Ni les menaces voilées, ni les menaces dévoilées, Ni la crainte d’une solitude dans la voie de la lumière, de la justice, de l’équité et de la transparence, ni la crainte de perdre un second mandat, ni les oiseaux de mauvais augures, ne doivent vous dévier de votre trajectoire.
Je vois dans votre élection la main divine, considérez vous comme un sauveur, le capitaine d’un bateau en passe de chavirer. N’ayez pas peur cher président,
Vous avez une mission et vous en êtes conscient j’en suis sure.
Le risque se trouve dans la non prise de risque. On ne construit pas une société forte sur des choix mous disait Alain Madelein.
Accepter d’être l’otage du peuple, refuser d’être l’otage de cette classe de politique dinosaure, rapace, fossoyeur de la république, sans conviction ni amour pour son peuple, transhumante à souhait, toujours à la recherche de vertes prairies, prompt à vous lâcher dès les premières heures de turbulence.
Le peuple place beaucoup d’espoir en vous. Le peuple vous attend au tournant.
Soyez concentré et attentif au cri de cœur de ce peuple meurtris, longtemps malmené, longtemps désabusé, longtemps déçu, longtemps trainé dans l’obscurantisme, longtemps exploité jusque dans sa chair.
Soyez attentif à ce grand peuple que dieu à travers votre élection tient à sauver.
Un certain peuple vous soutient, ce peuple n’a pas la mémoire courte, il n’est ni naïf, ni aveugle, ni sourd, il peut distinguer la voix du corbeau de celle du rossignol,
Ce peuple est votre vrai allié.
Ecrire les plus belles pages de l’histoire politique du Sénégal est le souhait le plus ardent que je formule à votre endroit.
N’ayez pas peur cher président !
Que dieu vous préserve de toute contagion néfaste et vous donne la force et la lucidité de faire face à vos détracteurs.
NDEYE SANOU FAYE
Mercaticienne,
Membre de la Convergence des Cadres Républicains
Je vois dans votre élection la main divine, considérez vous comme un sauveur, le capitaine d’un bateau en passe de chavirer. N’ayez pas peur cher président,
Vous avez une mission et vous en êtes conscient j’en suis sure.
Le risque se trouve dans la non prise de risque. On ne construit pas une société forte sur des choix mous disait Alain Madelein.
Accepter d’être l’otage du peuple, refuser d’être l’otage de cette classe de politique dinosaure, rapace, fossoyeur de la république, sans conviction ni amour pour son peuple, transhumante à souhait, toujours à la recherche de vertes prairies, prompt à vous lâcher dès les premières heures de turbulence.
Le peuple place beaucoup d’espoir en vous. Le peuple vous attend au tournant.
Soyez concentré et attentif au cri de cœur de ce peuple meurtris, longtemps malmené, longtemps désabusé, longtemps déçu, longtemps trainé dans l’obscurantisme, longtemps exploité jusque dans sa chair.
Soyez attentif à ce grand peuple que dieu à travers votre élection tient à sauver.
Un certain peuple vous soutient, ce peuple n’a pas la mémoire courte, il n’est ni naïf, ni aveugle, ni sourd, il peut distinguer la voix du corbeau de celle du rossignol,
Ce peuple est votre vrai allié.
Ecrire les plus belles pages de l’histoire politique du Sénégal est le souhait le plus ardent que je formule à votre endroit.
N’ayez pas peur cher président !
Que dieu vous préserve de toute contagion néfaste et vous donne la force et la lucidité de faire face à vos détracteurs.
NDEYE SANOU FAYE
Mercaticienne,
Membre de la Convergence des Cadres Républicains
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