Transparency International et Afrobaromètre, appellent, dans un rapport d’évaluation publié sous le titre « Le Baromètre mondial de la corruption – Afrique 2019 », à lutter contre la corruption. Car, elle porte également atteinte au bien-être des individus, des familles et des communautés.
« Bien qu’elle varie considérablement selon les pays et les institutions publiques, elle porte préjudice à des centaines de millions de citoyens en réduisant leurs chances de vivre un avenir stable et prospère », regrette l’organe anti-corruption.
La 10e édition du Baromètre mondial de la corruption – Afrique renseigne que les citoyens africains font face à des problèmes de corruption complexes et multidimensionnels qui nécessitent d’adopter des changements fondamentaux et systémiques.
Elle révèle que la plupart des Africains pensent que la corruption a augmenté dans leur pays, mais aussi que la majorité d’entre eux s’estiment capables, en tant que citoyens, de changer la donne dans la lutte contre la corruption.
Le Baromètre mondial de la corruption – Afrique, publié récemment a fait allusion aux événements survenus récemment en Gambie. Cette crise politique qui avait précipité le départ du président Jammeh a pu démontrer, selon le rapport de Transparency International et Afrobaromètre, que les citoyens peuvent jouer un rôle décisif pour faire bouger les lignes.
Les organes anti-corruption se félicitent du fait que les Gambiens ont réclamé un gouvernement plus intègre et forcé les dirigeants politiques à tenir compte de leurs revendications. Tout en prenant note que les systèmes de lutte contre la corruption ont été renforcés. « Depuis que le régime autocratique du président Jammeh a été renversé, l’opacité, la répression et la violation des droits fondamentaux qui ont marqué sa présidence semblent appartenir de plus en plus au passé », se réjouissent Transparency International et Afrobaromètre.
« Bien qu’elle varie considérablement selon les pays et les institutions publiques, elle porte préjudice à des centaines de millions de citoyens en réduisant leurs chances de vivre un avenir stable et prospère », regrette l’organe anti-corruption.
La 10e édition du Baromètre mondial de la corruption – Afrique renseigne que les citoyens africains font face à des problèmes de corruption complexes et multidimensionnels qui nécessitent d’adopter des changements fondamentaux et systémiques.
Elle révèle que la plupart des Africains pensent que la corruption a augmenté dans leur pays, mais aussi que la majorité d’entre eux s’estiment capables, en tant que citoyens, de changer la donne dans la lutte contre la corruption.
Le Baromètre mondial de la corruption – Afrique, publié récemment a fait allusion aux événements survenus récemment en Gambie. Cette crise politique qui avait précipité le départ du président Jammeh a pu démontrer, selon le rapport de Transparency International et Afrobaromètre, que les citoyens peuvent jouer un rôle décisif pour faire bouger les lignes.
Les organes anti-corruption se félicitent du fait que les Gambiens ont réclamé un gouvernement plus intègre et forcé les dirigeants politiques à tenir compte de leurs revendications. Tout en prenant note que les systèmes de lutte contre la corruption ont été renforcés. « Depuis que le régime autocratique du président Jammeh a été renversé, l’opacité, la répression et la violation des droits fondamentaux qui ont marqué sa présidence semblent appartenir de plus en plus au passé », se réjouissent Transparency International et Afrobaromètre.
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