C’est avec une grande fierté que nous, peuple meurtri et désemparé, apportions la preuve renouvelée de notre maturité et de notre lucidité ce 26 février 2012 en agissant calmement avec la claire conscience qu’aucun conseil constitutionnel édulcoré ne peut se substitué à notre volonté souveraine. Les âmes sensibles à l’esprit flageolant et à la mémoire approximative doivent s’abstenir de vouloir nous faire croire à une quelconque réussite démocratique du président sortant. Comme tel, titiller la stabilité sociale en convoquant l’ethnie, la confrérie où la région ne traduit autre chose qu’une politique de la terre brulée d’un mauvais perdant. Ajouté à ce qu’il nous a fait vivre avec ces émeutes et leur cortège de morts, on aura vécu ce qu’aucun de nos anciens présidents n’a osé tenter ne serait-ce que par la pensée. Accepter une défaite et féliciter son vainqueur n’aura qu’une piètre signification car ce n’est pas lui qui devrait le faire.
Nous venons de vivre douze années rythmées par une désillusion de plus en plus croissante, une république de plus en plus désorganisé et désacralisée, un sens de responsabilité de moins en moins élevé, une inversion de l’ordre des valeurs de plus en plus accentuée, un renchérissement de plus en plus accru du cou de la vie et une perturbation de plus en plus néfaste du système éducatif.
Nous devons agir d’avantage et ainsi une nouvelle présidence sera née (Nourrir, Eduquer-former et Employer) pour soigner.
Lorsque la science pour une fois s’occupera de la gestion de la cité, l’espoir doit renaître car l’homme de sciences a le sens de la mesure, de l’ordre, de la précision et de l’équilibre.
Il ne sera donc certainement pas le messie mais l’instigateur du renouveau tant attendu en initiant l’ère du développement des sciences et techniques moteurs d’émergence.
Il n’y aura aucune place, sans aucun doute, à aucune incertitude ni aucun tâtonnement encore moins à aucune Galéjade Caractérisée (Gc) qui amènera à dire comme le Physicien français Paul Langevin : « le concret c’est de l’abstrait rendu familier par l’usage ».
Et donc il sera question d’agir
Agir parce que sachant que l’on passe de la compréhension à la prévision ensuite à l’action.
Agir car l’heure est à l’Action et non au temps des concepts creux et enchanteurs.
Agir pour Apporter une Alternative à l’Alternance en l’Alternant.
Agir pour libérer la créativité et rectifier la trajectoire stochastique sur laquelle notre pays est installé depuis quelques années.
Agir pour faire du Sénégal un pays émergent en ramenant le goût du travail bien fait et du don de soi, source de développement.
Agir pour mettre en place un état de droit, des institutions fortes et respectées parce qu’équilibrées équitables et indépendantes.
Agir pour montrer qu’entre « l’originale » et la « photocopie » il n’y a pas photo ni copie.
Agir en rompant définitivement avec les gesticulations
Agir en disant non à la gabegie
Agir en stoppant le galvaudage des biens communs
Agir en mettant un terme au gangstérisme d’état
Agir en galvanisant les acteurs socio-économiques
Agir pour que le gasoil ne soit plus le casse-tête des transporteurs et autres utilisateurs
Agir en initiant la germination effective de l’expression des libertés et de l’autosuffisance alimentaire
Agir en catalysant le galop vers la croissance accélérée.
Agir pour anéantir l’incertitude, l’idolâtrie, l’impécuniosité, l’impéritie, l’impudence et l’inanition.
Agir c’est aussi impulser la saine émulation intellectuelle dans les rangs de la jeunesse en l’inspirant.
Agir pour restaurer l’espoir évanescent et la paix sociale sur toute l’étendue du territoire nationale.
Agir pour responsabiliser chaque citoyen (NTS)
Agir pour ramener la fierté du sénégalais
Agir pour rétablir l’état de droit
Agir pour redorer le blason de nos institutions bafouées
Agir pour remettre à l’endroit les valeurs cardinales
Agir pour revitaliser le tissu économique et social
Agir pour rompre avec la randomisation de la gestion de la cité.
Plus ridicule que Tandian et Obasanjo, c’est un vieillard qui fut élut démocratiquement, qui a épuisé ses deux mandats que lui autorise la constitution dont-il est l’instigateur et qui se cramponne au pouvoir. Après avoir filouté avec appétence et failli pour beaucoup à sa mission, froissé de façon horripilante la loi organique et finassé avec l’énergie du désespoir au point de fâcher ses concitoyens qui finissent par le faucher, il filera en faisant le mur car l’histoire lui aura définitivement fermé la grande porte de sortie et le peuple souverain dans sa grandeur lui aura bloqué (à deux) petite porte et fenêtres. Ses souteneurs, cyniques naufrageurs de notre république n’auront que leurs yeux pour pleurer, les pensées plongés dans les tumultes de leur culpabilité.
Abdoulaye faut pas forcer à mal agit et Agir maintenant, c’est Action pour une Gouvernance Innovante et Républicaine.
Que Dieu veille sur le Sénégal.
Cheikh Bécaye Youm,
Professeur de Sciences Physiques,
LCND/Fatick
Nous venons de vivre douze années rythmées par une désillusion de plus en plus croissante, une république de plus en plus désorganisé et désacralisée, un sens de responsabilité de moins en moins élevé, une inversion de l’ordre des valeurs de plus en plus accentuée, un renchérissement de plus en plus accru du cou de la vie et une perturbation de plus en plus néfaste du système éducatif.
Nous devons agir d’avantage et ainsi une nouvelle présidence sera née (Nourrir, Eduquer-former et Employer) pour soigner.
Lorsque la science pour une fois s’occupera de la gestion de la cité, l’espoir doit renaître car l’homme de sciences a le sens de la mesure, de l’ordre, de la précision et de l’équilibre.
Il ne sera donc certainement pas le messie mais l’instigateur du renouveau tant attendu en initiant l’ère du développement des sciences et techniques moteurs d’émergence.
Il n’y aura aucune place, sans aucun doute, à aucune incertitude ni aucun tâtonnement encore moins à aucune Galéjade Caractérisée (Gc) qui amènera à dire comme le Physicien français Paul Langevin : « le concret c’est de l’abstrait rendu familier par l’usage ».
Et donc il sera question d’agir
Agir parce que sachant que l’on passe de la compréhension à la prévision ensuite à l’action.
Agir car l’heure est à l’Action et non au temps des concepts creux et enchanteurs.
Agir pour Apporter une Alternative à l’Alternance en l’Alternant.
Agir pour libérer la créativité et rectifier la trajectoire stochastique sur laquelle notre pays est installé depuis quelques années.
Agir pour faire du Sénégal un pays émergent en ramenant le goût du travail bien fait et du don de soi, source de développement.
Agir pour mettre en place un état de droit, des institutions fortes et respectées parce qu’équilibrées équitables et indépendantes.
Agir pour montrer qu’entre « l’originale » et la « photocopie » il n’y a pas photo ni copie.
Agir en rompant définitivement avec les gesticulations
Agir en disant non à la gabegie
Agir en stoppant le galvaudage des biens communs
Agir en mettant un terme au gangstérisme d’état
Agir en galvanisant les acteurs socio-économiques
Agir pour que le gasoil ne soit plus le casse-tête des transporteurs et autres utilisateurs
Agir en initiant la germination effective de l’expression des libertés et de l’autosuffisance alimentaire
Agir en catalysant le galop vers la croissance accélérée.
Agir pour anéantir l’incertitude, l’idolâtrie, l’impécuniosité, l’impéritie, l’impudence et l’inanition.
Agir c’est aussi impulser la saine émulation intellectuelle dans les rangs de la jeunesse en l’inspirant.
Agir pour restaurer l’espoir évanescent et la paix sociale sur toute l’étendue du territoire nationale.
Agir pour responsabiliser chaque citoyen (NTS)
Agir pour ramener la fierté du sénégalais
Agir pour rétablir l’état de droit
Agir pour redorer le blason de nos institutions bafouées
Agir pour remettre à l’endroit les valeurs cardinales
Agir pour revitaliser le tissu économique et social
Agir pour rompre avec la randomisation de la gestion de la cité.
Plus ridicule que Tandian et Obasanjo, c’est un vieillard qui fut élut démocratiquement, qui a épuisé ses deux mandats que lui autorise la constitution dont-il est l’instigateur et qui se cramponne au pouvoir. Après avoir filouté avec appétence et failli pour beaucoup à sa mission, froissé de façon horripilante la loi organique et finassé avec l’énergie du désespoir au point de fâcher ses concitoyens qui finissent par le faucher, il filera en faisant le mur car l’histoire lui aura définitivement fermé la grande porte de sortie et le peuple souverain dans sa grandeur lui aura bloqué (à deux) petite porte et fenêtres. Ses souteneurs, cyniques naufrageurs de notre république n’auront que leurs yeux pour pleurer, les pensées plongés dans les tumultes de leur culpabilité.
Abdoulaye faut pas forcer à mal agit et Agir maintenant, c’est Action pour une Gouvernance Innovante et Républicaine.
Que Dieu veille sur le Sénégal.
Cheikh Bécaye Youm,
Professeur de Sciences Physiques,
LCND/Fatick
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