La Plateforme Africaine pour le Développement et les Droits Humains (Pladh) a dénoncé vigoureusement le projet de loi introduit le mardi 19 novembre 2013 à l'assemblée nationale et portant rétablissement de la peine de mort au Sénégal. Selon eux, la peine de mort est la négation la plus absolue des droits humains qui viole le droit à la vie inscrit dans la déclaration universelle des droits de l'homme. Par conséquent en toutes circonstances et quelques soient la nature du crime commis la Pladh s'oppose a la peine de mort.
Dans le communiqué, ils soulignent que le Sénégal devrait plutôt progresser courageusement vers l'éradication à tout jamais de la peine de mort de ses systèmes juridiques en se conformant aux traités et conventions internationaux et régionaux favorisant son abolition qu'il a signé et ratifié. « L'Afrique a assez souffert des massacres et des génocides, de la pauvreté et de la violence politique, de la colonisation et du martyre de l'esclavage pour continuer à appliquer la peine de mort » déplorent-ils .
Dans le communiqué, ils soulignent que le Sénégal devrait plutôt progresser courageusement vers l'éradication à tout jamais de la peine de mort de ses systèmes juridiques en se conformant aux traités et conventions internationaux et régionaux favorisant son abolition qu'il a signé et ratifié. « L'Afrique a assez souffert des massacres et des génocides, de la pauvreté et de la violence politique, de la colonisation et du martyre de l'esclavage pour continuer à appliquer la peine de mort » déplorent-ils .
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