« Le président de la République n’a pas droit à un troisième mandat. C’est clair comme l’eau de roche. C’est la Constitution sénégalaise de 2001 qui le lui interdit », a estimé Macky Sall.
Selon l’ancien Premier ministre, c’est le président de la République lui-même qui, invoquant son engagement en faveur de la démocratie, a introduit cette disposition pour limiter le nombre de mandats à deux.
« A deux reprises, le président Wade a eu à dire qu’il en avait terminé avec ses mandats. La première c’est avant sa réélection. Lorsqu’en 2008 il a proposé la modification sur la durée du mandat qui était ramenée avec la Constitution de 2001 de sept à cinq ans. En 2008, il m’a saisi en tant que président de l’Assemblée pour dire qu’il le faisait pour son remplaçant, le futur président qui serait élu en 2012 puisqu’il a fait l’expérience du septennat et qu’il s’est rendu compte que cinq ans étaient trop courts . Donc, il a dit que ce n’était pas pour lui mais pour son successeur », a rappelé Macky Sall.
Une fois réélu, ajoute Macky Sall, c’est devant l’opinion nationale et internationale qu’il a dit qu’il n’avait pas la possibilité d’avoir un troisième mandat puisque lui-même avait bloqué le compteur de la Constitution à deux.
Selon l’ancien Premier ministre, c’est le président de la République lui-même qui, invoquant son engagement en faveur de la démocratie, a introduit cette disposition pour limiter le nombre de mandats à deux.
« A deux reprises, le président Wade a eu à dire qu’il en avait terminé avec ses mandats. La première c’est avant sa réélection. Lorsqu’en 2008 il a proposé la modification sur la durée du mandat qui était ramenée avec la Constitution de 2001 de sept à cinq ans. En 2008, il m’a saisi en tant que président de l’Assemblée pour dire qu’il le faisait pour son remplaçant, le futur président qui serait élu en 2012 puisqu’il a fait l’expérience du septennat et qu’il s’est rendu compte que cinq ans étaient trop courts . Donc, il a dit que ce n’était pas pour lui mais pour son successeur », a rappelé Macky Sall.
Une fois réélu, ajoute Macky Sall, c’est devant l’opinion nationale et internationale qu’il a dit qu’il n’avait pas la possibilité d’avoir un troisième mandat puisque lui-même avait bloqué le compteur de la Constitution à deux.
Autres articles
-
Législatives du 17 novembre 2024 : vers un léger prolongement des délais des dépôts
-
Sénégal - Audit du contrat d’affermage : Sen’eau, un système de facturation nébuleux
-
La Douane aux trousses de Gorasia Hitesh / Le DG de Senegindia sommé de payer 17 milliards suite à des importations de marchandises prohibées.
-
Affaire Jérôme Bandiaky: « Dans ce dossier, il y’a des faits couverts par la loi d’amnistie… » ( Me Djiby Diallo)
-
Affaire Badou Ndiaye : Placé sous mandat de dépôt, il est inculpé pour importation de marchandises prohibées, blanchiment de capitaux, détournement de deniers publics…