"Concernant le pont, nous verrons ce qu’il est possible de faire. Mais je crois qu’il sera possible de le construire. J’y crois", a assuré M. Barrow dans une interview accordée à BBC Afrique, le service en langue française de l’audiovisuel public britannique.
"Nous devons veiller à ce qu’il n’y ait pas d’erreurs parce qu’avec le Sénégal, nous sommes un même pays", a-t-il ajouté, en ce qui concerne toujours la construction de cette infrastructure.
Le futur pont de plusieurs centaines de mètres, entre les localités gambiennes de Farafegni et Soma, devrait faciliter le transport des personnes et des marchandises entre le nord et le sud du Sénégal, pays à l’intérieur duquel se trouve le territoire gambien.
La Banque africaine de développement (BAD) a accepté de financer sa construction.
Une cérémonie de pose de la première pierre du pont a eu lieu l’an dernier, en présence de représentants des deux pays.
Pendant plus d’une décennie, le gouvernement gambien a souvent fait valoir ses droits de propriété sur le fleuve Gambie pour imposer des taxes surélevées aux transporteurs sénégalais.
Ces derniers ont boycotté le territoire de la Gambie pendant plusieurs mois, en 2016, à cause du décuplement, par les autorités de ce pays, de la taxe à payer pour emprunter le cours d’eau.
Adama Barrow a prêté serment, jeudi, à Dakar, où il est accueilli par les autorités sénégalaises à la demande de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), en raison du refus de son prédécesseur, Yahya Jammeh, de lui céder le pouvoir.
A quelques heures du départ de M. Jammeh pour la Guinée, samedi soir, après 22 ans au pouvoir, M. Barrow a dit à BBC Afrique qu’il comptait retourner en Gambie "dans les plus brefs délais", avec l’autorisation de la CEDEAO.
L’ex-président gambien, battu à l’élection présidentielle du 1er décembre dernier, a cédé le pouvoir à la suite d’une médiation menée par la Guinée et la Mauritanie au nom de cette organisation régionale de 15 pays membres, dont la Gambie et le Sénégal.
"Nous devons veiller à ce qu’il n’y ait pas d’erreurs parce qu’avec le Sénégal, nous sommes un même pays", a-t-il ajouté, en ce qui concerne toujours la construction de cette infrastructure.
Le futur pont de plusieurs centaines de mètres, entre les localités gambiennes de Farafegni et Soma, devrait faciliter le transport des personnes et des marchandises entre le nord et le sud du Sénégal, pays à l’intérieur duquel se trouve le territoire gambien.
La Banque africaine de développement (BAD) a accepté de financer sa construction.
Une cérémonie de pose de la première pierre du pont a eu lieu l’an dernier, en présence de représentants des deux pays.
Pendant plus d’une décennie, le gouvernement gambien a souvent fait valoir ses droits de propriété sur le fleuve Gambie pour imposer des taxes surélevées aux transporteurs sénégalais.
Ces derniers ont boycotté le territoire de la Gambie pendant plusieurs mois, en 2016, à cause du décuplement, par les autorités de ce pays, de la taxe à payer pour emprunter le cours d’eau.
Adama Barrow a prêté serment, jeudi, à Dakar, où il est accueilli par les autorités sénégalaises à la demande de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), en raison du refus de son prédécesseur, Yahya Jammeh, de lui céder le pouvoir.
A quelques heures du départ de M. Jammeh pour la Guinée, samedi soir, après 22 ans au pouvoir, M. Barrow a dit à BBC Afrique qu’il comptait retourner en Gambie "dans les plus brefs délais", avec l’autorisation de la CEDEAO.
L’ex-président gambien, battu à l’élection présidentielle du 1er décembre dernier, a cédé le pouvoir à la suite d’une médiation menée par la Guinée et la Mauritanie au nom de cette organisation régionale de 15 pays membres, dont la Gambie et le Sénégal.
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