«Le nombre de postes supprimés sera de 300 pilotes, 700 agents de bord et 1900 au sol», a détaillé l'un d'entre eux.
Une autre source au sein du conseil d'administration du groupe Air France, réuni vendredi, a indiqué que le chiffre de 2900 était présenté comme une estimation du sureffectif en 2017.
Sollicitée, la direction a refusé de commenter ces chiffres. Des détails seront donnés en comité central d'entreprise lundi.
Le conseil d'administration d'Air France-KLM a mandaté jeudi la direction d'Air France pour mettre en oeuvre un «plan alternatif» au projet de développement «Perform 2020» initialement envisagé pour rattraper l'écart avec la concurrence, principalement sur le long-courrier. Il prévoit une réduction de l'activité et des effectifs.
Des départs contraints sont envisagés pour la première fois dans l'histoire de l'ex-compagnie nationale, dont l'État détient toujours 17,6 %.
Pour les navigants, la direction privilégie des plans de départ volontaire. «Si elle n'arrive pas à trouver assez de volontaires, la direction procèdera à des licenciements», selon un représentant syndical.
Pour les personnels au sol, il n'y aurait «que des plans de départs volontaires», selon la source syndicale, qui redoute cependant «quelques licenciements» faute de volontaires en nombre suffisant.
Le PDG d'Air France-KLM Alexandre de Juniac a assuré vendredi vouloir «privilégier les départs volontaires» et recourir de façon «exceptionnelle» et «en dernier recours» à des licenciements.
Une autre source au sein du conseil d'administration du groupe Air France, réuni vendredi, a indiqué que le chiffre de 2900 était présenté comme une estimation du sureffectif en 2017.
Sollicitée, la direction a refusé de commenter ces chiffres. Des détails seront donnés en comité central d'entreprise lundi.
Le conseil d'administration d'Air France-KLM a mandaté jeudi la direction d'Air France pour mettre en oeuvre un «plan alternatif» au projet de développement «Perform 2020» initialement envisagé pour rattraper l'écart avec la concurrence, principalement sur le long-courrier. Il prévoit une réduction de l'activité et des effectifs.
Des départs contraints sont envisagés pour la première fois dans l'histoire de l'ex-compagnie nationale, dont l'État détient toujours 17,6 %.
Pour les navigants, la direction privilégie des plans de départ volontaire. «Si elle n'arrive pas à trouver assez de volontaires, la direction procèdera à des licenciements», selon un représentant syndical.
Pour les personnels au sol, il n'y aurait «que des plans de départs volontaires», selon la source syndicale, qui redoute cependant «quelques licenciements» faute de volontaires en nombre suffisant.
Le PDG d'Air France-KLM Alexandre de Juniac a assuré vendredi vouloir «privilégier les départs volontaires» et recourir de façon «exceptionnelle» et «en dernier recours» à des licenciements.
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