Dés le mois de février 2009, déjà, à l’occasion du Grand Magal de Touba, s’appuyant sur des informations digne de foi, une délégation de JAMRA, conduite par son Président exécutif Imam Massamba Diop, était reçue par le défunt Khalife général des Mourides, Serigne Mouhamadou Lamine Bara Mbacké, aux fins d’attirer l’attention du saint homme sur les intentions prêtées à certaines organisations des droits-de-l’homme d’être porteuses, auprès des autorités étatiques, d’un obscure projet portant légalisant les unions contre-nature.
«Dans votre combat contre la légalisation de l’homosexualité, je vous soutiendrai zaïr ak baatine !» fut la réponse, nette, sans équivoque du Khalife de Touba, en présence de Serigne Cheikhouna Mbacké, fils du Khalife, Serigne Abdou Ahad Bousso et son bras droit et confident Serigne Babacar Diouf. Il exprima vivement son indignation et sa ferme désapprobation de ce funeste projet. Avant de déplorer avec JAMRA l’ingérence d’un pays occidental, dans le jugement alors rendu en flagrant délit par la justice sénégalaise contre neuf homosexuels, pris en flagrant délit, dans la banlieue de Mbao.
La condamnation fut également unanime chez la famille de feu Serigne Abdou Khafour Mbacké. A Guédé, le défunt Marabout octogénaire, Serigne Makhtar Bousso, avait même versé de chaudes larmes, rien qu’à l’évocation de cette sombre perspective. «Sur un sol où repose le saint Serigne Touba, jamais », persista-t-il, en chœur avec le bras droit et ami de Serigne Bara Mbacké, Babacar Diouf. «Touba n’acceptera jamais que de telles bassesses trouvent droit de cité sur cette terre sénégalaise où dorment de si nobles représentants de Seydina Mohamed, le Prophète de l’Islam (psl) ».
Le mois suivant, en mars 2009, les autorités religieuses de Tivaouane devaient emboucher la même trompette : «Le Sénégal ne signera jamais cette convention de la honte ! », lancèrent en chœur le défunt Khalife des Tijanes, Serigne Mansour Sy «Borom daara-ji», et le porte-parole de la famille Sy, Serigne Abdou Aziz Sy «Al Ibn», à la délégation de JAMRA. Le défunt Khalife, très en verve, en dépit des restrictions formelles d’activités, imposées par son médecin traitant, se faisant relayer ses propos par son fils, Serigne Habib Sy a tenu l’assistance en haleine, pendant deux tours d’horloge, pour fustiger cet «épouvantable projet de légalisation des unions contre-nature». Il devait conclure cette prêche d’une haute portée morale et pédagogique, en révélant à la délégation de JAMRA, à laquelle s’était joint Serigne Moussa Guèye le célèbre prédicateur de la Cité Amon, qu’il était en train de mettre la dernière main à un manuscrit mettant en exergue le danger moral, psychologique et social que constitue pour une société fortement ancrée dans la foi comme la nôtre, la promotion de cette «pratique bestiale» qu’est l’homosexualité.
Ainsi à dans les villes saintes de Touba comme de Tivaouane, JAMRA s’est régulièrement employée à attirer l’attention des autorités religieuses sur l’activisme débordant des promoteurs du projet de dépénalisation des unions contre-nature, comme l’homosexualité et le lesbianisme. D’obscurs lobbies qui se livrent au niveau mondial à de grandes manœuvres de corruption, n’hésitant pas à décaisser des sommes faramineuses pour parvenir à leur sinistre fin : faire légaliser les unions contre-nature dans les 38 pays africains, dont le Sénégal (sur 53), qui «font encore de la résistance», en continuant à sanctionner pénalement les unions contre-nature.
D’autres missions de l’Organisation islamique JAMRA furent également dépêchées auprès des autorités coutumières du pays, pour le même objectif : démontrer comment ces lobbies, après avoir réussi, le 18 décembre 2008, au plan international, à embrigader 66 pays (sur les 192 que comptaient l’Onu), en leur faisant parapher (souvent moyennant des espèces sonnantes et trébuchantes) un projet de déclaration, destiné à l’organisation onusienne, portant «dépénalisation universelle de l’homosexualité». Elargissant ainsi la voie au mariage légal d’individus du même sexe, et à son inévitable corolaire, le droit d’adoption d’enfants, qui se verront arbitrairement imposés des «papas-homme» et de «mamans» également « homme», au péril de leur équilibre psychologique. On ne compte plus, en Occident, ces malheureux enfants, traumatisés au terme de leur adoption par ces couples hétéroclites, qui les auront injustement sacrifiés sur l’autel du vice et du libertinage.
Et à toutes les étapes de ses tournées, c’est par de ferventes prières que la démarche de JAMRA a été accueillie, pour que « les diaboliques budgets de guerre » mobilisés par ces lobbies – qui auront corrompu nombre de parlementaires à travers le continent - ne parviennent jamais à brader les vertus cardinales que nous ont léguées les Seydil Haji Malick Sy, Cheikh Ahmadou Bamba, Baye Ibrahima Niasse, Seydina Limamou Laye, et tant d’autres grandes figures de l’Islam dont se glorifie notre pays, et qui reposent en paix, en terre sénégalaise.
Grâce à Dieu, JAMRA reste convaincue que ces manœuvres ténébreuses ne réussiront jamais à amoindrir les inébranlables convictions des dignes hommes et femmes de notre cher pays, qui restent fermement attachés aux Textes Sacrés de nos religions monothéistes qui, toutes, unanimement, rejettent les unions contre-nature. Qu’il s’agisse du Saint-Coran («Les Murailles», sourate 7), où le Seigneur met en garde sur les conséquences de cette pratique «bestiale et avilissante», ou de l’Ancien Testament (18.22) qui se singularise aussi par une condamnation sans équivoque de l'homosexualité, en considérant cette «abomination» comme «l’œuvre d’un peuple pervers». Vecteurs par excellence de la propagation du Vih-Sida (22% de taux de prévalence, d’après les statistiques officielles de l’Etat du Sénégal), ces déviants constituent surtout des contre-exemples pour la jeunesse, et une menace permanente pour la santé publique.
A ceux qui sont promptes à crier à «l’intolérance», chaque fois que JAMRA dénonce ces déviances, nous ne nous lasserons de rappeler que JAMRA n’a jamais encouragé la stigmatisation des homosexuels. Mais a toujours dénoncé l’exploitation scandaleuse qui est faite de ce drame humain, devenu par la force des choses un détestable fond de commerce ; et fustiger ces rhétoriciens qui, se souciant avant tout de justifier des rentes auprès d’obscures bailleurs, tiennent des discours démagogiques, confortant tacitement les homosexuels dans leur déviance.
Lorsque, le 18 décembre 2008, à l’Assemblée générale des Nations Unies à New York, l’ambassadeur d’Argentine Jorge Arguello, avait lu un «Appel pour la dépénalisation de l’homosexualité» au nom de 66 pays signataires, précédé en cela par une étonnante sortie du directeur exécutif de l’Onusida, Michel Sidibé, se disant confiant, car : «Les négociations avec le gouvernement sénégalais sont en bonne voie», l’Etat du Sénégal, dont une rumeur-ballon-sonde soupçonnait d’en être signataire, s’était empressé, par la voix de son ministre en charge des Droits humains (Coumba Gaye) et de celui en charge des Affaires religieuses (Bamba Ndiaye) de démentir officiellement et formellement une telle information. A la grande satisfaction des 98% de croyants (musulmans comme catholiques) de notre cher pays.
Aujourd’hui, un démembrement de l’Etat du Sénégal, et non des moindres, est clairement cité dans l’article de presse supra, comme ayant «participé à ce conclave, convoqué dans la plus grande discrétion dans un hôtel de la place, en vue de peaufiner une stratégie pour porter le plaidoyer des homosexuels à l’Assemblée nationale». Et jusqu’au moment où se rédigeait ces lignes aucun responsable gouvernemental n’a démenti l’information !
Il s’y ajoute que, naguère, des organisations des droits de l’homme n’avaient pas hésité de ruer dans les brancards judiciaires, se défendant farouchement de promouvoir la légalisation de l’homosexualité au Sénégal, au point de devoir traîner devant les juridictions le vice-président de JAMRA. Nous considérons également fondée d’attendre de ces organisations des Droits de l’homme, nommément citées dans l’article du Populaire, un ciglant démenti… ou à tout le moins d’édifier la lanterne des Sénégalais !
En attendant, JAMRA reste convaincue qu’aucune argutie, aussi fumeuse soit-elle, ne réussira jamais, sous nos cieux, à faire accréditer dans notre conscience collective, imbue de valeurs traditionnelles et religieuses, un quelconque contre-précepte selon lequel cet organe anatomique qu’est le rectum humain ait été conçu par Dieu pour une fonction autre que celle d’évacuation des matières fécales !
Enfin, par devoir de vigilance, JAMRA invite tous les Imams, les Oulémas et Prédicateurs de toutes les mosquées du Sénégal à consacrer leurs sermons de ce vendredi 29 mars 2013 à dénoncer ce scandaleux projet de plaidoyer-homosexuel qu’on veut faire porter aux vaillants élus d’un peuple de 95% de musulmans, pour une forfaiture parlementaire historique ! Que ne laisseront certainement jamais prospérer Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké, Seydil haji Malick Sy, Baye Niass, Seydina Limamou Laye, et tant d’autres grandes figures de l’Islam, dont les hermétiques oraisons continuent de protéger notre cher Sénégal.
Dakar, le 28 mars 2013
Pour l’Organisation Islamique JAMRA
Le Président Exécutif
Imam Massamba DIOP
«Dans votre combat contre la légalisation de l’homosexualité, je vous soutiendrai zaïr ak baatine !» fut la réponse, nette, sans équivoque du Khalife de Touba, en présence de Serigne Cheikhouna Mbacké, fils du Khalife, Serigne Abdou Ahad Bousso et son bras droit et confident Serigne Babacar Diouf. Il exprima vivement son indignation et sa ferme désapprobation de ce funeste projet. Avant de déplorer avec JAMRA l’ingérence d’un pays occidental, dans le jugement alors rendu en flagrant délit par la justice sénégalaise contre neuf homosexuels, pris en flagrant délit, dans la banlieue de Mbao.
La condamnation fut également unanime chez la famille de feu Serigne Abdou Khafour Mbacké. A Guédé, le défunt Marabout octogénaire, Serigne Makhtar Bousso, avait même versé de chaudes larmes, rien qu’à l’évocation de cette sombre perspective. «Sur un sol où repose le saint Serigne Touba, jamais », persista-t-il, en chœur avec le bras droit et ami de Serigne Bara Mbacké, Babacar Diouf. «Touba n’acceptera jamais que de telles bassesses trouvent droit de cité sur cette terre sénégalaise où dorment de si nobles représentants de Seydina Mohamed, le Prophète de l’Islam (psl) ».
Le mois suivant, en mars 2009, les autorités religieuses de Tivaouane devaient emboucher la même trompette : «Le Sénégal ne signera jamais cette convention de la honte ! », lancèrent en chœur le défunt Khalife des Tijanes, Serigne Mansour Sy «Borom daara-ji», et le porte-parole de la famille Sy, Serigne Abdou Aziz Sy «Al Ibn», à la délégation de JAMRA. Le défunt Khalife, très en verve, en dépit des restrictions formelles d’activités, imposées par son médecin traitant, se faisant relayer ses propos par son fils, Serigne Habib Sy a tenu l’assistance en haleine, pendant deux tours d’horloge, pour fustiger cet «épouvantable projet de légalisation des unions contre-nature». Il devait conclure cette prêche d’une haute portée morale et pédagogique, en révélant à la délégation de JAMRA, à laquelle s’était joint Serigne Moussa Guèye le célèbre prédicateur de la Cité Amon, qu’il était en train de mettre la dernière main à un manuscrit mettant en exergue le danger moral, psychologique et social que constitue pour une société fortement ancrée dans la foi comme la nôtre, la promotion de cette «pratique bestiale» qu’est l’homosexualité.
Ainsi à dans les villes saintes de Touba comme de Tivaouane, JAMRA s’est régulièrement employée à attirer l’attention des autorités religieuses sur l’activisme débordant des promoteurs du projet de dépénalisation des unions contre-nature, comme l’homosexualité et le lesbianisme. D’obscurs lobbies qui se livrent au niveau mondial à de grandes manœuvres de corruption, n’hésitant pas à décaisser des sommes faramineuses pour parvenir à leur sinistre fin : faire légaliser les unions contre-nature dans les 38 pays africains, dont le Sénégal (sur 53), qui «font encore de la résistance», en continuant à sanctionner pénalement les unions contre-nature.
D’autres missions de l’Organisation islamique JAMRA furent également dépêchées auprès des autorités coutumières du pays, pour le même objectif : démontrer comment ces lobbies, après avoir réussi, le 18 décembre 2008, au plan international, à embrigader 66 pays (sur les 192 que comptaient l’Onu), en leur faisant parapher (souvent moyennant des espèces sonnantes et trébuchantes) un projet de déclaration, destiné à l’organisation onusienne, portant «dépénalisation universelle de l’homosexualité». Elargissant ainsi la voie au mariage légal d’individus du même sexe, et à son inévitable corolaire, le droit d’adoption d’enfants, qui se verront arbitrairement imposés des «papas-homme» et de «mamans» également « homme», au péril de leur équilibre psychologique. On ne compte plus, en Occident, ces malheureux enfants, traumatisés au terme de leur adoption par ces couples hétéroclites, qui les auront injustement sacrifiés sur l’autel du vice et du libertinage.
Et à toutes les étapes de ses tournées, c’est par de ferventes prières que la démarche de JAMRA a été accueillie, pour que « les diaboliques budgets de guerre » mobilisés par ces lobbies – qui auront corrompu nombre de parlementaires à travers le continent - ne parviennent jamais à brader les vertus cardinales que nous ont léguées les Seydil Haji Malick Sy, Cheikh Ahmadou Bamba, Baye Ibrahima Niasse, Seydina Limamou Laye, et tant d’autres grandes figures de l’Islam dont se glorifie notre pays, et qui reposent en paix, en terre sénégalaise.
Grâce à Dieu, JAMRA reste convaincue que ces manœuvres ténébreuses ne réussiront jamais à amoindrir les inébranlables convictions des dignes hommes et femmes de notre cher pays, qui restent fermement attachés aux Textes Sacrés de nos religions monothéistes qui, toutes, unanimement, rejettent les unions contre-nature. Qu’il s’agisse du Saint-Coran («Les Murailles», sourate 7), où le Seigneur met en garde sur les conséquences de cette pratique «bestiale et avilissante», ou de l’Ancien Testament (18.22) qui se singularise aussi par une condamnation sans équivoque de l'homosexualité, en considérant cette «abomination» comme «l’œuvre d’un peuple pervers». Vecteurs par excellence de la propagation du Vih-Sida (22% de taux de prévalence, d’après les statistiques officielles de l’Etat du Sénégal), ces déviants constituent surtout des contre-exemples pour la jeunesse, et une menace permanente pour la santé publique.
A ceux qui sont promptes à crier à «l’intolérance», chaque fois que JAMRA dénonce ces déviances, nous ne nous lasserons de rappeler que JAMRA n’a jamais encouragé la stigmatisation des homosexuels. Mais a toujours dénoncé l’exploitation scandaleuse qui est faite de ce drame humain, devenu par la force des choses un détestable fond de commerce ; et fustiger ces rhétoriciens qui, se souciant avant tout de justifier des rentes auprès d’obscures bailleurs, tiennent des discours démagogiques, confortant tacitement les homosexuels dans leur déviance.
Lorsque, le 18 décembre 2008, à l’Assemblée générale des Nations Unies à New York, l’ambassadeur d’Argentine Jorge Arguello, avait lu un «Appel pour la dépénalisation de l’homosexualité» au nom de 66 pays signataires, précédé en cela par une étonnante sortie du directeur exécutif de l’Onusida, Michel Sidibé, se disant confiant, car : «Les négociations avec le gouvernement sénégalais sont en bonne voie», l’Etat du Sénégal, dont une rumeur-ballon-sonde soupçonnait d’en être signataire, s’était empressé, par la voix de son ministre en charge des Droits humains (Coumba Gaye) et de celui en charge des Affaires religieuses (Bamba Ndiaye) de démentir officiellement et formellement une telle information. A la grande satisfaction des 98% de croyants (musulmans comme catholiques) de notre cher pays.
Aujourd’hui, un démembrement de l’Etat du Sénégal, et non des moindres, est clairement cité dans l’article de presse supra, comme ayant «participé à ce conclave, convoqué dans la plus grande discrétion dans un hôtel de la place, en vue de peaufiner une stratégie pour porter le plaidoyer des homosexuels à l’Assemblée nationale». Et jusqu’au moment où se rédigeait ces lignes aucun responsable gouvernemental n’a démenti l’information !
Il s’y ajoute que, naguère, des organisations des droits de l’homme n’avaient pas hésité de ruer dans les brancards judiciaires, se défendant farouchement de promouvoir la légalisation de l’homosexualité au Sénégal, au point de devoir traîner devant les juridictions le vice-président de JAMRA. Nous considérons également fondée d’attendre de ces organisations des Droits de l’homme, nommément citées dans l’article du Populaire, un ciglant démenti… ou à tout le moins d’édifier la lanterne des Sénégalais !
En attendant, JAMRA reste convaincue qu’aucune argutie, aussi fumeuse soit-elle, ne réussira jamais, sous nos cieux, à faire accréditer dans notre conscience collective, imbue de valeurs traditionnelles et religieuses, un quelconque contre-précepte selon lequel cet organe anatomique qu’est le rectum humain ait été conçu par Dieu pour une fonction autre que celle d’évacuation des matières fécales !
Enfin, par devoir de vigilance, JAMRA invite tous les Imams, les Oulémas et Prédicateurs de toutes les mosquées du Sénégal à consacrer leurs sermons de ce vendredi 29 mars 2013 à dénoncer ce scandaleux projet de plaidoyer-homosexuel qu’on veut faire porter aux vaillants élus d’un peuple de 95% de musulmans, pour une forfaiture parlementaire historique ! Que ne laisseront certainement jamais prospérer Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké, Seydil haji Malick Sy, Baye Niass, Seydina Limamou Laye, et tant d’autres grandes figures de l’Islam, dont les hermétiques oraisons continuent de protéger notre cher Sénégal.
Dakar, le 28 mars 2013
Pour l’Organisation Islamique JAMRA
Le Président Exécutif
Imam Massamba DIOP
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