La campagne électorale pour les élections législatives du 30 juillet est teintée de violences. Les affrontements entre les différents partis et coalitions se multiplient et commencent à prendre des proportions inquiétantes. D’autant que les belligérants, armés jusqu’aux dents, troublent l’ordre public. Suffisant pour que le premier policier du Sénégal monte au créneau et siffle la fin de la récréation.
Abdoulaye Daouda Diallo ne veut plus de tensions entre les différentes coalitions. Il veut que la campagne se déroule dans la paix, la tranquillité et la sérénité au grand bonheur des citoyens.
« La campagne électorale qui est en train de se dérouler est émaillée d’actes de violence verbale et physique. Malgré les enjeux liés à cette compétition, tous les acteurs politiques doivent mener leurs activités conformément aux lois et règlements qui régissent notre pays », a constaté le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique pour déplorer la situation qui prévaut sur le terrain politique.
Très en verve, il renchérit : « Dès lors, les auteurs d’infractions en rapport avec la violence seront traduits devant la justice surtout si, en violation de l’arrêté ministériel interdisant le port d’arme jusqu’à nouvel ordre, ils sont retrouvés en possession d’armes. » Un avertissement qui vient à son heure. Sinon, ce qui s’est passé au stade Demba Diop, le samedi, peut se reproduire sur le terrain des hommes politiques.
Abdoulaye Daouda Diallo ne veut plus de tensions entre les différentes coalitions. Il veut que la campagne se déroule dans la paix, la tranquillité et la sérénité au grand bonheur des citoyens.
« La campagne électorale qui est en train de se dérouler est émaillée d’actes de violence verbale et physique. Malgré les enjeux liés à cette compétition, tous les acteurs politiques doivent mener leurs activités conformément aux lois et règlements qui régissent notre pays », a constaté le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique pour déplorer la situation qui prévaut sur le terrain politique.
Très en verve, il renchérit : « Dès lors, les auteurs d’infractions en rapport avec la violence seront traduits devant la justice surtout si, en violation de l’arrêté ministériel interdisant le port d’arme jusqu’à nouvel ordre, ils sont retrouvés en possession d’armes. » Un avertissement qui vient à son heure. Sinon, ce qui s’est passé au stade Demba Diop, le samedi, peut se reproduire sur le terrain des hommes politiques.
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