Si vous n’aimez pas IDY et que donc il ne vous intéresse pas, ne poursuivez pas la lecture de cet article, sinon vous serez tenté de me répondre voire de m’offenser pour mes idées et convictions personnelles. Si vous n’aimez pas IDY, vous et moi n’avions certainement pas les mêmes points de vue, les mêmes idéaux et les mêmes ambitions. Si vous n’aimez pas IDY, vous êtes intelligent, profitez-en alors en mettant votre intelligence au profit d’autres citoyens que vous aimez car détester c’est aimer forcément. En d’autres circonstances je ne me suis pas toujours intéressé à ceux que vous vous blanchissez ou déifiez puisque ne les connaissant pas assez, ne les ayant pas approché et ne pouvant point jurer sur un quelconque livre sacré de leur moralité.
Mon slogan : NOUS SERONS ELUS POUR VOUS SERVIR*
Avec IDY, le Sénégal a changé de régime. Après plus de 30 ans de socialisme ponctués par un laxisme patent, il est venu avec des idées novatrices primant la cohérence et l’intelligence devant le rouleau compresseur électoral existant. Qui avait crû à l’époque que le changement pouvait venir des urnes ? Et pourtant un jeune libéral a convaincu celui qui se régalait et profitait du calme de Paname, loin des combinaisons mesquines du régime d’alors qui lui en avait fait voir de toutes les couleurs, de revenir au bercail tenir le gouvernail d’un navire, fabriqué de main de maître, capable de semer et le vent et la tempête. Il a convaincu celui qui aujourd’hui refuse d’être convaincu pour un autre idéal, un autre destin. IDY avait donné une âme au PDS d’alors, dandinant et abandonné à son sort par celui que ses sbires appellent aujourd’hui « la constance »(qu’Allah nous préserve de l’association). Oui des sbires, griots et sous-fifres qui ne se préoccupent guère de la marche des sociétés modernes régies par des lois et des règles (applicables à tous), soubassement de tous les développements (culturel, religieux, économique, sanitaire…). Des parasites qui pensent que l’enfer c’est les autres raisonnant en des termes puériles croyant berner ceux qui les attendent au tournant.
Le PDS s’est-il mieux organisé après l’avènement de l’alternance pour croire à une adhésion des forces vives de la nation ?
La principale et fondamentale erreur de celui qui s’est vu offrir le pouvoir sur un plateau d’argent, c’est d’avoir fait confiance à ces tarés qui lui ont fait croire que son rejeton était mieux indiqué pour lui succéder. Commencèrent les dégâts : séparation d’avec ceux qui ne se sont pas proposés mais l’ont proposé, accaparement de tous les pouvoirs, chantages politiques, scandales financiers, boulimie foncière, crimes impunis, justice à deux vitesses, promotion des médiocres, mensonges d’état, faveurs accordées aux entreprises étrangères au profit des entreprises nationales , dégradation du monde rural, dépravation totale des mœurs, corruption au sommet de l’état, blanchiment d’argent sale, des maux, beaucoup de maux, toujours des maux, encore des maux qu’il est temps d’attaquer les thérapeutiques avant que les maladies ne soient définitivement incurables.
Aujourd’hui, mettant de coté les réalisations certes notables du pouvoir en place, réalisations qui sont des motifs de campagne et une raison de briguer les suffrages des sénégalais, le débat concerne deux raisons tout aussi valables d’empêcher au candidat du pouvoir de déposer sa candidature : l’âge et l’inconstitutionnalité.
Comment peut-on faire confiance exclusivement à des compatriotes pour la rédaction de la Constitution, adopter celle-ci par voie référendaire et appeler plus tard des étrangers pour l’interprétation d’un ou plusieurs de ses articles. Les contradictions soulevées et soutenues mordicus par ces bigots du pouvoir cachent mal leur dessein.
Inviter diverses interprétations des articles 27 et 104 sur la place publique c’est insulter l’intelligence des Sénégalais et manquer de respect aux rédacteurs de la Constitution.
Aujourd’hui donc je soutiens le candidat IDY. Je l’ai dit tantôt et que ceux qui ont poursuivi la lecture jusqu’ici et qui pensent le contraire m’épargne leur courroux et leurs remarques. C’est une compréhension logique que seuls ceux qui se trouvent à la même hauteur que moi peuvent comprendre. A ceux-là, les doués d’intelligence, sont destinés mes points de vue. Parce qu’après avoir analysé son parcours et sa constance (d’aucuns me parleront de ses va-et-vient incessants au palais motivés à l’époque par l’invite des khalifes généraux et par le souci de desserrer l’étau autour de ses amis et le désir d’obtenir un non lieu total), son charisme et son programme, je me suis investi comme porteur de message auprès de toutes mes connaissances dans ce Sénégal que nous chérissons tant et dans la diaspora.
Nous sommes tous investis, vous qui avez accepté de me lire et de me comprendre et moi, du devoir d’éclairer et de convaincre, chose dont notre élite est capable, pour une participation active et victorieuse du candidat IDY.
NOUS SERONS ELUS POUR VOUS SERVIR*
Mon slogan : NOUS SERONS ELUS POUR VOUS SERVIR*
Avec IDY, le Sénégal a changé de régime. Après plus de 30 ans de socialisme ponctués par un laxisme patent, il est venu avec des idées novatrices primant la cohérence et l’intelligence devant le rouleau compresseur électoral existant. Qui avait crû à l’époque que le changement pouvait venir des urnes ? Et pourtant un jeune libéral a convaincu celui qui se régalait et profitait du calme de Paname, loin des combinaisons mesquines du régime d’alors qui lui en avait fait voir de toutes les couleurs, de revenir au bercail tenir le gouvernail d’un navire, fabriqué de main de maître, capable de semer et le vent et la tempête. Il a convaincu celui qui aujourd’hui refuse d’être convaincu pour un autre idéal, un autre destin. IDY avait donné une âme au PDS d’alors, dandinant et abandonné à son sort par celui que ses sbires appellent aujourd’hui « la constance »(qu’Allah nous préserve de l’association). Oui des sbires, griots et sous-fifres qui ne se préoccupent guère de la marche des sociétés modernes régies par des lois et des règles (applicables à tous), soubassement de tous les développements (culturel, religieux, économique, sanitaire…). Des parasites qui pensent que l’enfer c’est les autres raisonnant en des termes puériles croyant berner ceux qui les attendent au tournant.
Le PDS s’est-il mieux organisé après l’avènement de l’alternance pour croire à une adhésion des forces vives de la nation ?
La principale et fondamentale erreur de celui qui s’est vu offrir le pouvoir sur un plateau d’argent, c’est d’avoir fait confiance à ces tarés qui lui ont fait croire que son rejeton était mieux indiqué pour lui succéder. Commencèrent les dégâts : séparation d’avec ceux qui ne se sont pas proposés mais l’ont proposé, accaparement de tous les pouvoirs, chantages politiques, scandales financiers, boulimie foncière, crimes impunis, justice à deux vitesses, promotion des médiocres, mensonges d’état, faveurs accordées aux entreprises étrangères au profit des entreprises nationales , dégradation du monde rural, dépravation totale des mœurs, corruption au sommet de l’état, blanchiment d’argent sale, des maux, beaucoup de maux, toujours des maux, encore des maux qu’il est temps d’attaquer les thérapeutiques avant que les maladies ne soient définitivement incurables.
Aujourd’hui, mettant de coté les réalisations certes notables du pouvoir en place, réalisations qui sont des motifs de campagne et une raison de briguer les suffrages des sénégalais, le débat concerne deux raisons tout aussi valables d’empêcher au candidat du pouvoir de déposer sa candidature : l’âge et l’inconstitutionnalité.
Comment peut-on faire confiance exclusivement à des compatriotes pour la rédaction de la Constitution, adopter celle-ci par voie référendaire et appeler plus tard des étrangers pour l’interprétation d’un ou plusieurs de ses articles. Les contradictions soulevées et soutenues mordicus par ces bigots du pouvoir cachent mal leur dessein.
Inviter diverses interprétations des articles 27 et 104 sur la place publique c’est insulter l’intelligence des Sénégalais et manquer de respect aux rédacteurs de la Constitution.
Aujourd’hui donc je soutiens le candidat IDY. Je l’ai dit tantôt et que ceux qui ont poursuivi la lecture jusqu’ici et qui pensent le contraire m’épargne leur courroux et leurs remarques. C’est une compréhension logique que seuls ceux qui se trouvent à la même hauteur que moi peuvent comprendre. A ceux-là, les doués d’intelligence, sont destinés mes points de vue. Parce qu’après avoir analysé son parcours et sa constance (d’aucuns me parleront de ses va-et-vient incessants au palais motivés à l’époque par l’invite des khalifes généraux et par le souci de desserrer l’étau autour de ses amis et le désir d’obtenir un non lieu total), son charisme et son programme, je me suis investi comme porteur de message auprès de toutes mes connaissances dans ce Sénégal que nous chérissons tant et dans la diaspora.
Nous sommes tous investis, vous qui avez accepté de me lire et de me comprendre et moi, du devoir d’éclairer et de convaincre, chose dont notre élite est capable, pour une participation active et victorieuse du candidat IDY.
NOUS SERONS ELUS POUR VOUS SERVIR*
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