Par la voix de leur porte-parole, Ndiogou Sokhna, par ailleurs, président de l’association des retraités de la SOTIBA SIMPAFRIQUE et membre de l’association des ex-travailleurs de la même structure, le personnel retraité hausse le ton. Lors d’un point de presse ce samedi, il a été l’occasion, de lancer un appel à l’endroit des autorités pour la prise en compte du passif social englobant plus de 518 millions de francs CFA. Une situation qui perdure depuis 15 ans.
Ce passif social est composé d’arriérés de salaires, de droits et indemnités est dû à ces citoyens depuis 2009 malgré trois protocoles signés par l’état. « Des correspondances ont été émises depuis le régime d’Abdoulaye Wade, en passant par Macky Sall jusqu’à Bassirou Diomaye Faye. Il est temps de dire stop et d’inviter l’autorité à la prise en compte des préoccupations de ces ex-travailleurs de la SOTIBA. Nous sommes des victimes tant sur le foncier que dans le cadre industriel. En 2007, on se rappelle qu’il y a eu des accords avec l’administrateur de la SOTIBA qui avait proposé à ce qu’on vende une partie du patrimoine foncier afin de régler les arriérés de salaires des travailleurs, mais aussi nous précisons que Domitexka à qui ces retraités ont été transférés, a été relancée à plus de 13 milliards. Les engagements n’ont pas été respectés. Et nous avons été bernés à tous les niveaux. L’heure est arrivé avec ce régime du Jub-Jubël-Jubënti, de répondre aux sollicitations des retraités de la SOTIBA », a déclaré le porte-parole du jour Ndiogou Sokhna.
Ce passif social est composé d’arriérés de salaires, de droits et indemnités est dû à ces citoyens depuis 2009 malgré trois protocoles signés par l’état. « Des correspondances ont été émises depuis le régime d’Abdoulaye Wade, en passant par Macky Sall jusqu’à Bassirou Diomaye Faye. Il est temps de dire stop et d’inviter l’autorité à la prise en compte des préoccupations de ces ex-travailleurs de la SOTIBA. Nous sommes des victimes tant sur le foncier que dans le cadre industriel. En 2007, on se rappelle qu’il y a eu des accords avec l’administrateur de la SOTIBA qui avait proposé à ce qu’on vende une partie du patrimoine foncier afin de régler les arriérés de salaires des travailleurs, mais aussi nous précisons que Domitexka à qui ces retraités ont été transférés, a été relancée à plus de 13 milliards. Les engagements n’ont pas été respectés. Et nous avons été bernés à tous les niveaux. L’heure est arrivé avec ce régime du Jub-Jubël-Jubënti, de répondre aux sollicitations des retraités de la SOTIBA », a déclaré le porte-parole du jour Ndiogou Sokhna.
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