour la meilleure des candidatures. Cette candidature devra nécessairement être distinguée et choisie dans la liste pléthorique des candidats à l’élection présidentielle de 2012.
Que tout électeur qui prendra les différents bulletins de vote des différents candidats et qui s’isolera pour accomplir son acte citoyen prenne quelques secondes pour méditer sur le sort du peuple Sénégalais : la cherté de la vie, les coupures intempestives de courant, les inondations, la misère sociale, les difficultés d’accès des paysans aux semences, les injustices, l’impunité, la corruption, les gaspillages de fonds publics, les crimes politiques et institutionnels, la dévolution monarchique pour ne citer que ces aspects bien que la liste est interminable. En faisant le meilleur choix en 2012 c'est-à-dire en optant pour la meilleure des candidatures, chaque patriote aura apporté sa pierre à l’édification d’un État fort, prêt à faire face à tout obstacle à la croissance, à l’émergence et au développement du Sénégal. Cet État là dont le peuple réclame à cor et à cri et dont nous espérons tant voir un jour aura la lourde tâche de faire oublier aux populations toutes les mésaventures et horreurs du régime d’Abdoulaye WADE. Il s’agira d’un État qui ferait de la lutte contre la pauvreté et le déchirement social son cheval de bataille afin de répondre aux attentes et préoccupations des populations.
Djibril NIANG.
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