L’audace de certains criminels ne semble connaître aucune limite. M.D., un jeune homme de Thiès, a été récemment condamné à deux ans de prison, dont trois mois ferme, pour un acte de vol commis dans un lieu des plus inattendus : la Brigade de recherches de Thiès elle-même. Comme le rapporte L’Observateur, le prévenu s’est infiltré de nuit dans les locaux de la brigade pour y dérober une moto Jakarta, immobilisée par les gendarmes à des fins de saisie.
Il n’a pas hésité à mettre cette moto en circulation pour transporter des clients et gagner de l’argent.Quelques jours après le vol, M.D. a été appréhendé lors d’un contrôle de routine. Les autorités ont rapidement constaté qu’il s’agissait de la moto dérobée, propriété de la brigade elle-même. Interrogé devant le tribunal, M.D. a nié en bloc, affirmant qu’il avait acheté la moto à un certain “Fallou” et qu’il ignorait qu’elle avait été volée.
L’Observateur rapporte que les autorités n’ont pas été convaincues par cette version. Le procureur a rejeté l’argument de M.D., insistant sur le fait qu’il s’était introduit illégalement dans les locaux de la Brigade pour subtiliser l’engin. Le tribunal, suivant le réquisitoire du parquet, a prononcé une peine de deux ans d’emprisonnement, dont trois mois ferme, concluant que les explications du prévenu ne tenaient pas la route. Ce jugement vient clore un épisode surprenant qui a mis en lumière une faille dans la sécurité d’un établissement où, normalement, les biens saisis devraient être protégés de toute intrusion.
Il n’a pas hésité à mettre cette moto en circulation pour transporter des clients et gagner de l’argent.Quelques jours après le vol, M.D. a été appréhendé lors d’un contrôle de routine. Les autorités ont rapidement constaté qu’il s’agissait de la moto dérobée, propriété de la brigade elle-même. Interrogé devant le tribunal, M.D. a nié en bloc, affirmant qu’il avait acheté la moto à un certain “Fallou” et qu’il ignorait qu’elle avait été volée.
L’Observateur rapporte que les autorités n’ont pas été convaincues par cette version. Le procureur a rejeté l’argument de M.D., insistant sur le fait qu’il s’était introduit illégalement dans les locaux de la Brigade pour subtiliser l’engin. Le tribunal, suivant le réquisitoire du parquet, a prononcé une peine de deux ans d’emprisonnement, dont trois mois ferme, concluant que les explications du prévenu ne tenaient pas la route. Ce jugement vient clore un épisode surprenant qui a mis en lumière une faille dans la sécurité d’un établissement où, normalement, les biens saisis devraient être protégés de toute intrusion.
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