Ousmane Sonko, Premier ministre et président du parti Pastef, a fait un geste symbolique ce matin en se rendant tôt au bureau de vote pour accomplir son devoir citoyen lors des élections législatives. Accompagné de son message habituel de mobilisation, il a exhorté les Sénégalais à participer massivement à ce scrutin, tout en insistant sur l'importance d’un vote calme et serein.
Traditionnellement, les Sénégalais votent plus tard dans la journée, mais Sonko a choisi de faire le déplacement dès l’ouverture des bureaux de vote. "D’habitude, le taux de participation est beaucoup plus faible pour les élections législatives que pour la présidentielle. Mais aujourd’hui, plus que jamais, il est crucial que chaque citoyen prenne part à ce processus", a-t-il souligné après avoir déposé son bulletin de vote.
Pour Sonko, les élections législatives ne sont pas à négliger, bien au contraire. "Ces élections sont tout aussi importantes que le scrutin présidentiel du 24 mars. Nous devons tous comprendre que notre avenir se joue ici, et c’est pour cela que j’ai voulu être parmi les premiers à venir voter", a-t-il expliqué devant la presse.
Outre sa volonté de voir les électeurs se rendre aux urnes en grand nombre, Sonko a lancé un appel solennel à la paix et à la sérénité durant le processus électoral. "Nous serions les seuls perdants si le vote ne se déroulait pas dans le calme", a-t-il averti. Selon lui, il est impératif que cette élection se déroule dans une ambiance paisible pour éviter de mettre en péril les acquis démocratiques du pays.
"Dans une démocratie, il n'y a pas de place pour la violence. La démocratie s'exprime dans la paix et la stabilité", a-t-il ajouté, insistant sur le fait qu’aucune situation ne justifie le recours à la force. "Chacun présente son programme durant la campagne, et c’est le peuple, le jour du scrutin, qui doit choisir librement. C’est ça la démocratie, et il n’y a pas de place pour la violence."
Sonko a rappelé que l’exercice démocratique doit se faire dans le respect de la liberté de choix des citoyens. "Chacun doit pouvoir voter librement et sereinement, sans pression, ni intimidation. Le choix des citoyens doit être respecté", a-t-il insisté. Son appel à la participation massive et à un scrutin pacifique intervient dans un contexte de forte tension politique, notamment entre les partis de l’opposition et ceux du pouvoir en place.
Alors que les enjeux des élections législatives sont élevés, notamment en vue de la composition du futur parlement et de l'orientation politique du pays, Sonko a également insisté sur l’importance d'une vigilance accrue pour garantir l’intégrité du processus électoral. "Le rôle des observateurs et des autorités compétentes est crucial pour assurer que tout se passe dans la transparence et la sérénité", a-t-il affirmé.
Traditionnellement, les Sénégalais votent plus tard dans la journée, mais Sonko a choisi de faire le déplacement dès l’ouverture des bureaux de vote. "D’habitude, le taux de participation est beaucoup plus faible pour les élections législatives que pour la présidentielle. Mais aujourd’hui, plus que jamais, il est crucial que chaque citoyen prenne part à ce processus", a-t-il souligné après avoir déposé son bulletin de vote.
Pour Sonko, les élections législatives ne sont pas à négliger, bien au contraire. "Ces élections sont tout aussi importantes que le scrutin présidentiel du 24 mars. Nous devons tous comprendre que notre avenir se joue ici, et c’est pour cela que j’ai voulu être parmi les premiers à venir voter", a-t-il expliqué devant la presse.
Outre sa volonté de voir les électeurs se rendre aux urnes en grand nombre, Sonko a lancé un appel solennel à la paix et à la sérénité durant le processus électoral. "Nous serions les seuls perdants si le vote ne se déroulait pas dans le calme", a-t-il averti. Selon lui, il est impératif que cette élection se déroule dans une ambiance paisible pour éviter de mettre en péril les acquis démocratiques du pays.
"Dans une démocratie, il n'y a pas de place pour la violence. La démocratie s'exprime dans la paix et la stabilité", a-t-il ajouté, insistant sur le fait qu’aucune situation ne justifie le recours à la force. "Chacun présente son programme durant la campagne, et c’est le peuple, le jour du scrutin, qui doit choisir librement. C’est ça la démocratie, et il n’y a pas de place pour la violence."
Sonko a rappelé que l’exercice démocratique doit se faire dans le respect de la liberté de choix des citoyens. "Chacun doit pouvoir voter librement et sereinement, sans pression, ni intimidation. Le choix des citoyens doit être respecté", a-t-il insisté. Son appel à la participation massive et à un scrutin pacifique intervient dans un contexte de forte tension politique, notamment entre les partis de l’opposition et ceux du pouvoir en place.
Alors que les enjeux des élections législatives sont élevés, notamment en vue de la composition du futur parlement et de l'orientation politique du pays, Sonko a également insisté sur l’importance d'une vigilance accrue pour garantir l’intégrité du processus électoral. "Le rôle des observateurs et des autorités compétentes est crucial pour assurer que tout se passe dans la transparence et la sérénité", a-t-il affirmé.
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