ELECTIONS 2012: LA NOUVELLE APPROCHE AFRICAINE D’UN LEADERSHIP FORT

Au Sénégal ; Nous sommes à Six mois des élections présidentielles, et nous constatons que le paysage politique demeure flou par les sons émis de ses ténors (Exclusion de Idy, les démissions, la chasse aux sorciers d’Aminata Tall, de Gadio ou de Macky, les guerres de positionnements dans les coulisses des états majors) ou ses cavaliers (Tanor, Bathily, Dansokho, Savané, Decroix, Khalifa Sall, Niasse, ou Wilane) d’un royaume galaxie sénégalaise perdue dans l’ombre d’un désir, ce royaume dans lequel peu de ses membres ont beaucoup de peines à se reprocher comme Cheikh Bamba Dièye parmi ses candidats indépendants ( Fall, Diouf, Touré) ; Ces membres royaux de cette classe politique au sénégal montent leurs limites de gestionnaires dans leurs possibilités des actions qu’ils mènent, soi par leur âge ; par leur passé d’élus, ou par leur engagement dans la gestion courante des biens de l’Etat et de par leur méthodologie politique avérée dépassée, la réponse des jeunes leaders à ces élections DEMEURE LA CLE D’UNE SURPRISE INCONNUE


ELECTIONS 2012: LA NOUVELLE APPROCHE AFRICAINE D’UN LEADERSHIP FORT
Ainsi de dire que l’Afrique se cherche dans les cheminements de son passé et s’est souvent torpillé dans les annales des cinquantenaires de ses « INTER-DEPENDANCES », les hommes qui ont eu à gouverner ne nous ont laissés que Dettes explosives ou des richesses mal agies, ainsi quand nous entendons dans les médias, qu’un Etat africain souverain, soi-disant démocrate continue à payer des droits d’acteurs sur son Hymne National à la famille d’un de anciens présidents fondateurs « alors que ce dernier a longtemps pillé son pays », ces méfaits (des hommes leaders primés fondateurs des indépendances africaines), nous mettent à penser que l’homme Leader Africain Actuel n’a que des profils d’intérêts, d’opportunités et non pas de sensibilités patriotiques ainsi d’un sens de déontologies étatiques, pauvres égarés citoyens que nous sommes, pensent que vous évoluons sur les chemins de l’émergence africaine, malgré que l’histoire africaine demeure méconnue par ses peuples qui l’a compose et sa jeunesse active se donne l’obligation de se construire


Cet élan nous dompte l’envie de tourner cette douloureuse page historique ainsi nous devons aller vers cette émergence africaine, qui nous oblige à se doter d’outils culturels et comportementaux (puiser dans les puits ancestraux que nous racines africaines ont creusés des siècles durant les avant-coloniales) pour créer l’attachement de réinventer un impulsion orienté vers le développement local avec Leadership clair; Cet leadership décline son jeune ambition à proposer une autre Afrique, cette Afrique se fera sur les valeurs que nos ancêtres fondateurs ont toujours conjecturées, ces valeurs se décrient solennellement étant notre ambition, notre respect de coutumes et notre humanisme; Cette Afrique par ces valeurs doit fricasser à ces aires fondamentales, les aires que la jeunesse s’insinue dans ce 21éme siècle, Siècle de L’Afrique, le Siècle destiné au Jeune Leadership Africain, qui se guide de la social- démocrate vaincue.

Dans le temps et dans la science des événements non maitrisables d’un mortel, nous pensons que la relève générationnelle est devenue une réalité amère grâce à ces facteurs que beaucoup de ces hommes refusent de croire par peur de ces Elections de 2012, nous permettons de penser que l’électoral jeune est la clé du succès en 2012, Wade, Tanor et autres continuent de tirer les ficelles sur les tous plans pour limiter le vote sanction ; Ainsi cette jeunesse sénégalaise fait courir la Classe politique dans son ensemble sur les fronts territoriaux. De ces concédés, nous augurons que l’assimilation de notre passé historique comme notre enracinement dans notre Siècle présentent l’appétence de bâtir une nation, mais pour nous, jeunesse actuelle engagée, cet enracinement reste toujours notre force de sustenter la croyance ancestrale, Cette force ne peut que nous raffermir à mieux se projeter vers l’ambition de construire une cité nouvelle pour les nations africaines de demain ;

Cette cité des nations se concrétise dans l’amour que nos mères patriotes nous allaitent sur l’empire de leurs croyances africaines, cette jeune génération que nous rêvons « Stable et Pragmatique Futuriste » nous promet l’envie de créer et d’harmoniser notre génération dans les savoirs-faires et les compétences pour que l’œuvre héritière se destine à la gestion des cités nouvelles, cette œuvre nous fasse revisiter le passé ancestral des nos héros ; Les idées avant colonialistes et pré –indépendantistes, qui rêvent de bâtir un ensemble de valeurs ; Cet ensemble rêvé nous réoriente dans notre engagement de développer nos localités en nous accentuant sur la durabilité des propositions aux populations, car l’avenir nous définit comme acteurs du développement local par les actes déjà posées comme à Médina par le Petit Déjeuner des petits et à Thiès par Une Ecole -Une Bibliothèque, ces actes méritent réflexions et compréhensions, qui accède à la compréhension dans leurs parcours qu’ont empêtré ou laissés l’esprit colonialiste ainsi les cheminements dan les cinquantaines des indépendances.

Nous nous lassons de demeurer que des victimes des faits d’une autre période de notre histoire, et de se donner souvent l’esprit de ces faits politiciens avisés comme leurs sources de revenues ou leurs seuls métiers de toute leur vie, ces politiciens politiciennes organisent d’habitudes les populations en Bétails électoraux, remplis dans des cars Rapides, ainsi payés à contre gouttes, pour applaudir des promesses, des paroles, restant gravées dans de la poussière qui seront par le Vent subsaharien d’Afrique, ces faits des leaders politiques sénégalais de tout bord n’ont pas encore une lecture claire des événements passés, ont longtemps été utilisés, ainsi que le régime actuel a montré ces limites dans la gestion des cités locales ; Du point que certaines zones dans le pays demeurent un nid de vipères, qui ne mesurent pas la portée donnée des conséquences de leur politique mal élaborée par exemple, les conditions d’autorisations et modèles de mise en conformité pour construire dans l’habitat, les modes de recensements et de lotissements de nos quartiers ;

Ou la planification utilisée et mal adaptée dans les codes des marchés publics demeurent l’handicap à nos coutumes quotidiennes ou réalités de vaincues ; Ces codes se copient souvent du système de codification Occidentale, de cela la jeunesse comprend l’enjeu des élections de l’Année 2012 et même les retombées de l’Après 2012, et elle se décide de prendre en main son propre avenir, de faire que le Sénégal ouvre sa porte destinée à L’Emergence dans les années suivantes 2012. Sans oublier de dire que il ya eu des avances ont été enregistrées sur le plan des infrastructures, mais le plomb demeure sur l’élaboration d’une vraie politique de jeunesse et de promotion de la créativité juvénile au Sénégal; comme la création d’agences similaires sans avenir doivent laisser aux poubelles par Exemple l’OLEJBAN « Office de l’Emploi des Jeunes des Banlieues » qui n’a aucune utilité dans la recherche ou de reclassement des jeunes dans les Régions au Sénégal même aux niveaux des banlieues Dakaroises;

Nous sommes pour la revalorisation de nos priorités mais les difficultés qui nous imposent à nous retravailler, Notre Leader sorti en 2012 peu important son Camp politique, doit aller vers un élargissement de nos ressources de bases, il faut que nous nous disons l’organisation et l’élaboration d’une vraie politique juvénile se posent sur la structuration d’instances solides d’une NATION fédératrice, la NATION en sa grandeur se donne un besoin à ses peuples d’avenir démocratique de son ETAT; Le sénégal ainsi les autres nations africaines, ses Citoyens Militants qui y vivent des réalités différents, ne forgent que l’aversion d’un engagement égalitaire dans son lieu de vie, étant lucide d’avantages d’être la souffle de ses multiples mouvements renfermant l’opportunistes et corrompus de systèmes et de lecteurs de querelles infinies dans l’arène des partis ;

Nous revendiquons, le pouvoir d’être mobiliser à défendre la démocratie dans son ensemble, nous avions porté notre engagement dans le PARTIS POLITIQUES SENEGALAIS. Cet engagement redéfinit notre volonté de se rassembler autour d’un projet de société. Ainsi notre plan d’actions se consolidera de suggérer, de proposer les possibilités de fusionner les citoyens autour et en accord des perspectives d’avenir, qui permettront de se battre pour les enjeux de développement des nos quartiers ; Ces enjeux suscitent une vision davantage d’un sénégal émergent. L’Afrique doit pendre sa place de cette globalisation des valeurs ou l’homme devient l’outil de la machine ; Comprendre les opportunités et les risques de notre nouvelle orientation politique serait nécessaire.

Pour aller vers notre jaillissement économique et sociale, ainsi de repenser nos balises sur les menaces, cette compréhension permettra de peser sur la balance géopolitique et géostratégique du Continent par la force de nos valeurs maternelles. Cette jeunesse africaine et sénégalaise dans leur globalité se voit l’âme servitude de cette chaine incassable qui est le développement durable par la coopération des cultures et des valeurs humanistes que l’Afrique a toujours eu ; Nous pouvons que nous engager à construire ce projet de société d’un nouvel Leadership, il demeura l’empreinte de notre Héritage Africain, la jeunesse a soif d’édifier sa marque dans ce siècle par son amour d’une justice claire, démolissant cette justice décrie comme aveugle à deux poids deux mesures, que cet avenir débattre une démocratie des peuples africains.

Cette forme de Leadership peut que concrétiser une vision d’imminences des peuples et que d’une contiguïté renaissance ancestrale, la renaissance ancestrale certifie une société avec plus de sociale et de démocratie dans les collectivités africaines ; En commémoration que la répression des intentions de libertés n’est autrement qu’une récession des valeurs africaines, les peuples du continent ont tournés les pages noires que certains leaders continuent à nous servir comme fond de commerce avec une sauce panachée de la violence interethnique chez eux. Chronologiquement fait, le modèle africain est basé sur la gestion de la société par les hommes et non pas par un homme cela dit que le modèle africain reste braquer sur la socio - démocratie que l’occident fouille de grossoyer avec d’autres thèmes plus scientifiques.

Le leadership africain et sénégalais en particulier de l’APRES 2012 nécessite d’assumer l’héritage et de participer pleinement au développement des quartiers, des villes ainsi nos Collectivités locales. Ce Leadership s’appropriera les visions naissantes, cela nous boute un ensemble de facteurs allant de notre économie locale, à sa croissance; Cet ensemble de facteurs n’est autre que la vison de compétitivités, de nos savoirs faire scientifiques, de nos vocations à l’innovations technologique sans pourtant s’attarder aux idées reçues ou des propos longtemps véhiculés en Afrique, la jeunesse africaine que nous sommes, reste en mesure d’utiliser leurs potentielles, que notre histoire commune nous offre pour sauvegarder cette terre « AFRIQUE » ayant depuis une réalité humaniste dans la pensée Universaliste des mondes visités;

« LE SENEGAL BOUGE, SA JEUNE POPULATION VEUT DU CHANGEMENT ET DES HOMMES SIMPLES ET COMPETENTS, NOUS DONNONS LA CHANCE DIEYE CHEIKH BAMBA AVEC UN RAPPEL QUE 2012 C’EST DEMAIN »
SOYONS A L’HEURE AVEC NOTRE SIECLE
Samedi 10 Septembre 2011
Djiby Bocar Bathily




1.Posté par yoi le 10/09/2011 22:08
tu es difficile a lire.

2.Posté par Alzo le 10/09/2011 22:50
Je suis vraiment déçu. Beaucoup de fautes de frappe. Je ne dis pas que j'aurais fait mieux, mais pour des personnes qui se prétendent être : homme de culture ou de politique ou de science,...le moins que l'on puisse faire est de se relire.



Dans la même rubrique :

AIDA CHERIE - 22/05/2015