Pape Amadou Kébé, moniteur de sport, a été condamné à six mois de prison avec sursis après avoir été jugé pour usurpation de fonction et détention illégale de munitions. Son arrestation, survenue le 22 octobre 2024, a eu lieu après son interpellation par la police alors qu’il circulait à moto sans attestation d’assurance.
Selon Les Échos, lors de son interpellation, Kébé a tenté de tromper les policiers en présentant la carte bancaire de son frère aîné, Pape Mbaye Kébé, membre de l’Agence d’assistance à la sécurité de proximité (ASP). Cette manœuvre a rapidement échoué, car les policiers ont remarqué que le nom sur la carte ne correspondait pas à celui de l’accusé. Une fouille de sa moto a révélé la présence d’une arme factice et d’un paquet de 50 munitions.
Devant le tribunal des flagrants délits de Dakar le 25 octobre 2024, Kébé a admis la détention des munitions, qu’il prétend avoir trouvées deux jours avant son arrestation. Il a également expliqué que la carte bancaire appartenait à son frère, actuellement en voyage au Maroc, et qu’il l’utilisait pour récupérer son salaire. Kébé a affirmé qu’il portait l’arme factice pour se protéger des malfaiteurs.
Les avocats de Kébé ont plaidé la relaxe, arguant qu’il n’y avait pas d’intention coupable et qu’il n’y avait pas d’usurpation de fonction puisque la carte présentée était une carte bancaire et non une carte professionnelle. Le tribunal a suivi cette ligne de défense, relaxant Kébé de l’accusation d’usurpation de fonction mais le condamnant à six mois de prison avec sursis pour détention illégale de munitions.
Cette affaire met en lumière les risques associés à la détention illégale de munitions et l’importance de la transparence lors des contrôles de police, rappelle le journal Les Échos.
Selon Les Échos, lors de son interpellation, Kébé a tenté de tromper les policiers en présentant la carte bancaire de son frère aîné, Pape Mbaye Kébé, membre de l’Agence d’assistance à la sécurité de proximité (ASP). Cette manœuvre a rapidement échoué, car les policiers ont remarqué que le nom sur la carte ne correspondait pas à celui de l’accusé. Une fouille de sa moto a révélé la présence d’une arme factice et d’un paquet de 50 munitions.
Devant le tribunal des flagrants délits de Dakar le 25 octobre 2024, Kébé a admis la détention des munitions, qu’il prétend avoir trouvées deux jours avant son arrestation. Il a également expliqué que la carte bancaire appartenait à son frère, actuellement en voyage au Maroc, et qu’il l’utilisait pour récupérer son salaire. Kébé a affirmé qu’il portait l’arme factice pour se protéger des malfaiteurs.
Les avocats de Kébé ont plaidé la relaxe, arguant qu’il n’y avait pas d’intention coupable et qu’il n’y avait pas d’usurpation de fonction puisque la carte présentée était une carte bancaire et non une carte professionnelle. Le tribunal a suivi cette ligne de défense, relaxant Kébé de l’accusation d’usurpation de fonction mais le condamnant à six mois de prison avec sursis pour détention illégale de munitions.
Cette affaire met en lumière les risques associés à la détention illégale de munitions et l’importance de la transparence lors des contrôles de police, rappelle le journal Les Échos.
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