Fadel Barro, président du mouvement « Jammi Gox yi », a pris part en tant que paneliste au « Ndogu Débat », initié par Aïda Sopi Niang. Il a donné son point de vue sur l’amnistie, devenue le sujet majeur qui cristallise l’attention. L’ancien coordinateur du mouvement citoyen « Y’en a marre » a profité de cette tribune, aux côtés de Moundiaye Cissé de l’ONG 3D et d’Elimane Kane, président du think tank Legs Africa, pour interpeller la conscience individuelle de chaque Sénégalais concernant les événements qui se sont déroulés ces trois dernières années au Sénégal, marqués par une série de violences.
« C’est une réflexion rétrospective que chacun doit avoir sur ce qui s’est passé. Ceux qui se sont tus, ceux qui pensaient pouvoir casser pour ensuite redresser le Sénégal… doivent se poser des questions sur leur responsabilité », a-t-il déclaré.
Aujourd’hui, « vouloir interpréter cette loi d’amnistie, c’est encore noyer le poisson », estime l’ancien coordinateur régional de la Plateforme de protection des lanceurs d'alerte en Afrique (PPLAAF). Il regrette d’avance ce qui sera fait de cette loi, compte tenu de l’histoire des lois soumises à la deuxième institution du Sénégal.
Le chef de file des « Jammistes » interpelle le Pastef, la société civile et tous les autres partis politiques, les invitant à faire leur mea culpa sur les derniers événements, dont les plaies sont loin de se cicatriser.
« C’est une réflexion rétrospective que chacun doit avoir sur ce qui s’est passé. Ceux qui se sont tus, ceux qui pensaient pouvoir casser pour ensuite redresser le Sénégal… doivent se poser des questions sur leur responsabilité », a-t-il déclaré.
Aujourd’hui, « vouloir interpréter cette loi d’amnistie, c’est encore noyer le poisson », estime l’ancien coordinateur régional de la Plateforme de protection des lanceurs d'alerte en Afrique (PPLAAF). Il regrette d’avance ce qui sera fait de cette loi, compte tenu de l’histoire des lois soumises à la deuxième institution du Sénégal.
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