Des agents épuisés, des conditions de travail déplorables et un appel urgent à la solidarité : la situation à La Poste ne peut plus durer.
Ce qui se passe actuellement au sein de La Poste est une tragédie extraordinaire, révélant des réalités difficiles que vivent les employés. Selon un récent article du quotidien Les Échos, « Travailleurs de La Poste: galère totale. Mème pas de quoi manger parfois », la situation des agents est critique. Bien que cette crise ne soit pas directement imputable à l’actuel directeur général Bassirou Diomaye Faye, les employés subissent les conséquences d’une gestion défaillante qui s’est installée au fil des années.
De nombreux agents, exténués par un rythme de travail effréné, peinent à trouver les ressources nécessaires pour se rendre à leur travail. Certains n’ont même pas les 100 francs nécessaires pour se payer un repas, une situation inacceptable pour des travailleurs dévoués. « Même pas 100 francs pour acheter du ‘thiaf’ Walay », souligne l’article, illustrant l’extrême précarité à laquelle ils sont confrontés.
Face à cette réalité alarmante, des brigades temporaires sont mises en place dans certains bureaux de poste pour alléger la charge de travail, permettant ainsi à certains agents de se reposer quelques jours par semaine. Toutefois, cette solution ne fait qu’atténuer un problème structurel qui nécessite une intervention immédiate.
Il est urgent que des mesures concrètes soient prises pour améliorer les conditions de travail des agents de La Poste, afin qu’ils puissent exercer leur métier dans la dignité et la sécurité. La solidarité et le soutien de la direction, ainsi que des institutions compétentes, sont indispensables pour remédier à cette crise et restaurer la confiance au sein de l’entreprise.
Ce qui se passe actuellement au sein de La Poste est une tragédie extraordinaire, révélant des réalités difficiles que vivent les employés. Selon un récent article du quotidien Les Échos, « Travailleurs de La Poste: galère totale. Mème pas de quoi manger parfois », la situation des agents est critique. Bien que cette crise ne soit pas directement imputable à l’actuel directeur général Bassirou Diomaye Faye, les employés subissent les conséquences d’une gestion défaillante qui s’est installée au fil des années.
De nombreux agents, exténués par un rythme de travail effréné, peinent à trouver les ressources nécessaires pour se rendre à leur travail. Certains n’ont même pas les 100 francs nécessaires pour se payer un repas, une situation inacceptable pour des travailleurs dévoués. « Même pas 100 francs pour acheter du ‘thiaf’ Walay », souligne l’article, illustrant l’extrême précarité à laquelle ils sont confrontés.
Face à cette réalité alarmante, des brigades temporaires sont mises en place dans certains bureaux de poste pour alléger la charge de travail, permettant ainsi à certains agents de se reposer quelques jours par semaine. Toutefois, cette solution ne fait qu’atténuer un problème structurel qui nécessite une intervention immédiate.
Il est urgent que des mesures concrètes soient prises pour améliorer les conditions de travail des agents de La Poste, afin qu’ils puissent exercer leur métier dans la dignité et la sécurité. La solidarité et le soutien de la direction, ainsi que des institutions compétentes, sont indispensables pour remédier à cette crise et restaurer la confiance au sein de l’entreprise.
Autres articles
-
Grève illimitée à UASZ : Gorgui Wade Ndoye conscientise les étudiants
-
Sénégal : l'opérateur télécom "Free" change de nom et s'appelle désormais "YAS"
-
[Entretien] : "Notre ambition c'est de briguer les suffrages des thiessois au niveau de la ville et dans les 3 communes" (Me Habib Vitin)
-
Koungheul/Douanes : saisie de 210 plaquettes de cocaïne pure d'une contrevaleur totale de 18 milliards 800 millions francs CFA.
-
Affaire Samuel Sarr – West African Energy : « Le montant total non justifié de manière probante ou non autorisé s'élève à 8 milliards 170 millions de FCFA » (rapport d'audit du cabinet Mazars).