IDRISSA SECK, l’homme qu’il faut. (El Hadji Mansour Mboup )


IDRISSA SECK, l’homme qu’il faut. (El Hadji Mansour Mboup )
M. IDRISSA SECK est sans doute la personnalité politique sénégalaise qui s'est le plus distinguée ces quinze dernières années. Avant 2000 il sauva le PDS d'une déconfiture et d'une dislocation certaine après le départ de son élite potentielle vers le mirage socialiste. Ainsi, animé d'une foi constante et indéfectible en ses capacités et en l'avenir de son pays il se résigna et opta pour la reconstruction et la fortification de son parti. Le fondateur du Sopi alors las de sa longue et infructueuse conquête politique trouvait réconfort dans une préretraite politique dans patrie de DE GAULLE.
Les sénégalais face à quatre décennies de règne sans partage et sans perspectives du régime socialiste entreprirent de se lever afin de dénoncer leurs élus d'alors et de manifester leur désapprobation au destin sans issue qu'ils voulaient leur tracer. L’enfant de Thiès en infatigable soldat de la patrie peaufinait dans l'intimité de sa discrétion habituelle et légendaire la stratégie qui allait affranchir les sénégalais et le Sénégal de la régence socialiste soutenu par les fidèles restés au parti .Il travailla alors à l'unification et à la solidification d'une opposition déstructurée et à la dérive. Ainsi, finissait-il d'élaborer le terreau nourricier d'où allait germer la graine de la délivrance populaire. L’aspiration des sénégalais à se libérer de l'abime socio-économique engendré par le pouvoir hérité de Senghor trouva un cadre propice à sa matérialisation.
Et survint l'alternance démocratique adossée au PDS réhabilité et boostée par la détermination de tout un peuple, faisant de Wade le rescapé politique, le troisième président de notre république. Mais à peine arrivé au pouvoir, le rêve de tout une nation s'estompa puis se muta en un véritable cauchemard, c'est le début de la dualité au sommet de l'état, face à un chef qui dévie de ses promesses et se détourne des populations, son second, toujours infatigable veille et s'oppose au mépris de ses positions de privilégié:(premier ministre donc chef du gouvernement, deuxième personnalité du parti et garant intègre et irréprochable de ressources financières mirifiques).
Son sens pointu de la rigueur dans la gestion fit atteindre au Sénégal un certain seuil de stabilité budgétaire et un taux de croissance historique compris entre 6% et 7%, notre budget presque d'atteindre pour la première fois la barre des 2000 milliards.
L'homme qui nous gouverne, piégé par la folie abusive du pouvoir se laisse gagner par des prétentions monarchiques n'entrevoyant d'alternative à son règne que son petit prince à l’image onéreusement forgée sur le dos des sénégalais, seul futur roi apte à mener les corrompus qu’il voit en nous croyant que tout sénégalais qui ne peut s’acheter est prêt à se vendre. Sachez donc qu’il existe une race de sénégalais de la classe d’IDY qui ne commercera jamais avec vous.
Le désormais" roi de la république" de par le truchement de la plus grande cabale politique de l' histoire de notre pays entreprit de dérouler sa stratégie de liquidation physico-politique contre celui sans qui la présidence de la république ne serait que le fantasme d'une vie pour lui. Ce dernier fit de lui un président et lui de son héritier politique légitime non pas un prisonnier mais un captif pour se divertir, faisant usage de la toute puissante machine d'état pour l'anéantir. Son échec fut lamentable.
L'infatigable jeune patriote armé de sa foi inaltérable mais aussi de sa témérité épique, résiste bien qu'embastillé. Une fois s'être départi de la raison par laquelle il gouvernait Gorgui verse dans l'autisme déroutant du pouvoir et se mue non pas en monarque mais en une piteuse arnaque en divagation, soumettant le pays à une gouvernance par l’humeur et la médiocrité, foulant du pied les notions de compétence et de mérite. Le clientélisme politique est érigé en règle et l'état entame sa déclinaison. Il sème la discorde dans toutes les sphères sociales et la crise s'installe partout. Le pouvoir se réduisit alors à une source d'assouvissement de ses propres désirs et de poursuite de ses rêves de notoriété, un moyen de chantage et de confiscation du lot et des libertés populaires.
Le Sénégal bascule ainsi dans un désordre institutionnel, économique et sociopolitique. Idy est confiné dans l'isolement mais se donne la voie et perturbe la quiétude coupable du nouveau maître et de sa cour. Il aura ainsi sacrifié sept précieux mois de sa vie en captivité et hypothéquer sa brillante carrière politique pour la défense de son peuple mais aussi à empêcher que l'on se joue de notre patrimoine commun.
Le pouvoir se résume à la gestion d'un lègue trans-générationnel, Il est la propriété de tout un chacun, le bien de tous.Il ne doit faire ni l'objet de confiscation ni d'appropriation. Le suffrage universel est sa seule voie légale et légitime de convoitise.
"WAX WAXET" de Mame Fara l’ex Maçon, douteusement réconcilié à sa foi musulmane donc peu apte à présider à l'OCI ,la plus grande organisation de la Umah islamique, ami à la générosité calculée et suppliante de Ségura , actionnaire majoritaire dans le monument onéreux de sa renaissance africaine conçu en Asie au détriment des talentueux artistes sénégalais et africains est venu expliciter et donner raison à son désormais ex bras droit l'humble et modeste concepteur de la locomotive de l’alternance, l’avertisseur de son peuple.
Idrissa initia son Programme d'Ecoute des Sénégalais, diagnostic exhaustif des obstacles qui entravent l'aspiration de ses compatriotes au bien être social, au savoir, à l'avoir et au pouvoir et ce bien avant les Assises Nationales et même l'avènement de "Benno"constitué en majorité des fossoyeurs et « festoyeurs » repentis de notre jeune nation, tous coupables au yeux de l'histoire. La dénonciation de la tentative de dévolution monarchique lui a valu le statut d'ennemi d'état déclaré et d'opposant numéro un au système wado-centré. Il n'a cessé d'être à l'avant-garde de la défense des intérêts populaires ,à contester et à décrier les violations et profanations répétées de notre Lois fondamentale, atteintes parmi lesquelles cette lois proposée par feu le Député Ezan qui exempte d'amnistie les coupables sous l'alternance et un peu avant son avènement.
Son successeur à la primature, conspirateur ou manipulé principal dans la tentative de sa mise à mort politique en paiera les frais avec son éviction inattendue et sans pudeur de la présidence de l'assemblée nationale. L’ancien chef de notre diplomatie lui aussi ayant joué sa partition dans ce même complot n'échappera à longue liste de victimes et se verra foudroyer par une sortie peu conventionnelle et peu honorable du gouvernement.
C'est fort de cela que Mr Macky Sall alors ministre de l'intérieur par la grâce d'Idy, ancien premier ministre par défaut et directeur de campagne de Wade en 2007 a l'impératif devoir patriotique, politique et historique de s'inspirer du modèle de sacrifice que représente le leader de Rewmi et d'édifier les sénégalais sur l'état de fiabilité réel du fichier électoral. Il y aura émis un avis sceptique lors des dernières élections municipales, suggérant qu'il soit revisité. Mais une telle initiative ne serait-elle pas compromettante pour sa candidature?
Mais aussi Qu’il s’explique sur l’argent de Taîwan comme le président Idrissa Seck l’y invite.
De retour au PDS il fut le premier qui face au président et contre l'avis de plusieurs de ses camarades de parti souleva le caractère anticonstitutionnel d'une éventuelle supplétive candidature de ce dernier pour 2012,ce qui fit avorter la vicieuse tentative déjà impossible de le faire réélire une troisième fois avec seulement 25% des votants. Les manifestants du 23 Juin l'y rejoindront tardivement. Idrissa Seck aura également contribué à la réduction du degré d'implication des ministres Ousmane Ngom de l'Intérieur et Cheikh Tidiane Sy de la justice dans le processus organisationnel des échéances électorales à venir. Il les a jugés peu aptes à organiser avec succès des élections libres et transparentes avec la sagesse et la neutralité souhaitée et l'opposition lui emboitera le pas.
Notre justice ne saurait garantir la liberté à un coupable autoproclamé et le président ne devrait en faire l'exception lui qui a publiquement déclaré avoir bloqué ses possibilités de candidature à deux mandats. A la responsabilité et à l'intégrité des cinq Sages du Conseil Constitutionnel est suspendu le sort de notre nation, Wade vous aura facilité la mission en faisant sa propre inquisition, scellant ainsi son propre sort. Démissionner ou déclarer votre incompétence vous rendrait coupables d’exposer la nation à un risque d'instabilité. Nous ne pouvons que nous fier à votre probité sacerdotale afin de sauver la terre qui nous a tous engendrée d'une violence néfaste et inutile.
Nous osons ainsi croire nous du MAFIS Mouvement And Fal Idrissa Seck en 2012 que l'Opposant historique, le panafricain ayant déjà démontré l'impossibilité d'un troisième mandat à son compte comme en atteste l'article 104 de notre constitution que lui même nous a fait voter aura suffisamment de sagesse, de hauteur et d'humilité pour s'incliner devant ce Peuple stoïque, persévérant et digne du Sénégal, malmené durant son magistère et qu'il sera assez grand pour rendre aux sénégalais leur du le moment venu .Qu'il prenne son temps avant que la meute dévastatrice et insatiable qui l'entoure ne s'empare de notre bananeraie nationale déjà à moitié mise à saque par la gabegie absurde, la mal-gouvernance et l'amateurisme en gestion des affaires d'état mais surtout qu'il abdique et se retire pour la mémoire des générations qui nous ont inspirés, et le bien de celles présentes et à venir.
Que notre vaillante Armée et ses Jambars comprennent qu’ils n’ont aucun intérêt à s’ériger contre le peuple et que la famille qui nous gouverne désormais vivais en France en avant 2000 et y retournera certaine ment en 2012, elle compte plus sur l’intervention de troupes française pour sa délivrance et son rapatriement cas de crise. Le seul gage de leur résidence au Sénégal est la présence du « Pater »à la tête du pays.
M. le président de la République, votre temps de règne s'est épuisé. Le feu de notre vaillante armée, la coalition de nos braves lutteurs ainsi que la présence supposée ou avérée de mercenaires ne vous sauveront vous et vos partisans ainsi que votre progéniture des affres du déferlement d'un peuple en colère, assoiffé du sentiment d'émancipation et décidé de se faire justice au mépris de sa vie. Respectez donc les principes et valeurs que vous avez passé l'essentielle votre vie à défendre :la Justice, la Liberté et la Démocratie et épargnez notre pays d'un chaos imminent
Chers compatriotes de l'intérieur comme de la diaspora, le monde tout entier nous observe .Choisir un président de l'âge de Wade est un risque pour le pays et serait de renoncer au potentiel dont chaque nation est dotée par Dieu pour sa construction sa préservation: la jeunesse et l'intelligence.
Qu'ALLAH préserve notre Cher SENEGAL au nom de tous les Saints, Erudits et Envoyés ainsi que de leur Sceau, mais aussi qu'il garde le futur président et futur père du Développement durable de la Nation Mr IDRISSA SECK car notre patrie ne pourra prospérer que dans un élan de foi constante et de patriotisme engagé ,il est un modèle parfait.

Mr El Hadji Mansour Mboup Coordinateur au MAFIS
(Mouvement And Fal Idrissa Seck en 2012).
Dimanche 4 Décembre 2011
Mansour MBOUP




1.Posté par samba le 04/12/2011 15:19
à lire ce texte on sent nettement qu'idy est entouré d'homme de sa trempe. des gens pour qui la défense des liberté individuelles vaut même qu'on sacrifie sa vie.

good job mansour

2.Posté par laye le 04/12/2011 15:25
Comment peut on defendre un homme aussi tortueux?

A moins que l'on soit aussi tortueux que lui....

3.Posté par kit le 04/12/2011 15:56
Laye tu es un con. khamoulo sakh louy tortueux

4.Posté par ibras le 04/12/2011 18:37
Quand il a fallu rejoindre Abdoulaye Wade , IDRISSA SECK a proprement sabordé le front de l’opposition, comme il avait fait avec Ousmane Tanor Dieng et Abdoulaye Bathily. Depuis une semaine, des amis communs intercèdent en faveur de ce nouveau reniement. Ils assurent que, malgré tout, je pourrai visiter le pays sans être inquiété. Il prendra le pouvoir, ou le pouvoir le prendra. Il se paiera la tête de tous ses ennemis, pour consommer tranquillement sa « fortune » amassée. Mais où est la morale dans tout ça ? Il retournera au pouvoir sans son âme. Il l’a déjà vendue.

5.Posté par moses le 04/12/2011 19:34
nous ne voulons pas d'un clone de wade idy n'est rassurant il nous l' démontré à maintes reprises ne soyons pas dupes. Votons niasse sous le label benno siggil senegal et j'invite cheikh bamba dieye à être son directeur de campagne

6.Posté par rone le 04/12/2011 20:15
un voleur comme idy ne sera jamais president de notre pays,meme pas en reve.



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