J’ai noté avec beaucoup d’intérêts la réaction de certains dirigeants et sympathisants de l’APR depuis que Mr Idrissa Seck a évoqué les 7 Milliards de Taiwan qu’aurait distribués l’ancien Premier Ministre Macky Sall.
Les réactions paraissent suspectes, démesurées et triviales en ce qu’elles n’éclairent en rien la lanterne des Sénégalais. Cela ne surprend guère quand on examine de plus près le cursus politique de Macky Sall et le profil bas qu’il a adopté tout le temps qu’il a été Premier Ministre et Président de l’Assemblée Nationale Sénégalaise. Ce comportement dit long sur sa personnalité et sur celui de ses thuriféraires. Un mythe ne se construit pas sur l’espoir d’une amnésie collective des sénégalais. Il n’y aura pas de free passe pour accéder à la Station Présidentielle ni pour Macky Sall, encore moins pour les adeptes de la dévolution monarchique du pouvoir. Les faits étant sacrés, aucun candidat ne sera épargné d’une inquisition. Toutes questions relatives à la gestion de deniers de l’état et à l’exercice du pouvoir seront posées pour asseoir un débat sérieux qui permettra à nos compatriotes de faire correctement leur choix au mois de Février prochain.
En devenant Premier Ministre lors du complot contre Idrissa Seck, Macky Sall s’était très rapidement investi de la mission du valet du roi. Il cautionnait et exécutait avec conviction, fierté et arrogance parfois toutes les décisions même les plus controversées d’Abdoulaye Wade. Rappelez-vous de la prolongation du mandat des députés sous des arguments légers et fallacieux des inondations avec le plan jaxaay, de son arrogance dans sa lettre à Mamadou Dia, son forcing à vouloir voter sans pièce d’identité et son comportement belliqueux à l’égard de l’opposition patriotique etc. La liste pourrait être longue. Il cachait son jeu dans un opportunisme révoltant. L’invitation faite à Karim d’apparaître devant la commission financière de l’Assemblée Nationale était plus une façon de lui donner une plateforme lui permettant de séduire et non pas de jeter une lumière sur sa gestion des fonds de l’ANOCI ; parce que comme on le sait, il fut aussi un défenseur de la Génération du Concret. Ne vient il pas d’avouer tout récemment qu’il consulterait au préalable le Président si c’était une décision à reprendre. En quels principes démocratiques et valeurs Macky Sall croit-il vraiment? Alors n’en déplaisent à ses partisans le bilan de Macky sera débattu.
En adoptant l’attitude de Diouf dans sa docilité à l’endroit de Senghor quant il fut Premier Ministre, Macky espérait pouvoir satisfaire le roi et se voir ouvrir l’opportunité de lui succéder. Chers amis de l’APR et de l’APL, le Sénégal a beaucoup changé. Les Sénégalais d’aujourd’hui sont en avance sur leurs hommes politiques. Ils exigent de la transparence. Ils veulent les tenir responsables de leurs décisions et de leurs actes tant dans le passé que pour le futur. Il ne s’agira pas de s’installer dans un mutisme béat, ou de s’abriter derrière des seconds couteaux à travers des invectives ou attaques personnelles, pour se voir confier la destinée de la nation. Nos compatriotes veulent des réponses précises à toutes les questions concernant la gestion de l’état du Sénégal, pour qu’à l’avenir rien ne soit plus comme avant. C’est à ce devoir d’éclairage que nous nous attelons, au niveau du Rewmi, Parti dont Macky défendait le refus d’un récépissé. Tout récemment, les grands axes du programme de notre candidat ont été publiés et nous attendons le votre. Les sénégalais méritent une meilleure qualité de vie et ont soif de leader capable de délivrer, à la mesure de leur attente, en termes de justice sociale, de transparence et de bonne gouvernance et d’apporter les réponses idoines aux problèmes de l’énergie, de l’éducation, de la santé et de l’agriculture.
La station présidentielle est une position de leadership. C’est la plus haute instance de prise de décisions qui peuvent avoir des conséquences énormes dans la vie d’une nation. C’est pourquoi, elle doit être confiée à quelqu’un suffisamment responsable, qui sait diriger et inspirer son peuple. Une personne intelligente, honnête, visionnaire, qui croit en des valeurs nobles et qui a le courage de ses idées. Un leader se juge par son sens élevé de ses responsabilités ; de sa capacité à comprendre et à pouvoir s’adapter à son environnement et à pouvoir anticiper sur le cours des choses, quel que soit leur complexité. Il doit pouvoir sortir des sentiers battus et innover. Il doit avoir de l’audace, de la rigueur et de la méthode. Le poste de Président de la République ne doit pas être l’affaire de couronnement d’un long parcours professionnel ou une réponse à l’appel d’un groupe de personnes qui vous sollicite. C’est plus sérieux que cela. Un Président doit avoir l’amour de servir son pays à ce haut niveau, prêt pour le sacrifice et porteur d’un projet de société, qui pourrait sans nul doute ouvrir de nouvelles perspectives à ses millions de compatriotes qui en ont simplement marre. Voila autant de qualités que non seulement Macky mais la plupart des candidats déclarés n’ont jamais affichées et autant d’ambitions qui leur font défaut.
Sous cet angle, nous croyons fermement au niveau du Rewmi que notre candidat Mr Idrissa Seck présente en réalité le meilleur profil. C’est la raison pour laquelle depuis 2004 à nos jours, il fait l’objet d’une campagne de lynchage systématique, de discrédit et de calomnie, par le Président et son camp, et par d’autres mercenaires de la plume trempée dans un cœur plein de haine et de jalousie, comme savent bien le faire, les sieurs Mody Niang et Ché Fall. Certains hommes politiques, tapis dans l’ombre et qui sont les commanditaires de ces attaques honteuses, irresponsables, sont conscients de l’importance de l’enjeu de l’élection présidentielle.
C’est la fin d’un cycle incarné par des hommes du passé, et le début d’une ère nouvelle dont la complexité pose des défis et des problèmes dont les solutions exigent un leadership particulier. C’est en cela qu’Idrissa Seck constitue une chance pour le Sénégal
Amadou Thioye
Rewmi New York
Les réactions paraissent suspectes, démesurées et triviales en ce qu’elles n’éclairent en rien la lanterne des Sénégalais. Cela ne surprend guère quand on examine de plus près le cursus politique de Macky Sall et le profil bas qu’il a adopté tout le temps qu’il a été Premier Ministre et Président de l’Assemblée Nationale Sénégalaise. Ce comportement dit long sur sa personnalité et sur celui de ses thuriféraires. Un mythe ne se construit pas sur l’espoir d’une amnésie collective des sénégalais. Il n’y aura pas de free passe pour accéder à la Station Présidentielle ni pour Macky Sall, encore moins pour les adeptes de la dévolution monarchique du pouvoir. Les faits étant sacrés, aucun candidat ne sera épargné d’une inquisition. Toutes questions relatives à la gestion de deniers de l’état et à l’exercice du pouvoir seront posées pour asseoir un débat sérieux qui permettra à nos compatriotes de faire correctement leur choix au mois de Février prochain.
En devenant Premier Ministre lors du complot contre Idrissa Seck, Macky Sall s’était très rapidement investi de la mission du valet du roi. Il cautionnait et exécutait avec conviction, fierté et arrogance parfois toutes les décisions même les plus controversées d’Abdoulaye Wade. Rappelez-vous de la prolongation du mandat des députés sous des arguments légers et fallacieux des inondations avec le plan jaxaay, de son arrogance dans sa lettre à Mamadou Dia, son forcing à vouloir voter sans pièce d’identité et son comportement belliqueux à l’égard de l’opposition patriotique etc. La liste pourrait être longue. Il cachait son jeu dans un opportunisme révoltant. L’invitation faite à Karim d’apparaître devant la commission financière de l’Assemblée Nationale était plus une façon de lui donner une plateforme lui permettant de séduire et non pas de jeter une lumière sur sa gestion des fonds de l’ANOCI ; parce que comme on le sait, il fut aussi un défenseur de la Génération du Concret. Ne vient il pas d’avouer tout récemment qu’il consulterait au préalable le Président si c’était une décision à reprendre. En quels principes démocratiques et valeurs Macky Sall croit-il vraiment? Alors n’en déplaisent à ses partisans le bilan de Macky sera débattu.
En adoptant l’attitude de Diouf dans sa docilité à l’endroit de Senghor quant il fut Premier Ministre, Macky espérait pouvoir satisfaire le roi et se voir ouvrir l’opportunité de lui succéder. Chers amis de l’APR et de l’APL, le Sénégal a beaucoup changé. Les Sénégalais d’aujourd’hui sont en avance sur leurs hommes politiques. Ils exigent de la transparence. Ils veulent les tenir responsables de leurs décisions et de leurs actes tant dans le passé que pour le futur. Il ne s’agira pas de s’installer dans un mutisme béat, ou de s’abriter derrière des seconds couteaux à travers des invectives ou attaques personnelles, pour se voir confier la destinée de la nation. Nos compatriotes veulent des réponses précises à toutes les questions concernant la gestion de l’état du Sénégal, pour qu’à l’avenir rien ne soit plus comme avant. C’est à ce devoir d’éclairage que nous nous attelons, au niveau du Rewmi, Parti dont Macky défendait le refus d’un récépissé. Tout récemment, les grands axes du programme de notre candidat ont été publiés et nous attendons le votre. Les sénégalais méritent une meilleure qualité de vie et ont soif de leader capable de délivrer, à la mesure de leur attente, en termes de justice sociale, de transparence et de bonne gouvernance et d’apporter les réponses idoines aux problèmes de l’énergie, de l’éducation, de la santé et de l’agriculture.
La station présidentielle est une position de leadership. C’est la plus haute instance de prise de décisions qui peuvent avoir des conséquences énormes dans la vie d’une nation. C’est pourquoi, elle doit être confiée à quelqu’un suffisamment responsable, qui sait diriger et inspirer son peuple. Une personne intelligente, honnête, visionnaire, qui croit en des valeurs nobles et qui a le courage de ses idées. Un leader se juge par son sens élevé de ses responsabilités ; de sa capacité à comprendre et à pouvoir s’adapter à son environnement et à pouvoir anticiper sur le cours des choses, quel que soit leur complexité. Il doit pouvoir sortir des sentiers battus et innover. Il doit avoir de l’audace, de la rigueur et de la méthode. Le poste de Président de la République ne doit pas être l’affaire de couronnement d’un long parcours professionnel ou une réponse à l’appel d’un groupe de personnes qui vous sollicite. C’est plus sérieux que cela. Un Président doit avoir l’amour de servir son pays à ce haut niveau, prêt pour le sacrifice et porteur d’un projet de société, qui pourrait sans nul doute ouvrir de nouvelles perspectives à ses millions de compatriotes qui en ont simplement marre. Voila autant de qualités que non seulement Macky mais la plupart des candidats déclarés n’ont jamais affichées et autant d’ambitions qui leur font défaut.
Sous cet angle, nous croyons fermement au niveau du Rewmi que notre candidat Mr Idrissa Seck présente en réalité le meilleur profil. C’est la raison pour laquelle depuis 2004 à nos jours, il fait l’objet d’une campagne de lynchage systématique, de discrédit et de calomnie, par le Président et son camp, et par d’autres mercenaires de la plume trempée dans un cœur plein de haine et de jalousie, comme savent bien le faire, les sieurs Mody Niang et Ché Fall. Certains hommes politiques, tapis dans l’ombre et qui sont les commanditaires de ces attaques honteuses, irresponsables, sont conscients de l’importance de l’enjeu de l’élection présidentielle.
C’est la fin d’un cycle incarné par des hommes du passé, et le début d’une ère nouvelle dont la complexité pose des défis et des problèmes dont les solutions exigent un leadership particulier. C’est en cela qu’Idrissa Seck constitue une chance pour le Sénégal
Amadou Thioye
Rewmi New York
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