L’Agence Japonaise de Coopération Internationale (JICA), l’Organisation Internationale pour la Migration (OIM) et les institutions compétentes des pays du G5 Sahel comptent unir leurs forces pour mener ensemble une étude sur le contrôle frontalier sous Covid-19 dans cette partie de l’Afrique de l’ouest. C’est ce qu’a révélé la convention de partenariat signée ce 19 mai, entre la JICA et l’OIM en présence du représentant du gouvernement du Sénégal à travers le ministère de l’intérieur.
Deux millions US, environ 1,071 milliard FCFA, seront injectés dans ce projet d’études qui compte durer 1 an et 6 mois.
Connue pour ses efforts dans la gestion des frontières, l’OIM par le biais de son représentant au Sénégal, Bakary Doumbia, indique que ce diagnostic sans complaisance des frontières vise à définir les priorités dans ce contexte pandémique de covid-19 afin de mieux juguler les menaces dans la région sahélienne.
Le gouvernement du Sénégal représenté par le Directeur Adjoint de la Police de l’Air et des Frontières (DAPAF), Mamadou Bocar Ly a magnifié l’intervention de la coopération japonaise qui, selon lui, tend à contribuer à une meilleure gestion de l’insécurité dans le Sahel.
L’ambassadeur du Japon au Sénégal, SE Arai Tatsuo qui a également pris part à la signature de l’accord de partenariat, considère pour sa part que le contrôle sûr et efficace des frontières est une clé fondamentale pour la gestion et le maintien de la paix et la stabilité dans la région sahélienne.
Deux millions US, environ 1,071 milliard FCFA, seront injectés dans ce projet d’études qui compte durer 1 an et 6 mois.
Connue pour ses efforts dans la gestion des frontières, l’OIM par le biais de son représentant au Sénégal, Bakary Doumbia, indique que ce diagnostic sans complaisance des frontières vise à définir les priorités dans ce contexte pandémique de covid-19 afin de mieux juguler les menaces dans la région sahélienne.
Le gouvernement du Sénégal représenté par le Directeur Adjoint de la Police de l’Air et des Frontières (DAPAF), Mamadou Bocar Ly a magnifié l’intervention de la coopération japonaise qui, selon lui, tend à contribuer à une meilleure gestion de l’insécurité dans le Sahel.
L’ambassadeur du Japon au Sénégal, SE Arai Tatsuo qui a également pris part à la signature de l’accord de partenariat, considère pour sa part que le contrôle sûr et efficace des frontières est une clé fondamentale pour la gestion et le maintien de la paix et la stabilité dans la région sahélienne.
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