10 ans de prison ferme ! C’est la peine qu’encourt le sieur I. Ngom, attrait à la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar, hier, pour les faits de viol détournement de mineure et pédophilie sur une mineure de 8 ans.
Portefaix au marché Sandaga, il est accusé d’avoir doigté la fillette. C’est la grand-mère de la petite qui a porté plainte contre le prévenu. Dans sa plainte, elle a raconté la mésaventure de sa petite fille. « Ce jour-là, j’avais donné à la petite de l’argent afin qu’elle achète de quoi se mettre sous la dent. Quelques plus heures, elle est revenue en pleurs. Ses habits étaient froissés, et elle avait des maux de ventre. Sa mère s’en est rendue compte. Elle a poussé ses investigations sur l’état de santé de la petite avant de découvrir que celle-ci avait des blessures dans ses parties intimes », a raconté la mamie. Qui, poursuivant, renseigne que la petite a été conduite à l'hôpital.
Après consultation, le médecin a établi un certificat médical faisant mention d’une déchirure récente de l’hymen.
Soumise à une interrogation, la fillette indexe I. Ngom comme étant son bourreau. Elle révèle tristement que ce dernier l’avait doigté. Assistée par sa mère, elle a, devant la barre, réitéré ses déclarations à l’enquête préliminaire. Sans varier. Elle a même révélé que son bourreau avait déchiré son pantalon avant de la doigter. Ayant comparu à titre de témoin, la grand-mère de la petite a chargé le prévenu.
A l’en croire, il a toujours mis en garde ce dernier qui, dénonce-t- elle, avait toujours un comportement peu orthodoxe à l’endroit de sa petite fille. « Il la tapotait souvent et je lui reprochais toujours ses gestes », a soutenu la grand-mère de la victime.
Cependant, le prévenu a battu en brèche toutes les accusations portées contre sa personne. Selon lui, tout cela était un plan ourdi contre lui pour ternir son image et l’envoyer en prison. Car, à l’en croire, la mère de la victime a toujours menacé de le faire emprisonner. Il a juré sur le saint coran avoir vu une fois la petite fille. Qui, ce jour-là, servait de guide à sa grand-mère, une mendiante.
L’avocat de la partie civile a réclamé la somme de 500 mille FCFA en guise de dommages et intérêts. Le parquet a requis 10 ans de prison ferme. Ce, après qu’il a fait savoir que les faits ne souffrent d’aucune contestation. La défense, estimant qu’il n’y aucune preuve attestant la culpabilité de leur client, a plaidé la relaxe pure et simple.
Le verdict de cette affaire sera connu le 20 janvier prochain.
Portefaix au marché Sandaga, il est accusé d’avoir doigté la fillette. C’est la grand-mère de la petite qui a porté plainte contre le prévenu. Dans sa plainte, elle a raconté la mésaventure de sa petite fille. « Ce jour-là, j’avais donné à la petite de l’argent afin qu’elle achète de quoi se mettre sous la dent. Quelques plus heures, elle est revenue en pleurs. Ses habits étaient froissés, et elle avait des maux de ventre. Sa mère s’en est rendue compte. Elle a poussé ses investigations sur l’état de santé de la petite avant de découvrir que celle-ci avait des blessures dans ses parties intimes », a raconté la mamie. Qui, poursuivant, renseigne que la petite a été conduite à l'hôpital.
Après consultation, le médecin a établi un certificat médical faisant mention d’une déchirure récente de l’hymen.
Soumise à une interrogation, la fillette indexe I. Ngom comme étant son bourreau. Elle révèle tristement que ce dernier l’avait doigté. Assistée par sa mère, elle a, devant la barre, réitéré ses déclarations à l’enquête préliminaire. Sans varier. Elle a même révélé que son bourreau avait déchiré son pantalon avant de la doigter. Ayant comparu à titre de témoin, la grand-mère de la petite a chargé le prévenu.
A l’en croire, il a toujours mis en garde ce dernier qui, dénonce-t- elle, avait toujours un comportement peu orthodoxe à l’endroit de sa petite fille. « Il la tapotait souvent et je lui reprochais toujours ses gestes », a soutenu la grand-mère de la victime.
Cependant, le prévenu a battu en brèche toutes les accusations portées contre sa personne. Selon lui, tout cela était un plan ourdi contre lui pour ternir son image et l’envoyer en prison. Car, à l’en croire, la mère de la victime a toujours menacé de le faire emprisonner. Il a juré sur le saint coran avoir vu une fois la petite fille. Qui, ce jour-là, servait de guide à sa grand-mère, une mendiante.
L’avocat de la partie civile a réclamé la somme de 500 mille FCFA en guise de dommages et intérêts. Le parquet a requis 10 ans de prison ferme. Ce, après qu’il a fait savoir que les faits ne souffrent d’aucune contestation. La défense, estimant qu’il n’y aucune preuve attestant la culpabilité de leur client, a plaidé la relaxe pure et simple.
Le verdict de cette affaire sera connu le 20 janvier prochain.
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