Le Colonel Cheikh Tine, Commandant du groupement d’incendie et de secours n°2 de la brigade nationale des sapeurs-pompiers qui polarise les régions de Thiès et de Diourbel revient sur le dispositif mis en place par ses hommes pour maîtriser les flammes et les empêcher de se propager pour étendre les dégâts
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«De loin, on aperçoit les flammes. Nous avons mis en place un dispositif impressionnant composé de six voitures d’incendie, plus de 50 sapeurs-pompiers sont mobilisés, quatre officiers pour les superviser », fait-il savoir.
Revenant sur le dispositif mis en place pour contrecarrer la propagation des flammes, il explique : « à notre arrivée, nous avons pu mettre le périmètre de sécurité le plus rapidement possible, nous avons isolé les populations du danger, nous avons mis en place le séparateur de test qui nous permet de séparer le gaz de l’eau avec les autres résidus que nous avons pu refroidir pour empêcher une explosion. Nous avons pu empêcher le feu de se propager. Nous l’avons contenu. Nous sommes en train de maîtriser le feu. C’est une fuite de gaz enflammé. C’est un gaz inflammatoire, du méthane », explique le Colonel.
Toutefois, il précise que leur rôle est de limiter la propagation des flammes. Mais avant d’éteindre, il leur faut avoir l’aval des spécialistes qui ont accompagné le ministre sur les lieux. « Dans ce cas, si on écarte les risques d’explosion, le reste c’est de la surveillance. Il faut des spécialistes en la matière qui nous diront quand il faut éteindre le feu parce qu’ils doivent faire en sorte que le gaz ne soit pas endommagé. Le ministre et les spécialistes nous ont demandé de les attendre avant d’éteindre le feu », fait-il savoir.
Cependant, le Colonel assure aux populations environnantes que le feu ne peut plus se propager et qu’il y a des hommes qui veilleront nuit et jour les flammes, le temps que les spécialistes donnent le feu-vert pour éteindre les flammes. « Je rassure les populations de Ngadiaga et villages environnants que c’est du gaz qui s’enflamme et il n’y a pas de risque si le sujet ne s’approche pas. Nous avons enlevé tout ce qui pourrait constituer un risque d’explosion. Les hommes resteront là pour surveiller le feu ainsi que la gendarmerie qui a déjà envoyé une équipe pour quadriller la zone. Seuls les spécialistes pourront donner le jour de l’extinction du feu.
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«De loin, on aperçoit les flammes. Nous avons mis en place un dispositif impressionnant composé de six voitures d’incendie, plus de 50 sapeurs-pompiers sont mobilisés, quatre officiers pour les superviser », fait-il savoir.
Revenant sur le dispositif mis en place pour contrecarrer la propagation des flammes, il explique : « à notre arrivée, nous avons pu mettre le périmètre de sécurité le plus rapidement possible, nous avons isolé les populations du danger, nous avons mis en place le séparateur de test qui nous permet de séparer le gaz de l’eau avec les autres résidus que nous avons pu refroidir pour empêcher une explosion. Nous avons pu empêcher le feu de se propager. Nous l’avons contenu. Nous sommes en train de maîtriser le feu. C’est une fuite de gaz enflammé. C’est un gaz inflammatoire, du méthane », explique le Colonel.
Toutefois, il précise que leur rôle est de limiter la propagation des flammes. Mais avant d’éteindre, il leur faut avoir l’aval des spécialistes qui ont accompagné le ministre sur les lieux. « Dans ce cas, si on écarte les risques d’explosion, le reste c’est de la surveillance. Il faut des spécialistes en la matière qui nous diront quand il faut éteindre le feu parce qu’ils doivent faire en sorte que le gaz ne soit pas endommagé. Le ministre et les spécialistes nous ont demandé de les attendre avant d’éteindre le feu », fait-il savoir.
Cependant, le Colonel assure aux populations environnantes que le feu ne peut plus se propager et qu’il y a des hommes qui veilleront nuit et jour les flammes, le temps que les spécialistes donnent le feu-vert pour éteindre les flammes. « Je rassure les populations de Ngadiaga et villages environnants que c’est du gaz qui s’enflamme et il n’y a pas de risque si le sujet ne s’approche pas. Nous avons enlevé tout ce qui pourrait constituer un risque d’explosion. Les hommes resteront là pour surveiller le feu ainsi que la gendarmerie qui a déjà envoyé une équipe pour quadriller la zone. Seuls les spécialistes pourront donner le jour de l’extinction du feu.
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