Le journaliste René Capin Bassène, principal accusé du carnage du 6 janvier 2018, à l’image des autres accusés, a formellement démenti les accusations qui pèsent sur lui.
Devant la barre, l’ancien chargé de mission de l’ANRAC se lave à grande eau. « Je rejette toutes les accusations. » En plus, concernant les mails lus à la barre, il demande à la cour une expertise. « Je demande une expertise car avec l’informatique tout est possible, ils peuvent me créer des messages pour m’enfoncer... »
Cité par des témoins, le journaliste accuse un problème familial avec ces derniers pour justifier son incarcération. "Maurice et Jean Christophe sont mes oncles, ils m’ont cité parce que nous avons un problème familial qui date de longtemps. C’est par vengeance qu’ils ont voulu me mettre dans cette affaire, c’est un règlement de comptes, mais je ne suis nullement concerné par cette tuerie. »
Il ajoute : « ce jour-là, je ne suis pas sorti de chez moi jusqu’à 16 heures. C’est à cette heure que je me suis déplacé pour aller suivre un match de football au terrain, un match que jouaient des jeunes de mon quartier (Kandialang). C’est au terrain que j’ai appris la nouvelle de la tuerie et j’ai capté la radio pour avoir la confirmation », se défendra-t-il.
Devant la barre, l’ancien chargé de mission de l’ANRAC se lave à grande eau. « Je rejette toutes les accusations. » En plus, concernant les mails lus à la barre, il demande à la cour une expertise. « Je demande une expertise car avec l’informatique tout est possible, ils peuvent me créer des messages pour m’enfoncer... »
Cité par des témoins, le journaliste accuse un problème familial avec ces derniers pour justifier son incarcération. "Maurice et Jean Christophe sont mes oncles, ils m’ont cité parce que nous avons un problème familial qui date de longtemps. C’est par vengeance qu’ils ont voulu me mettre dans cette affaire, c’est un règlement de comptes, mais je ne suis nullement concerné par cette tuerie. »
Il ajoute : « ce jour-là, je ne suis pas sorti de chez moi jusqu’à 16 heures. C’est à cette heure que je me suis déplacé pour aller suivre un match de football au terrain, un match que jouaient des jeunes de mon quartier (Kandialang). C’est au terrain que j’ai appris la nouvelle de la tuerie et j’ai capté la radio pour avoir la confirmation », se défendra-t-il.
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