Khalifa Sall a toujours envie d'agir. Comme au premier jour de son engagement en politique. Mais, pour le Maire, il est clair que le régime en place veut briser ses ambitions politiques.
A la barre ce jeudi, il a encore contesté avec force qu'il s'agissait d’une affaire pénale, mais plutôt d'un procès politique, au point souvent d'exaspérer le juge. « Ce procès est politique, son soubassement est politique. Et les raisons pour lesquelles je suis là sont purement politiques », regrette le principal prévenu dans l’affaire de la caisse d’avance.
Le premier magistrat de la Ville a encore alourdi le climat en critiquant ses adversaires d’aujourd’hui qui, visiblement, n’aurait pas «un comportement très républicain». Le Maire est revenu sur l’offre politique qui lui a été faite. «Je ne vais jamais donner la teneur de cette offre, mais je l’ai déclinée. Je suis un militant politique avec des valeurs, des principes. Et, j’assume mes décisions en politique à la lumière de mes engagements et de mes convictions. Vous avez raison, si je l’avais acceptée (l’offre politique), je ne serai pas là», a déclaré l’édile à l’endroit de Me Ousseynou Fall, qui lui pose des questions.
«En venant ici (à la barre) on m’avait dit : ‘’Attention ! Si tu n’acceptes pas, l’Etat est un rouleau compresseur, il va vous écraser’’. J’avais répondu : ‘’Il n’y a que Dieu qui peut m’écraser’’. Je le comprends maintenant », explique le Maire Sall. Le prévenu rappelle qu’il n’a jamais été épinglé ni dans l’exercice de ses fonctions actuelles, ni antérieures. «Aucun franc n’est allé dans ma poche», a-t-il réaffirmé.
A la barre ce jeudi, il a encore contesté avec force qu'il s'agissait d’une affaire pénale, mais plutôt d'un procès politique, au point souvent d'exaspérer le juge. « Ce procès est politique, son soubassement est politique. Et les raisons pour lesquelles je suis là sont purement politiques », regrette le principal prévenu dans l’affaire de la caisse d’avance.
Le premier magistrat de la Ville a encore alourdi le climat en critiquant ses adversaires d’aujourd’hui qui, visiblement, n’aurait pas «un comportement très républicain». Le Maire est revenu sur l’offre politique qui lui a été faite. «Je ne vais jamais donner la teneur de cette offre, mais je l’ai déclinée. Je suis un militant politique avec des valeurs, des principes. Et, j’assume mes décisions en politique à la lumière de mes engagements et de mes convictions. Vous avez raison, si je l’avais acceptée (l’offre politique), je ne serai pas là», a déclaré l’édile à l’endroit de Me Ousseynou Fall, qui lui pose des questions.
«En venant ici (à la barre) on m’avait dit : ‘’Attention ! Si tu n’acceptes pas, l’Etat est un rouleau compresseur, il va vous écraser’’. J’avais répondu : ‘’Il n’y a que Dieu qui peut m’écraser’’. Je le comprends maintenant », explique le Maire Sall. Le prévenu rappelle qu’il n’a jamais été épinglé ni dans l’exercice de ses fonctions actuelles, ni antérieures. «Aucun franc n’est allé dans ma poche», a-t-il réaffirmé.
Autres articles
-
Menaces de prison/Abdoul Mbaye à Ousmane Sonko : « Prenez enfin conscience que vous n’êtes ni procureur, ni juge de siège ».
-
Abus sexuels en Centrafrique : Pourquoi l’efficacité de la MINUSCA et sa cheffe est décriée ?
-
Vallée du fleuve Sénégal : La Banque Mondiale décaisse 1,149 Milliard pour faire soutenir les victimes des inondations
-
Avertissement d'Ousmane Sonko à la France sur la Casamance : « Nous n’avons pas besoin d’autonomie. Nous sommes un pays unitaire! »
-
Guinée: le chef de la junte élevé au grade de général d'armée