Le leader de l’Union pour le Renouveau Démocratique, Djibo Ka, en conférence de presse à son domicile, a tenu à donner sa lecture de la consultation référendaire de dimanche dernier.
Au-delà des questions habituelles, le Président du haut président de la Commission nationale du Dialogue des Territoires a regretté que cette consultation se soit transformée au fil des jours en élection présidentielle avec beaucoup de désinformation.
« C’est pas un problème de parti politique, c’est un problème de citoyen. C’est pourquoi je regrette au passage que des citoyens n’aient pas pu voter pour des raisons techniques. Espérons que des conséquences idoines seront tirées au niveau approprié. Ce qui est nouveau c’est que cette consultation s’est transformée au fil des jours en élection présidentielle avec beaucoup de désinformation pour détourner l’opinion publique des vraies questions posées au Sénégal », dira-t-il.
Entouré de son état-major dont Diégane Sène, s'agissant du taux de participation, Djibo a comparé ce référendum aux trois qui l'ont précédé. Tout en reconnaissant que le référendum du 20 Mars est bien en deçà de la moyenne jusque-là notée au Sénégal, selon lui « c’est sans doute à cause du contexte dans lequel il s’est déroulé, qui n’est pas une élection classique, mobilisant peu d’électeurs. »
Ce taux de 38,28%% est parfaitement compréhensible ajoutera-t-il, « il est dans les normes d’autant plus que le vote n’est pas obligatoire au Sénégal... »
Au-delà des questions habituelles, le Président du haut président de la Commission nationale du Dialogue des Territoires a regretté que cette consultation se soit transformée au fil des jours en élection présidentielle avec beaucoup de désinformation.
« C’est pas un problème de parti politique, c’est un problème de citoyen. C’est pourquoi je regrette au passage que des citoyens n’aient pas pu voter pour des raisons techniques. Espérons que des conséquences idoines seront tirées au niveau approprié. Ce qui est nouveau c’est que cette consultation s’est transformée au fil des jours en élection présidentielle avec beaucoup de désinformation pour détourner l’opinion publique des vraies questions posées au Sénégal », dira-t-il.
Entouré de son état-major dont Diégane Sène, s'agissant du taux de participation, Djibo a comparé ce référendum aux trois qui l'ont précédé. Tout en reconnaissant que le référendum du 20 Mars est bien en deçà de la moyenne jusque-là notée au Sénégal, selon lui « c’est sans doute à cause du contexte dans lequel il s’est déroulé, qui n’est pas une élection classique, mobilisant peu d’électeurs. »
Ce taux de 38,28%% est parfaitement compréhensible ajoutera-t-il, « il est dans les normes d’autant plus que le vote n’est pas obligatoire au Sénégal... »
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