Hommage au Président Abdoulaye WADE, le Panafricaniste

Jeunesse et Renaissance Africaine : je dédie cette partie de ma réflexion sur : « Jeunes du Sénégal : entre acquis et défis » au Grand Intellectuel Africain, à un des chantres le plus en vue de la Renaissance Africaine : le Président Abdoulaye WADE


Hommage au Président Abdoulaye WADE, le Panafricaniste
En ce début de troisième millénaire, nous constatons que l’Afrique est un continent mal parti. Sur tous les indicateurs de développement, sa situation est préoccupante et pousse même certains sceptiques à se poser des questions sur son avenir. Face à cette situation, l’inertie de tout africain est regrettable, celle d’un intellectuel blâmable, et celle de la jeunesse panafricaine condamnable. Parce qu’un peuple ne voit son salut que s’il trouve dans la détermination de sa jeunesse la volonté inébranlable de brandir le flambeau de son unité, de sa liberté et de sa créativité.

Ainsi, forts de ce sentiment, au moment où certains véhiculent que la jeunesse africaine ne pense qu’à envenimer l’image d’un continent déjà « maudit », d’un continent « mal parti », d’un continent que certains peignent comme sans avenir ; nous avons jugé nécessaire, voire indispensable, de rompre notre silence. Au nom de tout une génération, celle qui n’a connu ni colonisation ni assimilation ; celle qui est née africaine, qui a grandi africaine et, qui n’a et n’aura de comptes à rendre qu’aux Africains ; celle qui est convaincue que l’Afrique peut, doit et va s’en sortir grâce aux capacités et aux compétences des Africains ; celle qui a la vocation et la conviction de se donner jusqu’à son dernier souffle, pour l’intérêt général de l’Afrique et des Africains, le triomphe de la Renaissance Africaine.

C’est cette Renaissance Africaine, qui est la sève politique et géopolitique du NEPAD (Nouveau Partenariat pour le Développement de l’Afrique), traduisant une volonté unanimement affirmée des dirigeants du continent de penser et d’agir africain.
La mémoire de l’Afrique, berceau de l’humanité et berceau de la civilisation, nous dit clairement que l’Egypte pharaonique, le Carthage ainsi que la ville de Tombouctou à l’apogée de l’Empire du Mali, n’avaient bâti leur grandeur qu’en puisant dans leur génie propre. Nos ancêtres ne comptaient que sur eux-mêmes et géraient l'Afrique, au temps de son rayonnement, à notre image et conformément à nos valeurs.
Cela illustre l’urgence de la Renaissance Africaine comme idéologie et justifie notre choix, parce que le salut de l'Afrique a toujours été de puiser dans son originalité. Et nous devons plus que de la lumière à nos peuples, en ce début de troisième millénaire.
Dès lors, la Renaissance Africaine, fondée sur notre souveraineté et notre désir de prendre notre destin en mains afin de changer nos pays et notre continent, est un retour en nous-mêmes, une interrogation de notre passé rayonnant, un rétablissement de notre conscience historique, dans le but d'offrir à nos peuples la solution la plus conforme à nos aspirations.

Elle se définit alors comme «, d’une part, le choix d’un peuple dispersé aux quatre coins de la terre, d’un peuple dont le continent est morcelé par l’histoire, d’un peuple dont on a, pendant des siècles, arraché la liberté et entaché la dignité, de renouer pour toujours avec ses racines, avec lui-même. Et, d’autre part, le choix de peuples unis par l’histoire, unis par l’espace et unis par le destin, de se forger une Afrique nouvelle : une Afrique démocratique, pacifique, unie, fraternelle et travailleuse pour son développement ».
Conformément aux exigences de nos sociétés et du monde dans lequel nous évoluons, elle repose sur quatre cercles que sont le Fraternalisme, le Continentalisme, la Bonne Gouvernance et le Travail.
Majoritaires dans la composition des populations, les jeunesses africaines sont attendues pour prendre une part active aux combats pour relever les défis du développement de l’Afrique et donc de la réalisation de la Renaissance Africaine.
A cet effet, la jeunesse cessera ainsi de se poser comme variable isolée du processus de mise en œuvre de notre émancipation, pour se révéler à la fois comme enjeu et acteur opposant le développement au sous-développement. L’effort de stimuler une telle expertise suggère aux dirigeants africains et à l’échelle continentale, la définition d’un cadre normatif des méthodes d’implication des populations juvéniles.
Cette structuration pour des conquêtes multisectorielles, tout en se posant avec acuité, doit servir de support à son implication effective pour le sursaut d’une Afrique renaissante.
Il s’agira d’une manière générale d’aiguiser son sens de la responsabilité, de capitaliser sa disponibilité et de guider ses capacités de mutation, vers une participation autonome et responsable à l’œuvre de construction continentale.
Ce nouvel élan qui fonde sa philosophie sur des procédés stratégiques de mobilisation de la jeunesse africaine autour des préalables de développement, a précisément pour vocation de combler une lacune devenue évidente.
A cet effet, l’adoption de la Charte africaine de la jeunesse est alors une justification éloquente de la prise en compte de plus en plus confirmée de la jeunesse par l’Union Africaine.
C’est aussi là tout le sens de l’appel de Son Excellence Monsieur le Président Abdoulaye WADE, à l’occasion de l’inauguration du Monument de la Renaissance Africaine, je le cite : « A toute la jeunesse africaine, terreau fertile des espérances surgies de l’Union africaine, j’ai voulu montrer qu’il existe en Afrique assez de ressources spirituelles, intellectuelles et morales pour sous-entendre notre volonté d’édifier une nation forte, démocratique et prospère ».
Dimanche 23 Septembre 2012
Abdoulaye SECK




1.Posté par Jeanne le 23/09/2012 12:57
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2.Posté par yadikon le 23/09/2012 18:11
arretez les panafricains vivent en afrique meme quand il perd le pouvoir wade est l,un prdnt africains les plus complexé

WADE WAXAM AK JAFAM DOU BENN NIT SOUDEE WOTE PANAFRICANISME DANGAY NANGO TOOK AFRIC

QU.IL NOUS REND NOTRE ARGENT QU,IL A VOLER ET PUIS IL PEU MEME POURIRE EN FRANC

3.Posté par VDM le 24/09/2012 05:00
Pendant les 12ans qu'il etait lá les eleves sont plus nuls,les hopitaux devenus pires certains manquent meme de seringue....pendant c temps on lui tarit de louanges bienvenu au senegal pays de la teranga oú l'on vieillit 30ans et meurent á 50ans.J'ai raconté á ma grand mere qu'en europeon peut voir un vieux de 80ans faire du sport ,elle me prend pour un menteur elle qui a 70ans dont 10ans au lit mais qui remerçie tout de meme le bon Dieu parceque au quartier c la seule á son age qui reste en vie......

4.Posté par kankou le 24/09/2012 08:11
VDM tu racontes des histoires : vas demander à l'IPRES la progression du nombre de pensions de retraite qu'elle paie et la durée de vie des retraités et là tu vas changer de discours.Ce n'a aucun rapport avec WADE , ce que je dis , mais ton argumentaire sur la vieillesse est fallacieux

5.Posté par MC le 26/09/2012 19:35
En tout cas je me suis battu pour que Wade parte parcequ'un troisième mandat pour lui signifierait à mon sens que ma constitution perd sa protection. Aujourd'hui le sentiment qui m'anime c'est que ceux qui nous dirigent ne sont pas meilleurs mais pires. Bon puisque le Sénégal survivra à nous tous alors bon vent à Wade et avec ceux ci nous nous battrons si tel est le voeux de tous!!



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