Les cadres de l’Autorité des Télécommunications et des Postes ont, lors de leur conférence annuelle, débattu du thème « l’Afrique est t’il un continent numérique ? Et Comment promouvoir le leadership du Sénégal dans une Afrique numérique ».
Souleymane Jules Diop, Secrétaire d’Etat au PUDC venu représenter le Premier ministre, a indiqué qu’en réalité aucune réforme ne peut se faire sans l’apport des télécommunications, « pour rendre notre pays plus incitatif il faut l’implication des télécommunications pour ’autonomisation de certains services » dira t’il. Le Sénégal ajoutera t’il, occupe une lace de leader dans le secteur des télécommunications et il nous faut par des réformes importantes garder cette place.
Le Directeur général de l’ARTP sur la même lancée, a fait savoir que l’ARTP se battait pour parachever « l’écosystème des télécommunications » au Sénégal : « nous avons lancé un appel à candidatures pour accueillir des licences fournisseurs d’accès internet et nous allons vers la mise en place d’autres licences « Opérateur virtuel du mobile » tout cela permettant que l’économie numérique puisse se développer dans notre pays... »
Abdou Karim Sall sur le thème de cette conférence de dire que par ailleurs, la mise en place d’un marché commun peut plonger plus l’Afrique dans l’ère du numérique. Il a rappelé que la CEDEAO dans le cadre des accords de libre circulation des personnes et des biens pour parfaire cette intégration, a décidé de faire en sorte qu’il existe un seul et unique réseau africain.
Cette conférence annuelle des cadres de l’ARTP était cette année animée par le Professeur Hamadoun Touré, Premier africain à avoir été secrétaire général de l’Union internationale des télécommunications.
Le choix du thème dira Ousmane Ndiaye, Président de l’amicale des cadres de l’autorité de régulation des télécommunications et des postes est très judicieux. « Le numérique est un des piliers sur lequel notre continent l’Afrique peut s’appuyer pour accroître sa croissance économique et accélérer son développement économique et social. Fort heureusement les pays l’ont compris, et se sont engagés dans cette voie là depuis un certain nombre d’années, et notre interpellation en tant que cadres, c’est de poser un débat public autour de ces questions là pour apporter une contribution à la réflexion. Le processus est enclenché et le sera pour les prochaines années... » conclura t’il.
Souleymane Jules Diop, Secrétaire d’Etat au PUDC venu représenter le Premier ministre, a indiqué qu’en réalité aucune réforme ne peut se faire sans l’apport des télécommunications, « pour rendre notre pays plus incitatif il faut l’implication des télécommunications pour ’autonomisation de certains services » dira t’il. Le Sénégal ajoutera t’il, occupe une lace de leader dans le secteur des télécommunications et il nous faut par des réformes importantes garder cette place.
Le Directeur général de l’ARTP sur la même lancée, a fait savoir que l’ARTP se battait pour parachever « l’écosystème des télécommunications » au Sénégal : « nous avons lancé un appel à candidatures pour accueillir des licences fournisseurs d’accès internet et nous allons vers la mise en place d’autres licences « Opérateur virtuel du mobile » tout cela permettant que l’économie numérique puisse se développer dans notre pays... »
Abdou Karim Sall sur le thème de cette conférence de dire que par ailleurs, la mise en place d’un marché commun peut plonger plus l’Afrique dans l’ère du numérique. Il a rappelé que la CEDEAO dans le cadre des accords de libre circulation des personnes et des biens pour parfaire cette intégration, a décidé de faire en sorte qu’il existe un seul et unique réseau africain.
Cette conférence annuelle des cadres de l’ARTP était cette année animée par le Professeur Hamadoun Touré, Premier africain à avoir été secrétaire général de l’Union internationale des télécommunications.
Le choix du thème dira Ousmane Ndiaye, Président de l’amicale des cadres de l’autorité de régulation des télécommunications et des postes est très judicieux. « Le numérique est un des piliers sur lequel notre continent l’Afrique peut s’appuyer pour accroître sa croissance économique et accélérer son développement économique et social. Fort heureusement les pays l’ont compris, et se sont engagés dans cette voie là depuis un certain nombre d’années, et notre interpellation en tant que cadres, c’est de poser un débat public autour de ces questions là pour apporter une contribution à la réflexion. Le processus est enclenché et le sera pour les prochaines années... » conclura t’il.
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