La fatwa contre Cheikh Omar Diagne se poursuit à Touba depuis qu’il a semblé déprécier les écrits de Cheikh Ahmadou Bamba. Un collège de 28 petits-fils du Cheikh et descendants de cheikhs a produit un réquisitoire dans lequel ils s’attaquent au directeur des moyens généraux de la Présidence avant d’interpeller les tenants du pouvoir. La lecture du texte est assurée par Serigne Cheikh Fatma Mbacké .
« De l’époque coloniale à nos jours, les familles religieuses et leurs leaders, de manière générale, et la Mouridiya, en particulier, font l’objet de calomnies, de dénigrements et même parfois d’une haine viscérale de la part de certaines autorités, de certains intellectuels laïcistes, de communistes athées, voire de musulmans d’obédience anti-confrériques.
Pourtant, ces familles religieuses dont la Mouridiya ont contribué de manière décisive à la formation d’une nation sénégalaise plurielle mais unie autour de valeurs religieuses et sociétales qui structurent un vivre ensemble exemplaire à bien des égards. Leurs œuvres tout au long de l’histoire ont marqué les hommes, les espaces et les institutions sociales et politiques et expliquent le fait que la très grande majorité des sénégalais se reconnaissent en elles. Le dédain dont le Mouridisme fait particulièrement l’objet se manifeste de façon récurrente et multiforme (articles de presse, propos désobligeants, thèses de doctorat, etc.). Mais jamais depuis l’indépendance, un acteur politique ou public n’a affirmé sa haine et son hostilité envers toute la communauté, à commencer par ses leaders religieux comme l’a fait Cheikh Omar Diagne à visage découvert et si clairement par des vidéos qui ont récemment attiré l’attention lors du Magal 2024, notamment avec sa lettre de rejet d’une demande somme toute banale.
L’empressement avec lequel il a répondu négativement à la lettre sans avoir pris le temps de relecture et de correction nécessaire l’a poussé à commettre des fautes, des coquilles, une confusion sur la fonction du destinataire ce qui est indigne de tout courrier sortant de cette institution qu’est la Présidence de la République.
Cet empressement est un indicateur de l’opinion très négative que se fait Oumar Diagne de la communauté mouride. Le nombre de talibés qui se sont levés pour proposer gratuitement des chambres ou de payer le transport des hôtes du Khalif général pour le Magal montre à suffisance que la demande en question était tout juste un procédé par lequel l’État était invité à faciliter l’accueil des hôtes du Sénégal pour un évènement mondial et unique en Afrique. Une occasion pour notre pays de développer le tourisme religieux qui constitue une niche d’opportunités pas suffisamment exploré. Il est clair et il est heureux que Oumar Diagne ne devrait plus jamais recevoir une quelconque demande émanant de la Mouridiya.
Certainement que toutes les autres familles religieuses du Sénégal en feront de même étant entendu que les diatribes du sieur Oumar Diagne envers les chefs religieux du pays n’ont épargné aucun d’entre eux. Sans être exhaustif, rappelons ici quelques propos du sieur Oumar Diagne. « Il nous faut une dictature sérieuse et citoyenne et patriote. Ceux qui matérialiseront cette dictature devront s’en ficher de tout, ne devront croire ni suivre personne, y compris ceux qu’on appelle chefs religieux. Ils ne devront pas tenir compte d’eux et de leurs avis, absolument en rien. » Dans une autre déclaration filmée, il affirme : « Le cœur d’un musulman n’appartient pas à Serigne Touba…Que je devrais mettre Khadimou Rassol dans mon cœur ! J’ai répondu que non absolument pas. Khadimou Rassol moi je le mettrais pas…il n’est pas dans mon cœur. En plus Khadimou Rassol est loin d’être une créature parmi les meilleures ». Autre exemple d’une de ses déclarations : « Moi je travaille sur les flux financiers illicites. On a beaucoup travaillé sur des papiers sur ça au Sénégal. Le GIABA qui est ici travaille sur ça et fait des évaluations. Au Sénégal le blanchiment d’argent est essentiellement fait par des chefs religieux. La période où on note le plus de blanchiment d’argent est celle comprise entre Muharram (Tamkharit) et après Gamou. Les événements religieux dans cette période, Magal, Gamou…sont des occasions de blanchiment. Les nombreux Hadiyya sont des pourcentages perçus par des chefs religieux sur l’argent sale de la drogue…des chefs religieux sont dans le marché des véhicules volés et des armes volées.
Le trafic de faux médicaments est aussi géré par des chefs religieux… ». Ces trois exemples sont loin d’être les seuls propos outrageants de Cheikh Oumar Diagne. Sur les accusations de blanchiment d’argent sale de Oumar Diagne, les mourides sont interpelés car il a parlé de Hadiyya lors du Magal de Touba. Nous mourides souhaitons que Oumar Diagne apporte des preuves sur ce qu’il avance car nous voulons certainement connaitre ceux qui en notre sein feraient des actes tout à fait aux antipodes des enseignements de notre guide Cheikh Ahmadou Bamba. Tous les tidjianes (Tivaoune, Niassene, …) sont aussi interpelés car il a parlé également des Gamou comme période de blanchiement.
Le Gouvernement du Sénégal, par ses institutions comme la CENTIF est également indexé car ils ne feraient clairement pas leur travail. Les banques dont il dit qu’elles reçoivent des transferts de milliards dans les comptes des chefs religieux sans justifications, de même que les pays de provenance de cet argent sale qui fermeraient les yeux sont tous dans le même lot des organisations interpelés par les propos de Oumar Diagne. Le GIABA qu’il a cité doit également des explications au public. Comment un personnage aussi clivant, aussi extrémiste dans sa haine ouverte contre les chefs religieux sans distinction et particulièrement contre les mourides et leur guide, a-t-il pu être nommé à un quelconque poste dans l’administration du Sénégal ? De surcroit, à une position aussi stratégique que celle de ministre-conseiller et directeur des moyens généraux à la Présidence de la République ? Nous n’osons pas croire qu’il a été promu par les nouvelles hautes autorités du Sénégal en toute connaissance de son parcours, de son profil, de ses positions et convictions. Quelqu’un qui prône si ouvertement l’exclusion et le manque de respect envers toute une communauté du pays, cette communauté fusse-t-elle ethnique (sereer, diola, poular…) ou religieuse (Tidiane, mouride, layene ou chrétienne…), ne devrait occuper aucune position dans l’État du Sénégal, car, de fait, il a déjà annoncé son hostilité envers de larges groupes de citoyens de la société sénégalaise qu’il est pourtant sensé servir et veiller aux intérêts de manière équitable. La posture d’un tel personnage est totalement disqualifiante pour assumer une quelconque responsabilité publique dans notre pays. Étant entendu que l’État et ses représentants se doivent d’être au service de tous les citoyens sans discrimination d’aucune sorte ni manque de respect.
C’est une position de principe que tous ceux qui aiment le Sénégal, sa stabilité, sa cohésion et la préservation du notre vivre-ensemble doivent avoir. La thèse la plus vraisemblable est que Oumar Diagne a aussi trompé les plus hautes autorités qui l’ont nommé. L’homme est un beau-parleur, pompeux et extravagant. Ou bien ces autorités ignoraient ses nombreuses déclarations diffamatoires, outrageantes et extrémistes avant sa nomination. L’homme est même un danger pour la diplomatie sénégalaise, ses propos extrêmement irrévérencieux envers le Roi du Maroc, un pays considéré comme l’un des meilleurs amis du Sénégal, constituant un risque de tension dans les relations entre nos deux pays si son cas n’est pas bien géré. Le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, son Premier Ministre ainsi tout le gouvernement bénéficient d’un préjugé très favorable auprès du Khalif général, Cheikh Mountakha Bachir Mbacke, auprès de la grande majorité des leaders de la ville sainte mais aussi de la :part des populations qui placent beaucoup d’espoir en eux.
Ce préjugé favorable est sans doute dû à la posture respectueuse des nouvelles autorités vis-à-vis du Khalif, au changement de paradigme dans les relations entre l’État et les familles religieuses, plus tournées vers l’intérêt général des populations et du pays que vers le maintien de prébendes accordées à une petite minorité d’affairistes. Les visites répétées du Président, du Premier Ministre et de beaucoup de Ministres à Touba pour envisager des solutions aux problèmes de l’eau potable, de l’assainissement et lancer un programme de reboisement, et de coopération pour booster l’agriculture … sont une illustration de cette nouvelle dynamique qui ambitionne d’être mise en cohérence dans un Plan Spécial d’aménagement urbain. Il serait malheureux que cet élan d’un nouveau partenariat gagnant-gagnant entre l’État et les familles religieuses allant dans le sens de l’intérêt général et du développement endogène de notre pays, soit saboté et sabordé par un personnage obscur qui trompe tout son monde et dont l’agenda caché n’est peut-être pas le même que celui des nouveaux dirigeants ».
Ont signé les chefs religieux suivants :
1. Serigne Mamoune Mbacke Falilou
2. Serigne Saliou Mbacke Mourtada
3. Serigne Hamza Mbacke Abdou Ahad 4. Serigne Abdou Samad Mbacke Sohaibou
5. Serigne Aliou Mbacke Falilou
6. Serigne Cheikh Mbacke Lagane Abdou Ahad
7. Serigne Cherif Mbacke Falilou
8. Dahiratou Moukhaddamatoul Khidma de la Grande Mosquée de Touba
9. ALWAFA Darou Mouhty
10. Académie Minane des sciences islamiques
11. AEM (Association des écrivains mourides)
12. Serigne Mame Thierno Mbacke (fils aîné de S. Mountakha Bachir)
13. Serigne Cheikh Mbacke Abdou Aziz 14. Dr khadim Lo imam à la grande mosquée Massalikul Jinaan
15. Serigne Ahmadou Mbacke Moustapha Falilou
16. Serigne Cheikh Mbacke Moustapha Falilou (Chef d’entreprise)
17. Serigne Bassirou Mbacke ibn S. Mountakha Bachir
18. Serigne Ousmane Mbacke ibn S. Cheikh Khady Darou Mouhty
19. Serigne Moustapha Fall ibn Serigne Modou Aminata Fall
20. Sokhna Mame Bousso Mbacke bint El Hadji Bara Falilou
21. Serigne Moustapha Diakhate Khadimul Khadim
22. Serigne Saliou Mbacke Moustapha Bachir
23. Serigne Elhadji Ka, USA
24. Sokhna Aminata Lo, Italie
25. Serigne Ababacar Mboup, And Samm Jiko yi
26. Serigne Mame Cheikh Ndiaye, ibn Serigne Ndiaye Guede
27. Serigne Modou Khabane Mbacke Kanzu Rahma Somone
28. Serigne Cheikh Fatma Mbacke, ingénieur, éditeur et imam
« De l’époque coloniale à nos jours, les familles religieuses et leurs leaders, de manière générale, et la Mouridiya, en particulier, font l’objet de calomnies, de dénigrements et même parfois d’une haine viscérale de la part de certaines autorités, de certains intellectuels laïcistes, de communistes athées, voire de musulmans d’obédience anti-confrériques.
Pourtant, ces familles religieuses dont la Mouridiya ont contribué de manière décisive à la formation d’une nation sénégalaise plurielle mais unie autour de valeurs religieuses et sociétales qui structurent un vivre ensemble exemplaire à bien des égards. Leurs œuvres tout au long de l’histoire ont marqué les hommes, les espaces et les institutions sociales et politiques et expliquent le fait que la très grande majorité des sénégalais se reconnaissent en elles. Le dédain dont le Mouridisme fait particulièrement l’objet se manifeste de façon récurrente et multiforme (articles de presse, propos désobligeants, thèses de doctorat, etc.). Mais jamais depuis l’indépendance, un acteur politique ou public n’a affirmé sa haine et son hostilité envers toute la communauté, à commencer par ses leaders religieux comme l’a fait Cheikh Omar Diagne à visage découvert et si clairement par des vidéos qui ont récemment attiré l’attention lors du Magal 2024, notamment avec sa lettre de rejet d’une demande somme toute banale.
L’empressement avec lequel il a répondu négativement à la lettre sans avoir pris le temps de relecture et de correction nécessaire l’a poussé à commettre des fautes, des coquilles, une confusion sur la fonction du destinataire ce qui est indigne de tout courrier sortant de cette institution qu’est la Présidence de la République.
Cet empressement est un indicateur de l’opinion très négative que se fait Oumar Diagne de la communauté mouride. Le nombre de talibés qui se sont levés pour proposer gratuitement des chambres ou de payer le transport des hôtes du Khalif général pour le Magal montre à suffisance que la demande en question était tout juste un procédé par lequel l’État était invité à faciliter l’accueil des hôtes du Sénégal pour un évènement mondial et unique en Afrique. Une occasion pour notre pays de développer le tourisme religieux qui constitue une niche d’opportunités pas suffisamment exploré. Il est clair et il est heureux que Oumar Diagne ne devrait plus jamais recevoir une quelconque demande émanant de la Mouridiya.
Certainement que toutes les autres familles religieuses du Sénégal en feront de même étant entendu que les diatribes du sieur Oumar Diagne envers les chefs religieux du pays n’ont épargné aucun d’entre eux. Sans être exhaustif, rappelons ici quelques propos du sieur Oumar Diagne. « Il nous faut une dictature sérieuse et citoyenne et patriote. Ceux qui matérialiseront cette dictature devront s’en ficher de tout, ne devront croire ni suivre personne, y compris ceux qu’on appelle chefs religieux. Ils ne devront pas tenir compte d’eux et de leurs avis, absolument en rien. » Dans une autre déclaration filmée, il affirme : « Le cœur d’un musulman n’appartient pas à Serigne Touba…Que je devrais mettre Khadimou Rassol dans mon cœur ! J’ai répondu que non absolument pas. Khadimou Rassol moi je le mettrais pas…il n’est pas dans mon cœur. En plus Khadimou Rassol est loin d’être une créature parmi les meilleures ». Autre exemple d’une de ses déclarations : « Moi je travaille sur les flux financiers illicites. On a beaucoup travaillé sur des papiers sur ça au Sénégal. Le GIABA qui est ici travaille sur ça et fait des évaluations. Au Sénégal le blanchiment d’argent est essentiellement fait par des chefs religieux. La période où on note le plus de blanchiment d’argent est celle comprise entre Muharram (Tamkharit) et après Gamou. Les événements religieux dans cette période, Magal, Gamou…sont des occasions de blanchiment. Les nombreux Hadiyya sont des pourcentages perçus par des chefs religieux sur l’argent sale de la drogue…des chefs religieux sont dans le marché des véhicules volés et des armes volées.
Le trafic de faux médicaments est aussi géré par des chefs religieux… ». Ces trois exemples sont loin d’être les seuls propos outrageants de Cheikh Oumar Diagne. Sur les accusations de blanchiment d’argent sale de Oumar Diagne, les mourides sont interpelés car il a parlé de Hadiyya lors du Magal de Touba. Nous mourides souhaitons que Oumar Diagne apporte des preuves sur ce qu’il avance car nous voulons certainement connaitre ceux qui en notre sein feraient des actes tout à fait aux antipodes des enseignements de notre guide Cheikh Ahmadou Bamba. Tous les tidjianes (Tivaoune, Niassene, …) sont aussi interpelés car il a parlé également des Gamou comme période de blanchiement.
Le Gouvernement du Sénégal, par ses institutions comme la CENTIF est également indexé car ils ne feraient clairement pas leur travail. Les banques dont il dit qu’elles reçoivent des transferts de milliards dans les comptes des chefs religieux sans justifications, de même que les pays de provenance de cet argent sale qui fermeraient les yeux sont tous dans le même lot des organisations interpelés par les propos de Oumar Diagne. Le GIABA qu’il a cité doit également des explications au public. Comment un personnage aussi clivant, aussi extrémiste dans sa haine ouverte contre les chefs religieux sans distinction et particulièrement contre les mourides et leur guide, a-t-il pu être nommé à un quelconque poste dans l’administration du Sénégal ? De surcroit, à une position aussi stratégique que celle de ministre-conseiller et directeur des moyens généraux à la Présidence de la République ? Nous n’osons pas croire qu’il a été promu par les nouvelles hautes autorités du Sénégal en toute connaissance de son parcours, de son profil, de ses positions et convictions. Quelqu’un qui prône si ouvertement l’exclusion et le manque de respect envers toute une communauté du pays, cette communauté fusse-t-elle ethnique (sereer, diola, poular…) ou religieuse (Tidiane, mouride, layene ou chrétienne…), ne devrait occuper aucune position dans l’État du Sénégal, car, de fait, il a déjà annoncé son hostilité envers de larges groupes de citoyens de la société sénégalaise qu’il est pourtant sensé servir et veiller aux intérêts de manière équitable. La posture d’un tel personnage est totalement disqualifiante pour assumer une quelconque responsabilité publique dans notre pays. Étant entendu que l’État et ses représentants se doivent d’être au service de tous les citoyens sans discrimination d’aucune sorte ni manque de respect.
C’est une position de principe que tous ceux qui aiment le Sénégal, sa stabilité, sa cohésion et la préservation du notre vivre-ensemble doivent avoir. La thèse la plus vraisemblable est que Oumar Diagne a aussi trompé les plus hautes autorités qui l’ont nommé. L’homme est un beau-parleur, pompeux et extravagant. Ou bien ces autorités ignoraient ses nombreuses déclarations diffamatoires, outrageantes et extrémistes avant sa nomination. L’homme est même un danger pour la diplomatie sénégalaise, ses propos extrêmement irrévérencieux envers le Roi du Maroc, un pays considéré comme l’un des meilleurs amis du Sénégal, constituant un risque de tension dans les relations entre nos deux pays si son cas n’est pas bien géré. Le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, son Premier Ministre ainsi tout le gouvernement bénéficient d’un préjugé très favorable auprès du Khalif général, Cheikh Mountakha Bachir Mbacke, auprès de la grande majorité des leaders de la ville sainte mais aussi de la :part des populations qui placent beaucoup d’espoir en eux.
Ce préjugé favorable est sans doute dû à la posture respectueuse des nouvelles autorités vis-à-vis du Khalif, au changement de paradigme dans les relations entre l’État et les familles religieuses, plus tournées vers l’intérêt général des populations et du pays que vers le maintien de prébendes accordées à une petite minorité d’affairistes. Les visites répétées du Président, du Premier Ministre et de beaucoup de Ministres à Touba pour envisager des solutions aux problèmes de l’eau potable, de l’assainissement et lancer un programme de reboisement, et de coopération pour booster l’agriculture … sont une illustration de cette nouvelle dynamique qui ambitionne d’être mise en cohérence dans un Plan Spécial d’aménagement urbain. Il serait malheureux que cet élan d’un nouveau partenariat gagnant-gagnant entre l’État et les familles religieuses allant dans le sens de l’intérêt général et du développement endogène de notre pays, soit saboté et sabordé par un personnage obscur qui trompe tout son monde et dont l’agenda caché n’est peut-être pas le même que celui des nouveaux dirigeants ».
Ont signé les chefs religieux suivants :
1. Serigne Mamoune Mbacke Falilou
2. Serigne Saliou Mbacke Mourtada
3. Serigne Hamza Mbacke Abdou Ahad 4. Serigne Abdou Samad Mbacke Sohaibou
5. Serigne Aliou Mbacke Falilou
6. Serigne Cheikh Mbacke Lagane Abdou Ahad
7. Serigne Cherif Mbacke Falilou
8. Dahiratou Moukhaddamatoul Khidma de la Grande Mosquée de Touba
9. ALWAFA Darou Mouhty
10. Académie Minane des sciences islamiques
11. AEM (Association des écrivains mourides)
12. Serigne Mame Thierno Mbacke (fils aîné de S. Mountakha Bachir)
13. Serigne Cheikh Mbacke Abdou Aziz 14. Dr khadim Lo imam à la grande mosquée Massalikul Jinaan
15. Serigne Ahmadou Mbacke Moustapha Falilou
16. Serigne Cheikh Mbacke Moustapha Falilou (Chef d’entreprise)
17. Serigne Bassirou Mbacke ibn S. Mountakha Bachir
18. Serigne Ousmane Mbacke ibn S. Cheikh Khady Darou Mouhty
19. Serigne Moustapha Fall ibn Serigne Modou Aminata Fall
20. Sokhna Mame Bousso Mbacke bint El Hadji Bara Falilou
21. Serigne Moustapha Diakhate Khadimul Khadim
22. Serigne Saliou Mbacke Moustapha Bachir
23. Serigne Elhadji Ka, USA
24. Sokhna Aminata Lo, Italie
25. Serigne Ababacar Mboup, And Samm Jiko yi
26. Serigne Mame Cheikh Ndiaye, ibn Serigne Ndiaye Guede
27. Serigne Modou Khabane Mbacke Kanzu Rahma Somone
28. Serigne Cheikh Fatma Mbacke, ingénieur, éditeur et imam
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