Les membres de la Gendarmerie Royale du Canada (GRC) ont découvert les quatre corps sans vie mardi peu après 18h00 locales (23H00 HB) dans le hameau de Upper Big Tracadie, à 250 km au nord d'Halifax sur la côte atlantique.
Âgé de 33 ans, Lionel Desmond, ancien membre de l'armée canadienne, ayant notamment servi en Afghanistan, a tué par balles sa femme de 31 ans, sa fille de 10 ans et sa mère de 52 ans, avant de se suicider.
"Aucun signe d'entrée par effraction n'a été constaté" et "les blessures par balles sur le corps de l'homme indiquent un suicide", selon la GRC.
"Deux armes à feu ont été retrouvées sur place", selon les enquêteurs. L'autopsie des corps et l'enquête complémentaire permettra de déterminer avec précision "les circonstances ayant mené à cette situation tragique".
Plusieurs suicides dans l'armée canadienne par le passé
L'homme avait quitté l'armée en 2015 et souffrait de stress post-traumatique tout en cherchant de l'aide pour ses troubles mentaux, a confié sa tante aux médias locaux.
A la suite de plusieurs suicides au sein des forces armées canadiennes, le gouvernement a mis en place en 2014 une base de données pour assurer le suivi de la santé mentale de ses personnels. Le ministère de la Défense voulait ainsi "mieux comprendre le fardeau général des troubles de santé mentale au sein de l'armée".
Âgé de 33 ans, Lionel Desmond, ancien membre de l'armée canadienne, ayant notamment servi en Afghanistan, a tué par balles sa femme de 31 ans, sa fille de 10 ans et sa mère de 52 ans, avant de se suicider.
"Aucun signe d'entrée par effraction n'a été constaté" et "les blessures par balles sur le corps de l'homme indiquent un suicide", selon la GRC.
"Deux armes à feu ont été retrouvées sur place", selon les enquêteurs. L'autopsie des corps et l'enquête complémentaire permettra de déterminer avec précision "les circonstances ayant mené à cette situation tragique".
Plusieurs suicides dans l'armée canadienne par le passé
L'homme avait quitté l'armée en 2015 et souffrait de stress post-traumatique tout en cherchant de l'aide pour ses troubles mentaux, a confié sa tante aux médias locaux.
A la suite de plusieurs suicides au sein des forces armées canadiennes, le gouvernement a mis en place en 2014 une base de données pour assurer le suivi de la santé mentale de ses personnels. Le ministère de la Défense voulait ainsi "mieux comprendre le fardeau général des troubles de santé mentale au sein de l'armée".
Shanna Desmond & daughter were among 4 people killed in apparent murder-suicide in Upper Big Tracadie, Nova Scotia https://t.co/5nW8nZT1qg pic.twitter.com/xppZDnKpaO
— CBC Nova Scotia (@CBCNS) 4 janvier 2017
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