Jugé pour le délit d’escroquerie, le sieur Abdoul Aziz Mbodji a été attrait à la barre des flagrants délits. Pour sa défense, le prévenu n’a pas pu mieux trouver que d’affirmer qu’il était l’amant de sa victime qui était pourtant mariée. Délibéré prévu le 21 Septembre prochain.
Abdoul Aziz Mbodji a été attrait à la barre des flagrants délits par Aicha Hann, une barwoman de l’hôtel Pullman pour escroquerie. Fréquentant l’hôtel depuis plus d’un an, le mis en cause a déclaré qu’il était consultant en banque finance et que son travail ne se faisait que sur internet. Après avoir fait connaissance avec sa victime, le sieur Abdou Aziz Mbodji propose à la dame Aicha Hann d’acheter un terrain qui se trouve à Ndiakhirate de 600 mètres carrés moyennant la somme de 4 millions 500 mille francs Cfa sous prétexte que le terrain appartenait à la femme du président Omar Sarr. C’est ainsi que la Barwoman a accepté l’offre et s’en va directement à la banque pour un retrait de 3 millions 500 mille francs Cfa qu’elle a remis au prévenu le temps de compléter le reste. En retour, Abdou Aziz Mbodji lui remet les papiers du terrain qu’il va récupérer le lendemain pour la régularisation des papiers. Un accord que la dame a accepté mais sans savoir qu’elle se faisait leurrer. Et depuis ce jour, la dame Aicha Hann n’a plus revu son escroc. Elle décide alors de porter plainte contre lui.
A la barre, le sieur Abdou Aziz Mbodji a nié les faits en prétextant qu’il entretenait une relation amoureuse avec la dame qui était en plus mariée. Selon le prévenu, Aicha Hann ne lui a jamais remis de l’argent et s’ils en ont arrivé là c’est jusque qu’il a rompu avec son amante parce qu’il ne la supportait plus, en plus il avait découvert que Aicha Hann était mariée. Le procureur Cheikh Faye quant à lui, a requis une peine d’an ferme et une amende de 100 mille francs tout en qualifiant Abdou Aziz Mbodji d’un prévenu de mauvaise foi et que les faits sont avérés même s’il conteste l’évidence tout en arguant qu’ils étaient amants. Continuant sa réquisition, le représentant du parquet explique que le mis en cause n’a pas respecté sa parole à la police, affirmant qu’il allait rembourser l’argent. L'avocat de la défense a plaidé la relaxe pure et simple car son client entretenait une relation amoureuse avec sa partie civile.
La robe noire estime que les deux tourtereaux ont rompu car Abdou Aziz Mbodji ignorait que sa maîtresse était mariée et quand il l’a su, il a voulu mettre terme à cette relation c’est pourquoi la partie civile n’a pas supporté raison pour laquelle elle a porté plainte contre son amant.
L’affaire sera vidée le 27 Septembre prochain.
Abdoul Aziz Mbodji a été attrait à la barre des flagrants délits par Aicha Hann, une barwoman de l’hôtel Pullman pour escroquerie. Fréquentant l’hôtel depuis plus d’un an, le mis en cause a déclaré qu’il était consultant en banque finance et que son travail ne se faisait que sur internet. Après avoir fait connaissance avec sa victime, le sieur Abdou Aziz Mbodji propose à la dame Aicha Hann d’acheter un terrain qui se trouve à Ndiakhirate de 600 mètres carrés moyennant la somme de 4 millions 500 mille francs Cfa sous prétexte que le terrain appartenait à la femme du président Omar Sarr. C’est ainsi que la Barwoman a accepté l’offre et s’en va directement à la banque pour un retrait de 3 millions 500 mille francs Cfa qu’elle a remis au prévenu le temps de compléter le reste. En retour, Abdou Aziz Mbodji lui remet les papiers du terrain qu’il va récupérer le lendemain pour la régularisation des papiers. Un accord que la dame a accepté mais sans savoir qu’elle se faisait leurrer. Et depuis ce jour, la dame Aicha Hann n’a plus revu son escroc. Elle décide alors de porter plainte contre lui.
A la barre, le sieur Abdou Aziz Mbodji a nié les faits en prétextant qu’il entretenait une relation amoureuse avec la dame qui était en plus mariée. Selon le prévenu, Aicha Hann ne lui a jamais remis de l’argent et s’ils en ont arrivé là c’est jusque qu’il a rompu avec son amante parce qu’il ne la supportait plus, en plus il avait découvert que Aicha Hann était mariée. Le procureur Cheikh Faye quant à lui, a requis une peine d’an ferme et une amende de 100 mille francs tout en qualifiant Abdou Aziz Mbodji d’un prévenu de mauvaise foi et que les faits sont avérés même s’il conteste l’évidence tout en arguant qu’ils étaient amants. Continuant sa réquisition, le représentant du parquet explique que le mis en cause n’a pas respecté sa parole à la police, affirmant qu’il allait rembourser l’argent. L'avocat de la défense a plaidé la relaxe pure et simple car son client entretenait une relation amoureuse avec sa partie civile.
La robe noire estime que les deux tourtereaux ont rompu car Abdou Aziz Mbodji ignorait que sa maîtresse était mariée et quand il l’a su, il a voulu mettre terme à cette relation c’est pourquoi la partie civile n’a pas supporté raison pour laquelle elle a porté plainte contre son amant.
L’affaire sera vidée le 27 Septembre prochain.
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