Libérée lundi après un séjour derrière les verrous pour des accusations d’escroquerie sur fonds publics, Dieguy Diop, ex-Directrice de la Promotion de l’économie sociale et solidaire, s’est confiée à L’Observateur sur son expérience et son combat pour rétablir la vérité. Bien qu’elle bénéficie d’une liberté provisoire, Diop clame son innocence et exprime sa détermination à faire face à la justice.
Interrogée sur son arrestation, elle déclare : “J’ai eu des problèmes, non pas avec la justice de mon pays, mais avec une partie des Sénégalais. C’est le ministre Alioune Dione qui a porté plainte contre moi.” Face à un avis de recherche la visant, Diop avait décidé de se présenter à la Division des investigations criminelles (DIC), où elle a été entendue pendant plus de 12 heures avant d’être placée en garde à vue.
Ses premières nuits en détention ont été marquées par une introspection : “Je les ai vécues avec dignité… Dans la vie, il y a trois êtres qui ne seront jamais emprisonnés : le fou, le chien et le traître. Et moi, je ne suis pas une traîtresse.” Elle a également souligné avoir été traitée correctement durant son incarcération, ajoutant : “J’ai été bien traitée, comme une bonne citoyenne.”
Concernant les conditions de détention, elle exprime sa compassion : “Je ne souhaite à personne, pas même à mon pire ennemi, un passage à la cave. C’est une restriction de liberté dégradante.” Ce passage à la cave, qu’elle décrit comme un “monde nouveau”, a suscité chez elle un mélange de fierté et de colère face à l’utilisation de la justice à des fins politiques.
La somme en jeu dans cette affaire s’élève à 27 millions 800 000 FCFA, pour laquelle elle a versé une caution de 28 millions FCFA. Elle insiste sur le fait que ce versement ne constitue pas une admission de culpabilité, mais une mesure de garantie pour sa liberté provisoire.
Aujourd’hui, Dieguy attend que la justice respecte ses droits et que la vérité éclate : “Nous devons être libres de mener notre campagne électorale et de défendre la liste «Takku Wallu».” Elle affirme avoir confiance en ses avocats et dans le système judiciaire, malgré les menaces proférées par le ministre Dione.
Pour conclure, Dieguy Diop s’engage à poursuivre son combat : “Nous n’avons pas peur de nous engager ni de faire face à la justice, car nous sommes dans un État de droit.” Sa détermination à se défendre et à restaurer son honneur semble inébranlable.
Interrogée sur son arrestation, elle déclare : “J’ai eu des problèmes, non pas avec la justice de mon pays, mais avec une partie des Sénégalais. C’est le ministre Alioune Dione qui a porté plainte contre moi.” Face à un avis de recherche la visant, Diop avait décidé de se présenter à la Division des investigations criminelles (DIC), où elle a été entendue pendant plus de 12 heures avant d’être placée en garde à vue.
Ses premières nuits en détention ont été marquées par une introspection : “Je les ai vécues avec dignité… Dans la vie, il y a trois êtres qui ne seront jamais emprisonnés : le fou, le chien et le traître. Et moi, je ne suis pas une traîtresse.” Elle a également souligné avoir été traitée correctement durant son incarcération, ajoutant : “J’ai été bien traitée, comme une bonne citoyenne.”
Concernant les conditions de détention, elle exprime sa compassion : “Je ne souhaite à personne, pas même à mon pire ennemi, un passage à la cave. C’est une restriction de liberté dégradante.” Ce passage à la cave, qu’elle décrit comme un “monde nouveau”, a suscité chez elle un mélange de fierté et de colère face à l’utilisation de la justice à des fins politiques.
La somme en jeu dans cette affaire s’élève à 27 millions 800 000 FCFA, pour laquelle elle a versé une caution de 28 millions FCFA. Elle insiste sur le fait que ce versement ne constitue pas une admission de culpabilité, mais une mesure de garantie pour sa liberté provisoire.
Aujourd’hui, Dieguy attend que la justice respecte ses droits et que la vérité éclate : “Nous devons être libres de mener notre campagne électorale et de défendre la liste «Takku Wallu».” Elle affirme avoir confiance en ses avocats et dans le système judiciaire, malgré les menaces proférées par le ministre Dione.
Pour conclure, Dieguy Diop s’engage à poursuivre son combat : “Nous n’avons pas peur de nous engager ni de faire face à la justice, car nous sommes dans un État de droit.” Sa détermination à se défendre et à restaurer son honneur semble inébranlable.
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