Le service de la dette se répartit entre la dette extérieure et la dette intérieure, selon SIKA Finance, lu par confidentielDakar. La dette extérieure, qui représente 59 % de l'encours total, soit 4772 milliards FCFA, est principalement détenue par des créanciers multilatéraux (Banque mondiale, FMI, etc.), des détenteurs d'Eurobonds et des créanciers bilatéraux (autres pays).
Les remboursements de cette dette atteindront 1 316 milliards FCFA en 2025, et 1 858 milliards FCFA en 2026 et 1 598 milliards FCFA en 2027. Les remboursements de cette dette extérieure devraient connaitre une croissance significative, notamment en raison du début de remboursement de l'eurobond 2028 en euros pour 218,65 milliards FCFA sur ces trois années 2025, 2026 et 2027. La dette intérieure à l'ordre de 3 352 milliards FCFA, quant à elle, est principalement détenue par des investisseurs locaux sous forme de bons et d'obligations du Trésor. Les coûts des emprunts (intérêts et principal) que l'État sénégalais doit supporter sont attendus à 1 119 milliards FCFA en 2025, 1421 milliards FCFA en 2026 et 812 milliards FCFA en 2027. Par rapport à 2024, où elles s'élevaient à 670 milliards FCFA, le service de la dette connaîtra une progression significative de 112 % en 2026, principalement en raison du remboursement des titres publics d'un montant de 996 milliards FCFA.
Soit 1,1 milliard de dollars. Pour assurer ces remboursements, le Sénégal devra compter sur une capacité accrue de mobilisation de ressources de ses régies financières, qui seront fortement sollicitées.
Les remboursements de cette dette atteindront 1 316 milliards FCFA en 2025, et 1 858 milliards FCFA en 2026 et 1 598 milliards FCFA en 2027. Les remboursements de cette dette extérieure devraient connaitre une croissance significative, notamment en raison du début de remboursement de l'eurobond 2028 en euros pour 218,65 milliards FCFA sur ces trois années 2025, 2026 et 2027. La dette intérieure à l'ordre de 3 352 milliards FCFA, quant à elle, est principalement détenue par des investisseurs locaux sous forme de bons et d'obligations du Trésor. Les coûts des emprunts (intérêts et principal) que l'État sénégalais doit supporter sont attendus à 1 119 milliards FCFA en 2025, 1421 milliards FCFA en 2026 et 812 milliards FCFA en 2027. Par rapport à 2024, où elles s'élevaient à 670 milliards FCFA, le service de la dette connaîtra une progression significative de 112 % en 2026, principalement en raison du remboursement des titres publics d'un montant de 996 milliards FCFA.
Soit 1,1 milliard de dollars. Pour assurer ces remboursements, le Sénégal devra compter sur une capacité accrue de mobilisation de ressources de ses régies financières, qui seront fortement sollicitées.
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